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2024

Moscou a mis en garde samedi l'Europe en affirmant que la décision de Washington de déployer en Allemagne des missiles américains à longue portée risquait avant tout d'exposer les populations du continent, dont les capitales deviennent en retour des cibles pour la Russie.
Si, à Washington, les grands de ce monde s’émeuvent du réarmement de la Russie lors du sommet de l’Otan, débuté le 9 juillet, ils oublient de dire que la totalité des huit autres puissances nucléaires se réarment également et modernisent leurs arsenaux nucléaires. La Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (Ican) estime que les neuf puissances nucléaires ont dépensé 84,2 milliards d’euros en 2023. Soit 10 milliards de plus qu’en 2022.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que la Russie devrait commencer à produire des missiles de courte et moyenne portée, auparavant interdits en vertu d’un traité avec les États-Unis qui n’est plus en vigueur.
Les Etats-Unis ont dénoncé jeudi l'"escalade nucléaire" de l'Iran et annoncé en réponse des sanctions visant à toucher le secteur pétrolier iranien, à la veille de l'élection présidentielle.Les Iraniens votent vendredi pour remplacer le président défunt Ebrahim Raïssi, tué dans un accident d'hélicoptère en mai."Au cours du mois dernier, l'Iran a annoncé des mesures visant à étendre son programme nucléaire d'une manière qui n'a aucun objectif pacifique crédible", a affirmé le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, dans un communiqué.
Un pays a dépensé plus en armes nucléaires que tous les autres pays réunis l'année dernière. Saurez-vous deviner lequel ?
Les neuf États dotés de l'arme nucléaire ont modernisé leurs arsenaux nucléaires, constate l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, lundi. "Nous vivons actuellement l'une des périodes les plus dangereuses de l'histoire", alerte le directeur du Sipri.
Les puissances nucléaires modernisent leurs arsenaux face à l'augmentation des tensions géopolitiques dans le monde, avec une multiplication d'un tiers des dépenses dans ce domaine au cours des cinq dernières années, selon deux rapports publiés lundi.
L'Iran continue d'accroître ses capacités nucléaires, a déclaré jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), une semaine après que le conseil des gouverneurs de l'agence a adopté une résolution critiquant le manque de coopération de Téhéran.
La République islamique va étendre son parc de centrifugeuses, poursuivant son bras de fer avec l'AIEA après un nouveau rappel à l'ordre.
Devant la montée en puissance du programme nucléaire iranien, le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a adopté mercredi à Vienne une résolution rappelant formellement à l'ordre Téhéran.L'Iran, qui a promis de riposter, a jugé cette initiative "précipitée et déraisonnable", mettant en garde contre "un effet destructeur" sur le processus diplomatique.
“Timeless, masterful. . .A stomach-clenching, multi-perspective, ticking-clock, geopolitical thriller. Jacobsen expertly delivers a madman’s portrait of Armageddon, one made all the more impactful by the thought that it could literally occur at any moment. Almost novel-like in its presentation, Nuclear War: A Scenario represents the equivalent of an existential gut punch, a sickening and necessary reminder of how fragile every 21st century convenience becomes in the face of a blinding flash of light and near-instantaneous shockwave. Exhaustively researched and featuring interviews with professionals who truly understand just how close we continue to creep toward thermonuclear annihilation Nuclear War: A Scenario should be required reading for everyone alive today, especially for the politicians and policymakers who literally hold the precarious fate of our species in their hands.” — Forbes
Londres, Paris et Berlin ont soumis lundi soir une résolution condamnant l'escalade nucléaire de l'Iran au Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a-t-on appris de sources diplomatiques.
L'armée russe a annoncé mardi avoir débuté près de l'Ukraine des exercices militaires sur l'utilisation d'armes nucléaires tactiques, ordonnés début mai par le président Vladimir Poutine, en assurant qu'il s'agissait d'une réponse aux "menaces" occidentales.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné la tenue prochaine d’exercices nucléaires impliquant notamment des troupes positionnées près de la frontière ukrainienne, a annoncé ce lundi 6 mai le ministère de la Défense.
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé lundi l'organisation d'exercices militaires à proximité de l'Ukraine. Il a par ailleurs menacé de frapper "toute installation ou équipement militaire britannique sur le territoire ukrainien et au-delà", si Kiev utilisait des "armes britanniques" contre des cibles en Russie.
Dans un entretien publié samedi par les journaux de l'Est de la France, le président français a une nouvelle fois évoqué la perspective d'une défense européenne qui comprendrait l'arme nucléaire. "Mettons tout sur la table et regardons ce qui nous protège véritablement de manière crédible", a-t-il déclaré.
L’armée va utiliser la centrale EDF de Civaux afin de produire du tritium pour la dissuasion nucléaire. Patrice Bouveret, directeur de l’Observatoire des armements, y voit un signe de « l’escalade guerrière » d’Emmanuel Macron.
Le ministère des Armées a annoncé lundi une "collaboration" avec EDF afin d'utiliser la puissance des deux réacteurs nucléaires de la centrale de Civaux pour produire avec le CEA du tritium, "un gaz rare indispensable aux armes de la dissuasion".Cette annonce, présentée comme un projet de long terme, fait suite à une visite du ministre de la Défense Sébastien Lecornu à Civaux, dans la Vienne.
Un rapport rappelle l'urgence de nettoyer les sites militaires abandonnés après la Guerre froide où se trouvent des déchets nucléaires.
Le New York Times a obtenu des informations de la Maison Blanche.
Le président russe Vladimir Poutine a entamé jeudi à 12H13 locales (10H13 en Belgique) son discours annuel à la Nation à Moscou, selon AFP, plus de deux ans après le lancement de son assaut contre l'Ukraine.
Des feux de forêts sur fond de record de chaleur ravagent le Texas aux Etats-Unis. Une usine d’armement nucléaire a dû arrêter ses activités face au risque des incendies.
Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, Téhéran a fortement augmenté ces derniers mois son stock d’uranium enrichi. Ses stocks s’élèvent désormais à plus de 27 fois la limite autorisée par l’accord international de Vienne.
Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a appelé vendredi à "une retenue militaire maximale" après une série de fortes explosions survenues ces derniers jours près de la centrale nucléaire ukrainienne sous contrôle russe de Zaporijjia, la plus grande d'Europe. Ce site, pris par les forces russes en mars 2022, dans la foulée du déclenchement le 24 février de l'invasion de l'Ukraine, se trouve dans une zone de combat et Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de compromettre sa sécurité.
Washington le suggère, Moscou dément et les analystes s'interrogent sur une perspective lointaine mais préoccupante dans un contexte géopolitique explosif.
Un porte-parole de la Maison Blanche a levé le voile, jeudi, sur la "grave menace pour la sécurité nationale" venue de Moscou et évoquée la veille. Il a affirmé qu'il s'agissait du développement d'une arme antisatellite, estimant qu'il s'agissait d'un élément "inquiétant" sans représenter "une menace immédiate".
Le président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Mike Turner, n’a pas spécifié l’origine ni la nature du danger mais plusieurs chaînes américaines ont désigné la Russie.
D'après les services de renseignement américains, la Russie cherche à développer une arme nucléaire capable de détruire des satellites dans l'espace. "Une grave menace pour la sécurité nationale", a averti mercredi le Républicain Mike Turner, président de la Commission permanente sur le renseignement de la Chambre des représentants.
De hauts responsables américains ont annoncé mercredi que les Etats-Unis étaient confrontés à une nouvelle et "grave menace".
Le Bélarus se veut rassurant face à cette nouvelle doctrine promettant pourtant l’arrivée du nucléaire sur le sol biélorusse.
Pour protester contre les exercices militaires conjoints menés par la Corée du Sud, le Japon et les États-Unis, Pyongyang a annoncé vendredi avoir testé un "système d'armement nucléaire sous-marin".

2023

Le pays a fait grimper sa production à environ neuf kilos par mois depuis la fin du mois de novembre. Selon l’AIEA, les stocks d’uranium enrichi iraniens dépassent vingt-deux fois la limite autorisée par l’accord de 2015 encadrant les activités atomiques de Téhéran.
Un nouveau réacteur nucléaire en Corée du Nord semble être devenu opérationnel, a déclaré jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique, alors que Pyongyang intensifie ses menaces de recourir à l'arme nucléaire contre les Etats-Unis et leurs alliés.
Paul Blume Fin des années 70, début des années 80, les mouvements anti-missiles animent les débats sur les risques liés au déploiement d’armes nucléaire spécifiques, susceptibles d’être réellement …
Le président russe Vladimir Poutine a inauguré, lundi, deux nouveaux sous-marins à propulsion nucléaire. Ces submersibles seront affectés à la flotte du Pacifique, ce qui rappelle que les ambitions de Moscou ne s’arrêtent pas à l’Ukraine.
Les stocks d’uranium enrichi s’élèveraient à 4 486,8 kilos, soit plus de 22 fois la limite autorisée par l’accord international de 2015 encadrant les activités atomiques de Téhéran.
La Russie a annoncé dimanche avoir testé avec succès un missile balistique intercontinental capable de porter des ogives nucléaires, depuis un sous-marin nucléaire de 4e génération.
Ce membre du gouvernement chargé du patrimoine, élu d’extrême droite, a été suspendu «jusqu’à nouvel ordre» de toute réunion gouvernementale par Nétanyahou, selon la presse israélienne.
Un Un ministre ultranationaliste israélien a été sanctionné dimanche par le chef du gouvernement Benjamin Netanyahu après avoir affirmé qu'un recours à la bombe nucléaire à Gaza, dans la guerre contre le Hamas palestinien, était "une option".ultranationaliste israélien a été sanctionné dimanche par le chef du gouvernement Benjamin Netanyahu, après avoir affirmé qu'un recours par Israël à la bombe nucléaire contre la bande de Gaza dans la guerre en cours contre le Hamas palestinien était "une option".
Le président russe Vladimir Poutine a signé jeudi la loi sur la révocation de la ratification du Traité d'interdiction des essais nucléaires (TICEN), sur fond de conflit en Ukraine et de crise avec les Occidentaux.
Les Etats-Unis vont développer une nouvelle version de la bombe nucléaire tactique B61 destinée à être utilisée potentiellement contre des cibles militaires "plus durcies", a annoncé vendredi le Pentagone.
Alors que les sénateurs russes viennent d'approuver la sortie du pays du traité interdisant les essais nucléaires, le président Vladimir Poutine a supervisé, mercredi, des exercices militaires impliquant des tirs de missiles balistiques, visant à simuler une "frappe nucléaire massive".
Vladimir Poutine agite à nouveau la menace du bouton rouge. Le président russe a supervisé, mercredi 25 octobre, des tirs de missiles balistiques lors de manœuvres militaires visant à simuler une "frappe nucléaire massive", en réponse "à une frappe nucléaire ennemie", selon les mots du ministre de la Défense, Sergueï Choïgou.
Le président russe Vladimir Poutine a supervisé mercredi des tirs de missiles balistiques lors de manoeuvres militaires visant à simuler une "frappe nucléaire massive" de riposte par Moscou.
Et si la Russie bombardait… la Russie ? Et pas avec n’importe quelle arme, puisque la proposition suggère d’utiliser une bombe thermonucléaire au-dessus de la Sibérie. Elle a été émise lundi 2 octobre par Margarita Simonian, la reine de la propagande russe et patronne de la chaîne d’information RT. Une idée qui n’a pas manqué d’entraîner depuis lors des réactions plus que mitigées de Moscou à Novossibirsk, la plus importante ville de Sibérie.
En Polynésie française, de nombreuses personnes, notamment des militaires, des travailleurs civils et des locaux ont développé des cancers potentiellement liés aux essais nucléaires entre 1966 et 1996. Les victimes qui demandent une indemnisation doivent souvent s'armer de patience et de détermination pour obtenir gain de cause. À l'occasion de la Journée internationale contre les essais nucléaires célébrée chaque 29 août, France 24 se penche sur cette épineuse question.
The role of health professionals In January 2023, the science and security board of the Bulletin of the Atomic Scientists moved the hands of the doomsday clock forward to 90 seconds before midnight, reflecting the growing risk of nuclear war.1 In August 2022, the UN secretary general, António Guterres, warned that the world is now in “a time of nuclear danger not seen since the height of the Cold War.”2 The danger has been underlined by growing tensions between many nuclear armed states.13 As editors of health and medical journals worldwide, we call on health professionals to alert the public and our leaders to this major danger to public health and the essential life support systems of the planet—and urge action to prevent it. Current nuclear arms control and non-proliferation efforts are inadequate to protect the world’s population against the threat of nuclear war by design, error, or miscalculation. The Treaty on the Non-Proliferation of Nuclear Weapons (NPT) commits each of the 190 participating nations
Selon une étude prépubliée le 20 juillet, le premier essai nucléaire américain, effectué dans le cadre du projet Manhattan en 1945, a touché 46 États, le Canada ainsi que le Mexique. Des conséquences qui pourraient permettre à de nouvelles personnes de se voir indemnisées par l’État fédéral américain.
La menace d’une guerre nucléaire n’a jamais été aussi forte depuis la fin de la guerre froide. Des scientifiques se sont penchés sur les conséquence d’un conflit provoquant l’utilisation de bombes atomiques.
Faut-il montrer sa capacité nucléaire ? Et comment ! répond Dimitri Trenine. • Une nouvelle intervention du débat en cours en Russie sur l’emploi du nucléaire, –en Ukraine et ailleurs. • Ce débat s’impose parce que s’impose le constat que la dissuasion est morte et que pour que l’arme nucléaire soit efficace, il faut la montrer et il faut montrer qu’on est prêt à s’en servir dès qu’on jugera nécessaire de le faire. • La guerre en Ukraine est une effrayante leçon de travaux pratiques sur la plus terrible des armes de destruction massive.
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
“Nous avons reçu des missiles et des bombes de la Russie”. Une phrase qui a de quoi glacer le sang, prononcée par le président du Bélarus sur une chaîne publique russe. Pire encore : “Ces armes sont trois fois plus puissantes que celles lancées sur Hiroshima et Nagasaki”, a-t-il fièrement ajouté.
Sergej Karaganov veut faire une attaque nucléaire sur l’Occident.
Des scientifiques chinois tiennent les essais nucléaires américains réalisés dans les îles Marshall durant la guerre froide pour responsables de la radioactivité dans les sédiments prélevés en mer de Chine méridionale, rapporte le “South China Morning Post”.
Les arsenaux nucléaires de plusieurs pays, et de la Chine en particulier, ont augmenté l'an dernier tandis que d'autres puissances nucléaires ont elles continué à moderniser leurs outils, dans un contexte de tensions géopolitiques accrues, ont alerté des chercheurs lundi.
Les arsenaux nucléaires de plusieurs pays, et de la Chine en particulier, ont augmenté l'an dernier tandis que d'autres puissances nucléaires ont elles continué à moderniser leurs outils, dans un contexte de tensions géopolitiques accrues, ont alerté des chercheurs lundi. "Nous approchons, ou peut-être avons-nous déjà atteint, la fin d'une longue période de déclin du nombre d'armes nucléaires à travers le monde", a déploré auprès de l'AFP Dan Smith, Directeur de l'Institut international de recherche sur la paix à Stockholm (SIPRI).
L'Iran a nettement accru ces derniers mois son stock d'uranium enrichi, poursuivant son escalade nucléaire, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui note cependant des "progrès" dans la coopération.Dans deux rapports confidentiels consultés mercredi par l'AFP, à quelques jours d'une réunion du Conseil des gouverneurs, l'instance onusienne fait état de plusieurs avancées.
Les autorités russes ont signalé, lundi, l’« entrée d’un groupe de sabotage et de reconnaissance de l’armée ukrainienne dans le district de Graïvoron » et ont évacué le site de stockage d’armements nucléaires de Belgorod-22. Kiev nie toute implication.
Déclaration conjointe de la présidente du Comité international de la Croix-Rouge, Mirjana Spoljaric, et du président de la Société de la Croix-Rouge du Japon, Atsushi Seike, en amont du Sommet du G7 qui se tiendra à Hiroshima du 19 au 21 mai 2023
M. Grossi assure avoir constaté en première ligne "des indications claires de préparatifs militaires" autour de la centrale, qui est la plus large d'Europe, lors de sa visite il y a trois semaines.
La flotte russe du Pacifique sera bientôt équipée de sous-marins spécialement conçue pour lancer les torpilles Poséidon.
La Russie a pris le Bélarus en "otage nucléaire", a estimé dimanche l'Ukraine à la suite de l'annonce par le président Vladimir Poutine d'un déploiement d'armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié."Le Kremlin a pris le Bélarus comme otage nucléaire", a écrit sur Twitter le secrétaire du Conseil de sécurité ukrainien Oleksiï Danilov, ajoutant que cette décision est un "pas vers la déstabilisation interne du pays".
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé samedi le déploiement d’ogives nucléaires “tactiques” en Biélorussie. C’est la première fois depuis les années 90 que la Russie va entreposer des armes nucléaires hors de ses frontières.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que Moscou allait déployer des armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié, le Bélarus, un pays situé aux portes de l'Union européenne.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, est attendu vendredi soir à Téhéran pour des discussions sur le programme nucléaire iranien, une visite qui intervient après la découverte de particules d'uranium enrichi proches du niveau pour fabriquer une bombe atomique.M. Grossi doit s'entretenir samedi avec plusieurs responsables iraniens, notamment le président Ebrahim Raïssi, selon des sources diplomatiques à Vienne, où siège l'agence spécialisée de l'ONU.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, a entamé, vendredi, une série de rencontres avec de hauts responsables iraniens à Téhéran. Cette visite en urgence intervient quelques jours après la découverte en Iran de particules d'uranium enrichies à un seuil proche de la quantité nécessaire pour produire une bombe atomique.
La France a dénoncé jeudi la "trajectoire très préoccupante" de la politique nucléaire de l'Iran après un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) évoquant des particules d'uranium enrichi à plus de 80%. "Ce rapport fait état d'une trajectoire très préoccupante de l'Iran qui n'a aucune justification", a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Anne-Claire Legendre, évoquant "un développement sans précédent et extrêmement grave".
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a demandé des “clarifications” à Téhéran, après la découverte de particules d’uranium enrichi à près de 84 %, frisant le seuil permettant de fabriquer une bombe atomique.
L'AIEA a détecté en Iran des particules d'uranium enrichi à 83,7%, soit juste en deçà des 90% nécessaires pour produire une bombe atomique, sans pouvoir dire à ce stade si ce seuil a été atteint accidentellement ou volontairement.Ces particules ont été découvertes à la suite de la collecte d'échantillons en janvier dans l'usine souterraine de Fordo, a précisé l'instance onusienne dans un rapport consulté mardi par l'AFP, qui confirme ainsi des informations données par des sources diplomatiques.
Les Etats-Unis ont qualifié la décision russe de « très décevante et irresponsable ». Le traité signé en 2010 est le dernier accord bilatéral du genre liant Moscou et Washington.
Dans son discours du 21 février, le président russe a annoncé que Moscou interromprait sa participation au dernier accord majeur sur les armes atomiques avec Washington. Entamée il y a cinquante ans, l’ère de la limitation des armes nucléaires “touche peut-être à sa fin”.
Le président Poutine a annoncé dans un discours, ce mardi, suspendre la participation de la Russie au traité de désarmement nucléaire New Start. De quoi s’agit-il ?
A l'occasion du première anniversaire de la guerre en Ukraine, le chercheur Nicolas Gosset fait le point sur le conflit auprès de l'agence Belga.
Le constat n’est pas récent, mais le 24 février 2022 lui a donné une tournure nouvelle : nous ne vivons pas la guerre, mais nous ne sommes pas en paix. L’invasion de l’Ukraine par la Russie a déclenché, ici à l’Ouest de l’Europe, un intense enchevêtrement d’affects : choc et sidération face à une guerre qui éclate sur le continent européen ; peur devant la possibilité d’une escalade ; sentiments de solidarité envers les Ukrainiens ; angoisse sourde suscitée par la réapparition de la menace d’une guerre nucléaire sur notre scène géopolitique. Aux premières semaines de la guerre, une grande excitation était également palpable, une atmosphère de survoltage, rythmée par l’emballement médiatique et les appels politiques à la mobilisation. Dans le même temps, nous n’en demeurons pas moins à une certaine distance de la guerre, physiquement et affectivement, à l’abri de ses violences, et priant pour le rester.
Tic, tac, tic, tac, … En ce début d’année 2023, les aiguilles de l’horloge de l’apocalypse (Doomsday Clock)...
Humanity is now a ‘geological superpower’ and declaring a new epoch is critical to tackling its impact, scientists say

2022

Menaces de recourir à l'arme nucléaire, catastrophe climatique: l'année 2022 aura été celle où la perspective d'un "Armageddon" s'est faite soudainement plus réelle.
Téhéran se rapproche ainsi des 90 % nécessaires à la confection d’une bombe atomique, contrariant l’accord international de 2015 sur son programme nucléaire.
L'Iran a commencé à produire de l'uranium enrichi à 60% dans son usine de Fordo, dans une nouvelle entorse à ses engagements pris auprès des grandes puissances, décidée après une résolution critique adoptée par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Déjà, l'an dernier, l'Iran avait annoncé avoir commencé à produire de l'uranium enrichi à 60% sur le site de Natanz (centre), se rapprochant des 90% nécessaires pour produire une bombe atomique.
Depuis le début du conflit en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a régulièrement brandi la menace nucléaire, et plus particulièrement ces dernières semaines. Cette situation donne l’occasion de rappeler quels pays disposent de l’arme nucléaire et lesquels présentent le plus grand arsenal.
Il y a soixante ans lors de la crise des missiles à Cuba, le monde a cru frôler la catastrophe nucléaire. A l'heure où le président russe Vladimir Poutine laisse planer la menace d'un recours à l'arme atomique dans la guerre qu'il mène à l'Ukraine, retour sur certains de ces potentiels moments de bascule.
Steadfast Noon, c’est le nom d’une opération militaire qui a lieu en ce moment dans notre ciel. Les forces aériennes chargées de missions nucléaires entamaient ce lundi, au départ de la base aérienne de Kleine-Brogel (Limbourg), cet exercice "de dissuasion" de routine impliquant une soixantaine d’avions de divers types, dont des bombardiers stratégiques B-52 Stratofortress américains.
L’essai souligne la progression du pays, l’un des plus grands importateurs d’armes au monde, vers la fabrication de son propre matériel militaire.
Toute attaque nucléaire de la Russie contre l'Ukraine entraînera une réponse militaire des occidentaux "si puissante que l'armée russe sera anéantie", a affirmé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.
L’évocation d’un possible recours à l’arme atomique, menace régulièrement brandie par Vladimir Poutine, ne saurait être réduite à un outil de guerre comme un autre. Une telle banalisation aurait en outre des effets dévastateurs en matière de prolifération.
Alors que la menace d’utilisation d’armes nucléaires grandit, que ce soit du côté de la Russie ou de la Corée du Nord, la discussion tourne essentiellement autour du recours aux bombes dites "tactiques". Une famille d’armes nucléaires présentées comme "moins puissantes". Au risque de rendre plus acceptable l'utilisation d'armes de destruction massive ?
Certains pensent que les armes nucléaires créent une stabilité géopolitique internationale par le risque de destruction mutuelle assurée. D’autres, exactement l’inverse : que cette apparence de sécurité est une illusion catastrophique.
"Nous n'avons pas de raison d'ajuster notre propre posture nucléaire stratégique, pas plus que nous n'avons d'indications que la Russie se prépare à utiliser de manière imminente des armes nucléaires", a dit vendredi la porte-parole de la Maison Blanche.
Le président américain a déclaré qu'il existait bien, "pour la première fois depuis la crise des missiles cubains, une menace directe d'utilisation d'armes nucléaire"
Faut-il prendre au sérieux les menaces plus ou moins explicites de guerre nucléaires brandies par Vladimir Poutine ? Par-delà la propagande et la communication de guerre, Jean-Marc Royer s’attelle à démontrer qu’il s’agit d’une hypothèse à prendre très au sérieux. En scrutant les déclarations, traités d’armements et mouvements des deux blocs russes et états-uniens, cette analyse rigoureuse et fortement documentée dessine la possibilité d’une escalade aux conséquences redoutables.
L'ancien directeur de la CIA et général de l'armée à la retraite déclare que le président russe est "désespéré" et que la réalité du champ de bataille auquel il est confronté est "irréversible".
Les Etats-Unis seraient très probablement au courant de préparatifs russes pour une attaque nucléaire contre l'Ukraine, et Moscou pourrait aussi vouloir que cela se sache, estiment des experts.
Les États-Unis ont demandé via des canaux privés à la Russie de mettre fin à son discours agitant la menace nucléaire dans la guerre en Ukraine, une arme dont l'utilisation aurait, prévient Washington, des conséquences "catastrophiques".
Conseiller à la sécurité nationale du président Joe Biden, Jake Sullivan a déclaré dimanche 25 septembre que “les États-Unis [avaient] prévenu la Russie qu’il y aura [it] ‘des conséquences catastrophiques’ si elle utilis[ait] des armes nucléaires en Ukraine”, rapporte The Wall Street Journal.
Dans son allocution de ce mercredi matin annonçant une «mobilisation militaire partielle», Vladimir Poutine ne parle plus de l’Ukraine comme ennemi, mais de «l’Occident collectif». Un aveu d’échec devant l’avancée de la contre-offensive ukrainienne.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a affirmé mercredi "ne pas être en position de garantir que le programme nucléaire iranien est exclusivement pacifique", du fait de l'absence de réponses de Téhéran sur la question des sites non déclarés. Dans un rapport publié avant le Conseil des gouverneurs de la semaine prochaine, le directeur général de l'instance onusienne Rafael Grossi, se dit "de plus en plus inquiet" alors qu'"aucun progrès n'a été fait pour résoudre" le dossier des traces d'uranium enrichi retrouvées par le passé en divers endroits. Il appelle la République islamique "à répondre à ses obligations légales" et à coopérer au plus vite.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a haussé le ton mercredi face à l'Iran, disant "ne pas être en position de garantir que le programme nucléaire iranien est exclusivement pacifique". En cause, "l'absence de progrès" sur la question de trois sites non déclarés, où des traces d'uranium ont été découvertes par le passé, selon un rapport confidentiel consulté par l'AFP.
La Russie a empêché vendredi l'adoption d'une déclaration commune à l'issue des quatre semaines de la conférence d'examen à l'ONU du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), dénonçant des termes "politiques".
Une référence à Zaporijjia pousse la Russie à bloquer l’adoption d’un texte de l’ONU sur la non-prolifération La délégation russe a affirmé que le document présenté par la 10e Conférence des parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires favorisait Kiev. Elle a rejeté la responsabilité de l’échec des négociations sur “les protecteurs” de l’Ukraine.
Atmospheric soot loadings from nuclear weapon detonation would cause disruptions to the Earth’s climate, limiting terrestrial and aquatic food production. Here, we use climate, crop and fishery models to estimate the impacts arising from six scenarios of stratospheric soot injection, predicting the total food calories available in each nation post-war after stored food is consumed. In quantifying impacts away from target areas, we demonstrate that soot injections larger than 5 Tg would lead to mass food shortages, and livestock and aquatic food production would be unable to compensate for reduced crop output, in almost all countries. Adaptation measures such as food waste reduction would have limited impact on increasing available calories. We estimate more than 2 billion people could die from nuclear war between India and Pakistan, and more than 5 billion could die from a war between the United States and Russia—underlining the importance of global cooperation in preventing nuclear war.