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Les Etats membres de l'Organisation maritime internationale (OMI), une agence de l'ONU, se sont prononcés vendredi à Londres en faveur d'un système mondial de tarification du carbone, jugé toutefois pas assez ambitieux par les pays insulaires du Pacifique.
Le retard des négociations au sein du Giec va fragiliser le prochain bilan mondial climatique qui aura lieu en 2028.
Les 175 pays réunis à Busan, en Corée du Sud, ne sont pas parvenus à finaliser le texte dans les temps, ralentis par les pays pétroliers.
C'est un accord historique que viennent de trouver les pays du G20 pour renforcer la taxation des milliardaires au niveau international.
Les 27 ont approuvé une sortie de l'Union européenne du TCE, le traité sur la charte de l'énergie, un texte qui menace la transition énergétique du continent.
C'est un "des piliers de la création d'un système économique plus responsable", selon l'eurodéputé Pascal Canfin. Ce 14 décembre, un accord a été trouvé sur les contours du devoir de vigilance européen. Ce dernier obligera les grandes entreprises à recenser et prévenir les violations des droits humains et dommages environnementaux sur l'ensemble de leur chaîne de valeur sous peine d'une sanction financière de 5% de leur chiffre d'affaires. Un accord ambitieux qui comporte toutefois une zone d'ombre : le secteur financier en est exclu.
Un accord a finalement été trouvé ce mercredi 13 décembre à la COP28 de Dubaï. Celui-ci vise à "abandonner progressivement les énergies fossiles", une première dans l'histoire des COP. Reste de nombreuses failles qu'il faudra combler.
À la COP28, les négociations se poursuivent pour adopter une sortie ou une réduction des énergies fossiles. Les Émirats arabes unis, hôtes de la COP28, et les pays pétroliers défendent une version qui mise sur le captage et stockage de CO2 (CCS). Une technologie qui permet de capter le CO2 émis par une centrale à charbon ou une usine. Promise depuis quarante ans, elle peine toutefois à faire ses preuves. Qui plus est, elle s'avérerait bien plus coûteuse qu'un scénario basé sur les énergies renouvelables.
Ce qui ne devait être qu'une simple formalité en ce premier jour de COP28 s'est transformé en signal fort. Ajoutée à la dernière minute à l'ordre du jour de la session plénière, la concrétisation du fonds sur les pertes et dommages a été adopté par les États. Ce fonds qui doit aider les pays les plus vulnérables à affronter les dégâts irréversibles du changement climatique doit être opérationnel dans l'année à venir. Une victoire pour les pays du Sud qui le réclamaient depuis trente ans.
La COP28 s'ouvre dans exactement un mois aux Émirats arabes unis. Huit ans après l'adoption de l'Accord de Paris, l'heure est au bilan. Si l'on sait que le monde est toujours sur la mauvaise trajectoire, les États devront être à la hauteur et accroître leurs ambitions pour rectifier le tir. C'est l'un des principaux objectifs du sommet qui se tiendra à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre.
Le G20 de Delhi était le premier grand rendez-vous en amont de la COP28, et il se solde par un échec. Pourtant, l'occasion était belle de se saisir du premier bilan de l'action climatique, publiée la veille de l'ouverture du sommet, et ainsi donner l'élan tant attendu pour une action climatique d'envergure. Au lieu de cela, les lignes de fracture entre les pays ne font que s'amplifier, signant un recul inquiétant.
Touché-coulé ! À quelques mois de la COP28 sur le climat, les pays membres de l'Organisation maritime internationale (OMI) ont échoué vendredi 7 juillet à s'entendre sur un accord suffisamment ambitieux pour respecter le scénario 1,5°C. Une nouvelle occasion manquée alors que la fenêtre de tir pour agir avant 2030 se referme.
Les représentants de près de 200 pays sont réunis jusqu'au 15 juin à Bonn, en Allemagne, pour préparer la COP28. La prochaine conférence mondiale sur le climat, qui se tiendra à Dubaï en décembre, est particulièrement attendue car elle doit dresser le premier bilan mondial de l’action climatique, tel que prévu dans l’Accord de Paris. Où en sont les pays à quelques mois de l'échéance ?
Le 19 décembre 2022, les ministres de près de 200 pays ont réussi à aboutir à un accord mondial sur la biodiversité à la COP15 de Montréal. Ils ont adopté un nouveau cadre mondial visant à enrayer le déclin de la biodiversité d'ici à 2030. Parmi les objectifs phares, il y a la préservation de 30% des terres et des mers, une hausse des financements Nord-Sud ou encore la réduction des pesticides. Voici dans le détail les 23 cibles adoptées.
Alors que la COP27 sur le climat vient de s'achever, c'est un autre sommet qui va débuter dans quelques jours, la COP15 sur la biodiversité, du 7 au 19 décembre à Montréal, au Canada. L'enjeu est là aussi très important puisqu'il s'agit d'adopter de nouveaux objectifs mondiaux pour lutter contre la perte de biodiversité. Mais aucun élan politique n'a été envoyé d'une COP à l'autre et les observateurs craignent un échec.
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Ce vendredi 24 juin se tenait le quinzième et dernier cycle de négociations sur le Traité sur la charte de l’énergie (TCE). Ce texte permet à des investisseurs d'attaquer des États quand ils adoptent des lois climatiques qui remettent en cause leurs intérêts. Critiqué depuis des années, le traité faisait l'objet d'une refonte depuis 2018. Malgré la pression, la Commission européenne a choisi de rester dans le TCE, moyennant quelques amendements.
Après deux années de réunions virtuelles, les 196 États membres de la Convention pour la diversité biologique (CDB) de l'ONU se sont retrouvés à Genève fin mars afin d'avancer sur le cadre mondial post-2020 pour lutter contre l'érosion de la biodiversité. Celui-ci devra être adopté à la COP15 Biodiversité, qui devrait se tenir fin août-début septembre en Chine, après avoir déjà été reportée quatre fois. Mais pour l'instant, aucun consensus n'émerge.
Le dernier rapport du Giec sur les solutions au changement climatique consacre aussi une partie au coût que représenterait une action ambitieuse. Les experts sont formels : agir pour le climat, en restant sous la barre des 2°C de réchauffement, aurait des bénéfices économiques supérieurs au coût engendré. Depuis de nombreuses années, de nombreuses études démontrent l'intérêt économique à respecter l'Accord de Paris.
Pour assurer notre sécurité énergétique, l'Union européenne se tourne vers le gaz naturel liquéfié (GNL). La Commission européenne vient de signer un accord avec les États-Unis pour assurer un approvisionnement stable jusqu'en 2030. De nouvelles infrastructures vont ainsi voir le jour sur le continent. Mais le GNL a un impact carbone plus important que le gaz transporté par gazoduc. Cette stratégie pourrait donc mettre à mal nos objectifs climatiques.