Mers et océans

OA - Liste

« L’océan mondial, qui abrite la majorité des espèces vivantes sur Terre (50 à 80 % selon les estimations), génère plus de 60 % des services écosystémiques qui nous permettent de vivre, à commencer par la production de la majeure partie de l’oxygène que nous respirons. Il absorbe environ 30 % des émissions de CO2 générées par l’humanité, ce qui provoque son acidification.
L’océan mondial régule à plus de 80 % le climat de la Terre. Il joue un rôle majeur dans la température terrestre.
 »
Source : Wikipedia

Coalition citoyenne pour la protection de l’Océan

espace50x10

filtre:
mers|océan

mai 2025

La fonte des calottes glaciaires aggrave la hausse du niveau de la mer de manière plus importante que ce qui était anticipé jusqu’à présent, alerte une nouvelle étude scientifique.
Alors que la facture climatique s’alourdit, le climatologue Jean Jouzel et Bertrand Delignon, de la Macif, redoutent l’explosion des sécheresses en France ainsi que la submersion du littoral.
De hoeveelheid CO2 in de atmosfeer is het afgelopen jaar fors toegenomen en dat komt niet (alleen) doordat er meer CO2 is uitgestoten. Het lijkt er sterk op dat de opname van CO2 door oceanen en met name bossen afneemt. Dat is zeer zorgwekkend, stellen wetenschappers.
Avez-vous déjà pensé à ce qui se passerait si toute la vie dans l’océan disparaissait ? Une étude récente explore ce scénario extrême pour comprendre comment la biologie océanique façonne le climat passé, présent et futur. L’océan joue un rôle crucial dans la régulation du climat terrestre. Il constitue un immense réservoir de carbone qui absorbe environ 25 % des émissions humaines, contribuant ainsi à maintenir un niveau relativement bas de CO₂ dans l’atmosphère. Mais que se passerait-il si toute la vie marine – du plus petit plancton à la plus grande baleine – disparaissait ? Une étude récente se penche sur ce scénario extrême afin de révéler le rôle essentiel que joue la biologie océanique dans l’atténuation du changement climatique.
For around 2,000 years, global sea levels varied little. That changed in the 20th century. They started rising and have not stopped since — and the pace is accelerating. Scientists are scrambling to understand what this means for the future just as President Trump strips back agencies tasked with monitoring the oceans.
Les nuages de fumée et de cendres des incendies sauvages qui ont ravagé l’Australie en 2019 et 2020 ont déclenché des efflorescences algales dans l’océan Austral à des milliers de kilomètres à l’est selon une nouvelle étude dirigée par l’Université de Duke et réalisée par une équipe internationale de scientifiques dont Nicolas Cassar, chercheur associé au Laboratoire des sciences de l’environnement marin (LEMAR) à l’IUEM.
Fin 2022, une expédition scientifique à Saya de Malha, dans l'océan Indien, dresse un constat alarmant : les requins de cette zone sont en train de disparaître. En cause, dénoncent les chercheurs, des bateaux de pêches asiatiques venus puiser dans les ressources de cette immense réserve de biodiversité, mais aussi capturer illégalement ces prédateurs, convoités pour leurs ailerons.
On l’appelle la peau de l’océan. Invisible à l’œil nu, cette fine couche d’eau, d’une épaisseur inférieure à 2 millimètres, recouvre l’ensemble des mers du globe. Pendant longtemps, les chercheurs ont soupçonné qu’elle jouait un rôle dans les échanges de gaz entre l’atmosphère et les océans, sans pouvoir en mesurer précisément l’impact. Mais une nouvelle étude dirigée par une équipe de l’Université d’Exeter, en collaboration avec l’Agence spatiale européenne (ESA), vient de confirmer une hypothèse cruciale : la peau de l’océan contribue de manière significative à l’absorption du dioxyde de carbone (CO₂), l’un des principaux gaz à effet de serre. Mieux encore, cette absorption serait largement sous-estimée jusqu’à présent.
En l’absence d’une couche de glace à la surface de l’océan, la lumière qui pénètre les eaux n’est plus la même, ce qui influence le type d’algue et de plancton s’y développant. Une étude publiée dans « Nature » alerte sur des conséquences en chaîne.
À presque 100 ans, le Britannique sort un long métrage rempli d'amour pour les océans mais également avec des messages forts. Il pouvait compter sur la présence du roi Charles pour la première mondiale.
Qu’y a-t-il de si fascinant chez les cétacés ? À quels sacrifices doit-on se préparer pour les protéger ? Le fondateur de Sea Shepherd, Paul Watson, et la présidente de la branche française de l’ONG, Lamya Essemlali, livrent leur vision du militantisme.
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.
Have you ever thought about what would happen if all life in the ocean disappeared? A recent study explores this extreme scenario to understand how ocean biology shapes the past, present, and future climate. The ocean plays a critical role in regulating Earth's climate. It is a massive carbon store that absorbs about 25% of human-caused emissions and thus helps maintain a relatively low CO2 level in the atmosphere. But what would happen if all marine life—from the tiniest plankton to the largest whales—disappeared? A recent study delves into this extreme scenario to uncover the crucial role that ocean biology plays in mitigating climate change.
Alors que l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) a pris du retard sur l'adoption d'un code minier, Donald Trump et le Canadien The Metals Company se sont engouffrés dans la brèche pour lancer la toute première exploitation commerciale minière en fonds marins, au détriment des impacts environnementaux.
Alors que la société canadienne The Metals Company et les Etats-Unis s’allient en vue d’extraire des minerais des grands fonds océaniques, les experts avertissent sur les quantités exploitables limitées, le coût et les risques de la production.

avril 2025

Jeudi dernier, le président américain a annoncé lancer l’extraction à grande échelle des métaux présents dans les profondeurs de l’océan, y compris dans les eaux internationales. Une première mondiale qui chamboule le droit de la mer et relance le bras de fer diplomatique sur la préservation de ces écosystèmes uniques au monde.
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé mardi avoir déposé une première demande d'exploitation minière des fonds marins auprès des États-Unis. Son objectif : aller puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Cinq collectifs ont saisi la Commission européenne, mardi 29 avril. Elles accusent la France, l’Italie et l’Allemagne de manquer à leur devoir de sauvegarder quinze écosystèmes marins, en violation d’une directive européenne datant de 1992.
Donald Trump a signé un décret autorisant le démarrage d’extraction minière dans les eaux internationales, violant tous les traités en cours.
Le président américain a signé un décret pour augmenter l’extraction de minerais au-delà des juridictions américaines, ce qui remet en question les compétences de l’Autorité internationale des fonds marins.