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2020

Les émissions de gaz à effet de serre détruisent nos conditions d’existence sur la Terre. Alors que nous luttons contre une terrible pandémie, une récente étude scientifique montre qu’un milliard d’êtres humains risquent de devoir migrer ou subir des chaleurs insupportables pour chaque degré supplémentaire de la température globale, dans les cinquante prochaines années. Ne rien faire, c’est accepter ce risque d’un milliard de victimes supplémentaires, migrants, malades ou morts.
C'est la rechute. Alors que les marchés financiers avaient enregistré un net rebond en avril (le meilleur mois en bourse depuis plus de quatre ans en Europe) sur des espoirs de redressement rapide de l'économie après la crise actuelle, les indices boursiers sont repartis nettement à la baisse lundi. A la clôture, l'indice Stoxx 600   des plus grandes capitalisations européennes a reculé de 2,65%. En Bourse de Bruxelles, le Bel 20   a perdu 4,74%.
Dans sa chronique, la sociologue Dominique Meda avertit que la pandémie de Covid-19 doit être comprise non pas comme une catastrophe naturelle dont il faudrait juste éviter qu’elle ne se reproduise, mais comme un coup de semonce exigeant une bifurcation radicale.
Le présent texte n’est ni une carte blanche, ni une pétition : il s’agit d’une charte par laquelle les signataires, académiques de toutes les universités belges, s’engagent à sortir de leur réserve et à prendre position dans les débats qui animent notre société, dans le respect bien entendu de la liberté de pensée individuelle.
Une opinion signée par plus de 250 scientifiques
Face à la crise historique engendrée par la pandémie de coronavirus, organisons notre sécurité alimentaire - La Libre /*! normalize.css v3.0.0 | MIT License | git.io/normalize */html{font-family:sans-serif;-ms-text-size-adjust:100%;-webkit-text-size-adjust:100%}body{margin:0}article,aside,details,figcaption,figure,footer,header,hgroup,main,nav,section,summary{display:block}audio,canvas,progress,video{display:inline-block;vertical-align:baseline}audio:not([controls]){display:none;height:0}[hidden],template{display:none}a{background:0 0}a:active,a:hover{outline:0}abbr[title]{border-bottom:1px dotted}b,strong{font-weight:700}dfn{font-style:italic}h1{font-size:2em;margin:.67em 0}mark{background:#ff0;color:#000}small{font-size:80%}sub,sup{font-size:75%;line-height:0;position:relative;vertical-align:baseline}sup{top:-.5em}sub{bottom:-.25em}img{border:0}svg:not(:root){overflow:hidden}figure{margin:1em 40px}hr{-moz-box-sizing:content-box;box-sizing:content-box;height:0}pre{overflow:auto}code,kbd,pre,samp{font-family:
Le secteur automobile, marqué par des coûts fixes importants, risque de fort souffrir du coronavirus. Ce n’est une surprise pour personne. L’Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA) a mis ce mercredi des chiffres sur ce constat. L’ACEA estime que les fermetures d’usines actuelles dans son secteur concernent 1,1 million d’emplois directs en Europe. Ceci sans tenir compte de la chaîne des fournisseurs.