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Pour un loyer plus abordable ou des impôts moins élevés, 300 000 Américains se sont installés dans des zones à risque climatique.
Le numéro un de l'assurance français Axa et le réassureur Scor sont épinglés pour avoir assuré des projets de terminaux méthaniers de GNL aux Etats-Unis, particulièrement néfastes pour l'environnement.
Les jeunes Montaniens, âgés de 5 à 22 ans, qui accusaient l'État du Montana d'avoir violé leur droit à un environnement sain viennent de remporter une victoire historique. La juge leur a donné raison, invoquant la Constitution de l'État américain. Une première.
La nomination de Sultan Al Jaber à la tête de la COP28 ne passe décidément pas. Plus d'une centaine de parlementaires européens et américains ont envoyé une lettre ouverte à leurs dirigeants pour demander son retrait. Sultan Al Jaber est notamment à la tête de la compagnie pétrolière nationale émiratie et multiplie les annonces polémiques pour retarder au maximum la sortie des énergies fossiles.
Les impacts du changement climatique touchent tous les pays, sans exception. Les dernières données du Bureau du recensement américain en sont la preuve. En 2022, des millions d’habitants ont été contraints de fuir pour assurer leur sécurité à la suite d’un ouragan, d’un incendie ou encore d’une inondation. Des catastrophes climatiques qui affichent un lourd bilan humain, et qui renforcent les inégalités sociales.
Placée en état d’urgence depuis le mercredi 4 janvier, la Californie fait face à un nouvel épisode météorologique extrême. Frappée par une "bombe cyclonique", la région subit de fortes précipitations et des vents violents qui fragilisent une fois encore ses infrastructures. Tandis que de nombreux foyers sont déjà privés d’électricité, les routes et aéroports sont bloqués par la tempête.
Pour assurer notre sécurité énergétique, l'Union européenne se tourne vers le gaz naturel liquéfié (GNL). La Commission européenne vient de signer un accord avec les États-Unis pour assurer un approvisionnement stable jusqu'en 2030. De nouvelles infrastructures vont ainsi voir le jour sur le continent. Mais le GNL a un impact carbone plus important que le gaz transporté par gazoduc. Cette stratégie pourrait donc mettre à mal nos objectifs climatiques.
Plus de 4,5 millions d'Américains ont quitté leur travail au mois de novembre, un record. Ce phénomène, baptisé The Great Resignation, qui s'exerce depuis la pandémie, est devenu viral sur les réseaux sociaux. Il exprime à la fois le ras-le-bol et la quête de sens de millions de travailleurs. Si en France un tel phénomène n'est pas visible, le boom des ruptures conventionnelles et la pénurie de main-d'œuvre dans plusieurs secteurs peuvent être des signes avant-coureurs.
Des Américains se réfugiant dans des centres de refroidissement pour échapper au dôme de chaleur, des Chinois coincés dans une rame de métro où l'eau monte dangereusement, des Liégeois fuyant leur ville victime d'inondations historiques... Le réchauffement ne frappera pas plus loin ou plus tard. Cet été 2021, il est déjà à l'œuvre, partout dans le monde, et nous force à repenser ce que nous considérons comme "normal". Chaque année, l'exceptionnel se reproduit.
Les résultats catastrophiques des pétroliers - 77 milliards de dollars de pertes des cinq majors en 2020 - bousculent considérablement l’écosystème de cette industrie. Les actionnaires mettent la pression sur la stratégie de transition des groupes, tandis que ces derniers mettent en demeure leurs associations professionnelles de changer. Ainsi l’American Petroleum Institute, très rétif à l’idée de toute réglementation climatique jusqu’à très récemment, vient d’évoquer la pertinence d’une taxe carbone.
Suite à la pression de l'État actionnaire et des ONG, Engie vient de renoncer à un contrat d'importation de gaz de schiste américain. Vivement contesté, ce projet ne cadrait pas avec les ambitions de la France sur les hydrocarbures non conventionnels. En outre, il aurait permis de financer le projet de terminal méthanier de Rio Grande, au sud du Texas, dont la décision d'investissement est remise en cause par la crise pétrolière.
Le pétrole de schiste américain n’est pas mort, loin s’en faut. Mais il n’est plus la machine à cash qu’il fût. Les faillites à répétition, accentuées par la crise du Covid-19, le prouvent. On voit aussi désormais les parapétroliers tourner le dos à la fracturation hydraulique en Amérique du Nord. Après Baker Hughes, c’est désormais l’un des plus grands acteurs au monde du secteur, Schlumberger, qui vend ses activités sur le continent nord-américain.
Aux États-Unis, la faillite de Pacific Gas Electric (PGE), un géant de l’énergie, illustre de façon très tangible ce que représente le risque climat. Soupçonnée d’être à l’origine des incendies qui ont dévasté la Californie en novembre dernier, l’entreprise paye au prix fort - et seule - la mauvaise prise en compte des impacts climatiques sur son activité dans une région de plus en plus en proie à la sécheresse.