« L’océan mondial, qui abrite la majorité des espèces vivantes sur Terre (50 à 80 % selon les estimations), génère plus de 60 % des services écosystémiques qui nous permettent de vivre, à commencer par la production de la majeure partie de l’oxygène que nous respirons. Il absorbe environ 30 % des émissions de CO2 générées par l’humanité, ce qui provoque son acidification.
L’océan mondial régule à plus de 80 % le climat de la Terre. Il joue un rôle majeur dans la température terrestre. »
Source : Wikipedia
Coalition citoyenne pour la protection de l’Océan
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Alice Clair et Julien Guillot
Des génies. On pouvait difficilement faire pire. Les politiques erratiques menées par le président américain et son acolyte Elon Musk à la tête du Département de l’efficacité gouvernementale (Doge) ne sont pas au goût de tous. Depuis le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump, les valeurs les plus emblématiques de ses entreprises et de celles de Musk ont plongé.
Retour sur cinq années d’une pandémie qui a fait a minima 7 millions de morts dans le monde entier, en chiffres et en graphiques.
Si la décrue - insuffisante - observée dans certains secteurs s’explique par le contexte du plan de sobriété énergétique mis en place depuis la guerre en Ukraine, d’autres secteurs poursuivent une inquiétante hausse.
Mi-mai, le niveau moyen des nappes phréatiques de 31 départements est encore «bas», voire «très bas». La situation s’est même dégradée dans plusieurs départements.
C’est l’enjeu de la COP26 qui démarre dimache à Glasgow : les 196 pays participants doivent fortement réduire leurs émissions de gaz à effet de serre pour limiter le réchauffement à une augmentation de +1,5° C à l’horizon 2100 par rapport à la période 1850-1900.