Nucléaire militaire

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Bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasakiwikipedia

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2024

L'armée russe a annoncé mardi avoir débuté près de l'Ukraine des exercices militaires sur l'utilisation d'armes nucléaires tactiques, ordonnés début mai par le président Vladimir Poutine, en assurant qu'il s'agissait d'une réponse aux "menaces" occidentales.
Dans un entretien publié samedi par les journaux de l'Est de la France, le président français a une nouvelle fois évoqué la perspective d'une défense européenne qui comprendrait l'arme nucléaire. "Mettons tout sur la table et regardons ce qui nous protège véritablement de manière crédible", a-t-il déclaré.
L’armée va utiliser la centrale EDF de Civaux afin de produire du tritium pour la dissuasion nucléaire. Patrice Bouveret, directeur de l’Observatoire des armements, y voit un signe de « l’escalade guerrière » d’Emmanuel Macron.
Le ministère des Armées a annoncé lundi une "collaboration" avec EDF afin d'utiliser la puissance des deux réacteurs nucléaires de la centrale de Civaux pour produire avec le CEA du tritium, "un gaz rare indispensable aux armes de la dissuasion".Cette annonce, présentée comme un projet de long terme, fait suite à une visite du ministre de la Défense Sébastien Lecornu à Civaux, dans la Vienne.
Des feux de forêts sur fond de record de chaleur ravagent le Texas aux Etats-Unis. Une usine d’armement nucléaire a dû arrêter ses activités face au risque des incendies.
Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, Téhéran a fortement augmenté ces derniers mois son stock d’uranium enrichi. Ses stocks s’élèvent désormais à plus de 27 fois la limite autorisée par l’accord international de Vienne.
Washington le suggère, Moscou dément et les analystes s'interrogent sur une perspective lointaine mais préoccupante dans un contexte géopolitique explosif.
Un porte-parole de la Maison Blanche a levé le voile, jeudi, sur la "grave menace pour la sécurité nationale" venue de Moscou et évoquée la veille. Il a affirmé qu'il s'agissait du développement d'une arme antisatellite, estimant qu'il s'agissait d'un élément "inquiétant" sans représenter "une menace immédiate".
D'après les services de renseignement américains, la Russie cherche à développer une arme nucléaire capable de détruire des satellites dans l'espace. "Une grave menace pour la sécurité nationale", a averti mercredi le Républicain Mike Turner, président de la Commission permanente sur le renseignement de la Chambre des représentants.
De hauts responsables américains ont annoncé mercredi que les Etats-Unis étaient confrontés à une nouvelle et "grave menace".
Le Bélarus se veut rassurant face à cette nouvelle doctrine promettant pourtant l’arrivée du nucléaire sur le sol biélorusse.
Pour protester contre les exercices militaires conjoints menés par la Corée du Sud, le Japon et les États-Unis, Pyongyang a annoncé vendredi avoir testé un "système d'armement nucléaire sous-marin".

2023

Le géant russe de l'énergie atomique Rosatom a dévoilé mardi un nouveau réacteur destiné à équiper son futur brise-glace à propulsion nucléaire, crucial pour les ambitions polaires de Moscou, qui veut faire des eaux de l'Arctique une route commerciale vers l'Asie.
Les dangers se multiplient autour des centrales nucléaires ukrainiennes du fait de la proximité des combats et des coupures d'électricité, s'est inquiété mercredi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi."Il y a un tas de dangers qui se multiplient et qui sont là jusqu'à la fin du conflit", a déclaré M. Grossi devant la presse, en marge d'une visite du site prévu pour l'enfouissement de déchets radioactifs à Bure (Meuse), dans l'est de la France.
Faut-il montrer sa capacité nucléaire ? Et comment ! répond Dimitri Trenine. • Une nouvelle intervention du débat en cours en Russie sur l’emploi du nucléaire, –en Ukraine et ailleurs. • Ce débat s’impose parce que s’impose le constat que la dissuasion est morte et que pour que l’arme nucléaire soit efficace, il faut la montrer et il faut montrer qu’on est prêt à s’en servir dès qu’on jugera nécessaire de le faire. • La guerre en Ukraine est une effrayante leçon de travaux pratiques sur la plus terrible des armes de destruction massive.
“Nous avons reçu des missiles et des bombes de la Russie”. Une phrase qui a de quoi glacer le sang, prononcée par le président du Bélarus sur une chaîne publique russe. Pire encore : “Ces armes sont trois fois plus puissantes que celles lancées sur Hiroshima et Nagasaki”, a-t-il fièrement ajouté.
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
Les autorités russes ont signalé, lundi, l’« entrée d’un groupe de sabotage et de reconnaissance de l’armée ukrainienne dans le district de Graïvoron » et ont évacué le site de stockage d’armements nucléaires de Belgorod-22. Kiev nie toute implication.
Déclaration conjointe de la présidente du Comité international de la Croix-Rouge, Mirjana Spoljaric, et du président de la Société de la Croix-Rouge du Japon, Atsushi Seike, en amont du Sommet du G7 qui se tiendra à Hiroshima du 19 au 21 mai 2023
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé samedi le déploiement d’ogives nucléaires “tactiques” en Biélorussie. C’est la première fois depuis les années 90 que la Russie va entreposer des armes nucléaires hors de ses frontières.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que la Russie allait déployer des armes nucléaires "tactiques" en Biélorussie. Kiev a estimé dimanche que Moscou prenait Minsk en "otage nucléaire".
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que Moscou allait déployer des armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié, le Bélarus, un pays situé aux portes de l'Union européenne.
EDF a été sommé mardi par le gendarme du nucléaire de "réviser sa stratégie" pour résoudre les problèmes qui perturbent lourdement ses centrales depuis fin 2021, après la découverte d'une fissure d'ampleur sur un circuit de secours d'un réacteur à l'arrêt, Penly 1, en Seine-Maritime. Passée inaperçue jusqu'à sa médiatisation mardi par le site Contexte, une note d'EDF publiée le 24 février indique avoir décelé à Penly 1 un "défaut significatif de corrosion sous contrainte" sur une conduite de secours servant à refroidir le réacteur en cas d'urgence.
Les Etats-Unis ont qualifié la décision russe de « très décevante et irresponsable ». Le traité signé en 2010 est le dernier accord bilatéral du genre liant Moscou et Washington.
Dans son discours du 21 février, le président russe a annoncé que Moscou interromprait sa participation au dernier accord majeur sur les armes atomiques avec Washington. Entamée il y a cinquante ans, l’ère de la limitation des armes nucléaires “touche peut-être à sa fin”.

2022

La Russie a accusé dimanche les forces ukrainiennes d'avoir procédé à de nouveaux bombardements contre la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, tout en assurant que le niveau de radiation y restait "conforme à la norme". "Le régime de Kiev ne cesse pas les provocations afin de créer la menace d'une catastrophe à la centrale nucléaire de Zaporijjia", la plus grande d'Europe et occupée militairement par la Russie, a affirmé l'armée russe dans un communiqué.
Steadfast Noon, c’est le nom d’une opération militaire qui a lieu en ce moment dans notre ciel. Les forces aériennes chargées de missions nucléaires entamaient ce lundi, au départ de la base aérienne de Kleine-Brogel (Limbourg), cet exercice "de dissuasion" de routine impliquant une soixantaine d’avions de divers types, dont des bombardiers stratégiques B-52 Stratofortress américains.
Toute attaque nucléaire de la Russie contre l'Ukraine entraînera une réponse militaire des occidentaux "si puissante que l'armée russe sera anéantie", a affirmé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.
L’évocation d’un possible recours à l’arme atomique, menace régulièrement brandie par Vladimir Poutine, ne saurait être réduite à un outil de guerre comme un autre. Une telle banalisation aurait en outre des effets dévastateurs en matière de prolifération.
"Nous n'avons pas de raison d'ajuster notre propre posture nucléaire stratégique, pas plus que nous n'avons d'indications que la Russie se prépare à utiliser de manière imminente des armes nucléaires", a dit vendredi la porte-parole de la Maison Blanche.
L'ancien directeur de la CIA et général de l'armée à la retraite déclare que le président russe est "désespéré" et que la réalité du champ de bataille auquel il est confronté est "irréversible".
Faut-il prendre au sérieux les menaces plus ou moins explicites de guerre nucléaires brandies par Vladimir Poutine ? Par-delà la propagande et la communication de guerre, Jean-Marc Royer s’attelle à démontrer qu’il s’agit d’une hypothèse à prendre très au sérieux. En scrutant les déclarations, traités d’armements et mouvements des deux blocs russes et états-uniens, cette analyse rigoureuse et fortement documentée dessine la possibilité d’une escalade aux conséquences redoutables.
Les États-Unis ont demandé via des canaux privés à la Russie de mettre fin à son discours agitant la menace nucléaire dans la guerre en Ukraine, une arme dont l'utilisation aurait, prévient Washington, des conséquences "catastrophiques".
L'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom a accusé lundi la Russie d'avoir bombardé le site de la centrale de Pivdennonooukraïnsk, dans le sud du pays.
Pivdennonooukraïnsk L'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom a accusé lundi la Russie d'avoir bombardé le site de la centrale de Pivdennonooukraïnsk, dans le sud du pays faisant craindre une nouvelle fois un incident nucléaire. "Le 19 septembre 2022, à 00H20 locales (21H20 GMT dimanche), l'armée russe a bombardé la zone industrielle de la centrale nucléaire de Pivdennonooukraïnsk", a indiqué Energoatom sur Telegram. "Une puissante explosion s'est produite à seulement 300 mètres des réacteurs", a-t-il précisé. "Actuellement, les trois réacteurs de la centrale fonctionnent en régime régulier", a assuré l'opérateur public selon lequel le bombardement n'a pas fait de morts ou de blessés.
La Russie a empêché vendredi l'adoption d'une déclaration commune à l'issue des quatre semaines de la conférence d'examen à l'ONU du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), dénonçant des termes "politiques".
En 1982, dans le cadre d’immenses mobilisations citoyennes pour la préventions des conflits nucléaires, une association de médecins (https://ampgn-belgium.be/) publie une brochure compilant les connaissances physiques et surtout médicales des impacts potentiels de l’explosion d’une charge nucléaire sur Bruxelles. Pour retrouver l’intégralité digitalisée de la brochure « Armes nucléaires : les médecins désarmés » : https://obsant.eu/entrees/Brochure_Ampgn_1982_alg.pdf A l’heure où Antonio Guterres, Secrétaire des Nations-Unies, rappelle les dangers de l’utilisation potentielle d’armes nucléaires pour l’Humanité, retrouvez ci-dessous, la partie « armes et conséquences médicales » de cette brochure éditée en 1982. Les connaissances ont évolué, mais les informations reprises sont toujours d’actualité.
L'humanité "joue avec un pistolet chargé" dans le contexte des crises actuelles à connotation nucléaire, a averti le secrétaire général de l'ONU à Hiroshima à l'occasion du 77e anniversaire samedi du bombardement atomique américain sur le Japon.
77 ans après les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki, les puissances nucléaires continuent à se doter d’armes nucléaires. Une mise en danger de l’humanité que cette prolifération prolonge.
L'armée russe a déployé des lanceurs de missiles sur le site de la centrale nucléaire de Zaporijjia (sud), sous contrôle des Russes depuis début mars, grâce auxquels elle pilonne notamment la région de Nikopol, a affirmé vendredi le patron d'Energoatom, l'opérateur ukrainien.
La Russie va livrer "dans les prochains mois" au Bélarus des missiles capables de transporter des charges nucléaires, a annoncé samedi Vladimir Poutine en recevant le dirigeant bélarusse Alexandre Loukachenko, en pleines tensions entre leurs pays et l'Occident autour de l'Ukraine.
Inattaquable à cause du risque d’accident nucléaire majeur, le site « sanctuarise » l’occupation russe dans le sud du pays.
Les dépenses des puissances nucléaires pour moderniser leur arsenal atomique ont augmenté de près de 9% en 2021 pour atteindre 82,4 milliards de dollars, selon un rapport de la Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (ICAN).
Après 35 ans de déclin, le nombre d'armes nucléaires dans le monde devrait repartir à la hausse dans la décennie à venir, selon un rapport de référence publié lundi.
Boris Johnson est le premier dirigeant occidental à entériner un soutien militaire à la Finlande et à la Suède en cas d’agression russe, en signant un pacte de défense mutuelle lors d’une visite dans la région, le 11 mai. Selon The Times, le Premier ministre britannique a déclaré que la Grande-Bretagne envisagerait “très sérieusement” de déployer des armes nucléaires pour protéger la souveraineté des deux pays au moment ils sont sur le point de rejoindre l’Otan après des années de non-alignement.
Le ministère russe des Affaires étrangères a exclu vendredi l'utilisation d'armes nucléaires en Ukraine. Elles ne sont d'aucune utilité pour "l'opération militaire spéciale", a-t-il déclaré, désignant ainsi l'invasion du pays voisin.
Les générations actuelles n’ont pas connu Hiroshima et Nagasaki. Pour beaucoup, les armes nucléaires sont des engins de science-fiction. La réalité est tout autre.
Après le missile Kinjal, utilisé un mois plus tôt par Moscou lors de la destruction d’un entrepôt souterrain d’armements dans l’ouest de l’Ukraine, une autre arme de type hypersonique est au centre de l’attention depuis ce mercredi : le missile Sarmat, également appelé «Satan 2».
La France vient de rehausser son niveau d'alerte en matière de dissuasion nucléaire. Désormais, trois des sous-marins dotés de cette arme sont en mer, une situation inédite.
Compte tenu de l'attaque de la centrale ukrainienne de Zaporijjia par l'armée russe, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a fait le point sur la situation dans une conférence de presse ce vendredi matin.
Dès le début de la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a brandi la menace nucléaire. Présentée habituellement comme une arme de dissuasion, son utilisation aurait des conséquences désastreuses.
Depuis plu­sieurs décen­nies, les tra­vaux du lin­guiste éta­su­nien Noam Chomsky ali­mentent les luttes, les ana­lyses et les débats du mou­ve­ment anti­ca­pi­ta­liste inter­na­tio­nal. Celui qui figu­ra sur la « mas­ter list » des oppo­sants à Nixon et milite pour l’a­bo­li­tion des armes nucléaires s’in­té­resse depuis de nom­breuses années à l’Ukraine, en guerre depuis 2014.
L’entreposage des combustibles nucléaires usés était au cœur des discussions entre l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), EDF et Orano, jeudi 10 février, a indiqué l’ASN dans une note publiée le 1er mars. Alors que les piscines d’entreposage de l’usine Orano de La Hague (Manche) pourraient arriver à saturation avant 2030, les exploitants planchent sur trois options pour gérer les combustibles usagés en attendant l’aboutissement du projet de nouvelle piscine d’entreposage centralisé d’EDF, prévu à l’usine de La Hague en 2034.
Les forces armées russes se trouvent à proximité de la plus grande centrale nucléaire d'Ukraine, a rapporté lundi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), réitérant sa "vive préoccupation" au cinquième jour de la guerre.
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé dimanche mettre en alerte la "force de dissuasion" de l'armée russe, qui peut comprendre une composante nucléaire, au quatrième jour de l'invasion de l'Ukraine par Moscou.
Pour contrer un Poutine sans limites qui a brandi la menace nucléaire, l’Union a promis de fournir des armes à Kiev. Une décision historique pour les Européens.
Rapprochement économique, alliance militaire, "complicité" dans l'invasion de l'Ukraine... La Biélorussie, devenu un état vassal de la Russie, multiplie les signes d'allégeance envers Moscou et pourrait même accueillir une partie de l'arsenal nucléaire russe à la faveur d'une modification de la constitution prévue dimanche.
L'Ukraine a dit vendredi avoir enregistré des données de radiation préoccupantes à la centrale accidentée de Tchernobyl, tombée aux mains de l'armée russe la veille, Moscou affirmant pour sa part que tout y était sous contrôle. "Il y a eu une hausse des indicateurs au-delà des niveaux de contrôle à 03H20 (02H20 heure belge vendredi)", a indiqué à l'AFP le directeur-adjoint du département ukrainien pour les questions de sécurité des installations nucléaires, Alexandre Grigorach. "Mais on ne peut pas vérifier, car tout le personnel a été évacué", a-t-il indiqué, joint par téléphone.
En riposte au retrait américain de l'accord sur le nucléaire en 2018, Téhéran a accéléré ses activités nucléaires ces dernières années. En 2021, la République islamique a franchi plusieurs étapes, parvenant à porter le taux d'enrichissement d'uranium au seuil inédit de 60 %. L'Iran se rapproche ainsi de la barre des 85 % nécessaires à la confection d'une bombe, même si de nombreuses étapes sont encore requises avant de disposer de missiles équipés d’une ogive nucléaire.
Pour garantir l’accès aux informations qui font défaut sur le sujet du démantèlement des installations, une « implication parlementaire » est indispensable, estiment le directeur de l’Observatoire des armements, Patrice Bouveret, et le porte-parole d’ICAN France, Jean-Marie Collin, dans une tribune au « Monde ».
Dans une note politique, la Coalition belge contre les armes nucléaires formule un certain nombre de recommandations politiques pour restaurer la crédibilité du pays et jouer un rôle de premier plan dans le désarmement nucléaire international.
L'Autriche, farouchement antinucléaire au point que son unique centrale n'a jamais fonctionné, ne décolère pas contre le projet de label "vert" en Europe pour l'atome et le gaz. Et portera plainte si Bruxelles persiste et signe. "Aucune de ces deux formes d'énergie ne sont durables et n'ont donc aucune raison d'être incluses dans la taxonomie", la liste des activités pouvant bénéficier des avantages de la finance verte, déclare la ministre de l'Environnement Leonore Gewessler, dans un entretien à l'AFP.
Les cinq pays membres du Conseil de sécurité (États-Unis, Chine, Russie, Royaume-Uni et France) de l'Onu se sont engagés à "prévenir la poursuite de la dissémination" des armes nucléaires, dans une déclaration commune avant une conférence d'examen du Traité sur la non-prolifération (TNP).

2021

Moins connu que le nucléaire civil, le nucléaire militaire produit une quantité importante de déchets radioactifs, selon un rapport. Les risques vont croître car l’État poursuit sa politique de dissuasion nucléaire.
Vingt-cinq ans après la fin des essais nucléaires dans l'archipel des Tuamotu, le délégué à la sûreté nucléaire et à la radioprotection, François Bugaut, a affirmé à l'AFP qu'"il n'y a aucun risque lié à la radioactivité en Polynésie". Le livre-enquête "Toxique", paru en mars, soutenait le contraire, estimant notamment que l'armée et la France avaient minoré les retombées atmosphériques après les essais nucléaires et les doses reçues par les Polynésiens.
Cette manœuvre montre que les capacités de la Chine sont supérieures à ce qui était connu jusqu'ici, a ajouté le Wall Street Journal, citant des responsables américains non identifiés.
...si le tir a eu lieu tel que le décrit le journal, il s’agirait d’un tir de lanceur spatial qui aurait mis en orbite basse un planeur hypersonique. Celui-ci aurait quasiment effectué une révolution sur une orbite complète avant de redescendre sur le territoire chinois. Selon le Financial Times, il s’agissait d’un engin capable d’emporter des armes nucléaires.
Land-based nuclear weapons are world-ending accident waiting to happen, and completely superfluous to a reliable deterrent.
La Russie a annoncé lundi avoir expérimenté avec succès un tir de missile de croisière hypersonique Zircon depuis un sous-marin, arme d'un nouveau type que Moscou juge invincible et qui inquiète Washington.
Ce 21 septembre, Journée internationale pour la paix, 112 villes et communes belges arborent le drapeau de la paix contre les armes nucléaires, à l’initiative de la CNAPD, Coordination nationale d’action pour la paix et la démocratie, et la coalition belge contre les armes nucléaires.
Pour l’autrice de cette tribune, le désarmement nucléaire est essentiel à la préservation de l’environnement. Mais si les traités internationaux font avancer cette question, la France, qui tient à sa coûteuse force de dissuasion, est à la traîne.
Les bombes atomiques larguées par les États-Unis sur les villes d’Hiroshima et de Nagazaki, les 6 et 9 août 1945, firent entrer le monde dans le premier âge nucléaire. Puis, l’Union soviétique se dota à son tour de telles armes, ce qui permit d’établir un « équilibre de la terreur » entre les deux puissances rivales d’alors. D’autres pays s’engagèrent sur cette voie. Tel fut le cas de la Grande Bretagne, de la France et de la Chine.
En théorie, la technologie d’un réacteur nucléaire au thorium et sels fondus ne présente que des avantages. Elle est bien plus sûre que celle d’un réacteur à uranium ou plutonium puisque le refroidissement ne se fait pas via un système à eau pressurisée. Il n’y a quasiment pas de déchets radioactifs et ce réacteur peut difficilement servir à fabriquer des armes atomiques.
Parmi les nouvelles “super-armes” dont Vladimir Poutine souhaitait équiper la Russie, nous retrouvons une torpille nucléaire furtive. L’objectif est de générer des tsunamis radioactifs. Alors que cet engin est encore en cours de perfectionnement, celui-ci laisse craindre le pire en cas de conflit.
Le Premier ministre Boris Johnson annoncera mardi que le Royaume-Uni relèvera de "plus de 40%" le plafond des ogives nucléaires qu'il est autorisé à stocker, ont révélé lundi soir deux médias britanniques.  Downing street a annoncé dans un communiqué que M. Johnson délivrerait mardi devant le Parlement les conclusions d'un rapport sur la défense, la sécurité et la politique étrangère du pays, qui déterminera la ligne du gouvernement pour la décennie à venir.
Le 5 février prochain, le traité New START [1] de contrôle des armements nucléaires stratégiques (portée supérieure à 5.500 km)  entre les Etats-Unis et la Russie doit expirer. Il fut signé par Obama et Medvedev en 2010 et ratifié le 5 février 2011.
Après Vancouver, la ville de Barcelone a rejoint le traité sur la non-prolifération des combustibles fossiles, qui entend faire des énergies fossiles une menace aussi dangereuse que les armes nucléaires.
Outre une baisse du rayonnement solaire et un refroidissement brutal du climat, un conflit armé de grande échelle déclencherait l’apparition d’un phénomène baptisé El Niño nucléaire. C’est en tout cas ce que détaille une étude menée par des chercheurs de l’Université Rutgers (New Jersey, États-Unis). Les résultats ont été publiés dans la revue Communications Earth & Environment.
Le traité d'interdiction des armes nucléaires (TIAN) entre en vigueur ce vendredi. Signé à ce jour par 86 pays dont trois des membres de l’Union européenne qui ne font pas partie de l’OTAN - l'Autriche, l'Irlande et Malte – il interdit l'utilisation, la menace d'utilisation, la production, l'acquisition, le stockage et le transfert d'armes nucléaires.
Les Pays-Bas ont autorisé durant la Guerre froide les Etats-Unis à stocker sur leur territoire des armes nucléaires pour équiper les intercepteurs américains stationnés sur la base aérienne de Soesterberg (centre), rapporte samedi le journal 'De Volkskrant', en citant des documents confidentiels découverts par un chercheur.

2020

Voici une excellente nouvelle: ce 24 octobre est et restera une date historique, le Traité d'Interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) a obtenu sa cinquantième ratification, du Honduras, celle requise pour son entrée en vigueur. Il prendra pleinement effet dans 90 jours à peine, une lueur en cette sombre période. Vous vous demandez comment l’approche d’une si bonne nouvelle a pu être si discrète ? La réponse est dans les bunkers de la base aérienne de Kleine Brogel, en une vingtaine d’exemplaires.
Le 6 août 1945, il y a juste 75 ans, un bombardier américain lâchait sur Hiroshima une bombe sordidement baptisée "Little Boy". La ville était rayée de la carte, des dizaines de milliers de personnes tuées sur le coup et des dizaines de milliers d’autres promises à des souffrances atroces pendant des semaines ou des années, souvent jusqu’à ce que mort s’ensuive. Cinq ans après leur explosion, les bombardements d’Hiroshima et Nagasaki avaient tué 340.000 personnes. Ils ont précipité la capitulation du Japon, mettant fin à la Seconde Guerre mondiale, et lancé les puissances victorieuses dans une course effrénée à l'accumulation d'ogives nucléaires.
Le gouvernement du président américain Donald Trump a discuté de la possibilité de tenir un nouvel essai nucléaire, pour la première fois depuis 1992, écrit samedi le journal Washington Post sur base de déclarations d'un haut fonctionnaire et de deux anciens fonctionnaires proches des délibérations.
Ce texte émane de l'Association Médicale pour la Prévention de la Guerre Nucléaire, ... Son but est de faire connaître au public, aux politiciens et aux membres des professions médicales et paramédicales les effets catastrophiques qui découleraient de l'utilisation de telles armes et l'impossibilité d'y faire face par des plans sanitaires d'urgence ou des mesures de protection civile.

2019

2018

If the system can’t contact military leaders, it checks for signs of a nuclear strike. Should its computers determine that an attack occurred, it would automatically launch all remaining Soviet weapons at targets across the northern hemisphere. As in the film, the Soviet Union long kept Dead Hand completely secret, eliminating any strategic benefit, and rendering it a pointless menace to humanity. You might think the United States would have a more sensible nuclear launch policy. You’d be wrong.