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Un chercheur et éditorialiste influent a été arrêté pour « trahison de l’Etat », et plusieurs de ses confrères ont été interrogés par la police, dans un climat de répression accrue à trois mois de la conférence sur le climat.

Dans les régions du sud et de l’est de l’Ukraine, plusieurs responsables locaux, qui ont choisi de travailler avec les autorités russes d’occupation, ont été assassinés.

Six mois après le début de l’invasion russe, Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire, et notre journaliste Emmanuel Grynszpan ont répondu à vos questions.

Le rêve d’une Crimée sanctuarisée et isolée de la guerre par Moscou a volé en éclats. La péninsule annexée par la Russie en 2014 a été le théâtre, mardi 9 août, d’une série d’explosions sur un aérodrome militaire très utilisé par l’aviation russe pour tirer des missiles de croisière contre l’Ukraine. L’origine reste encore incertaine, mais la version la plus probable est celle d’une première attaque effectuée avec succès par l’armée ukrainienne, peut-être grâce à des missiles de longue portée livrés par un allié occidental. Ce qui signifierait le franchissement d’une ligne rouge définie par Vladimir Poutine, à savoir l’usage d’armes occidentales contre ce que la Russie juge faire partie de son territoire national.

Les combats ont repris autour de l’installation occupée par l’armée russe dans l’est du pays. Kiev n’entend pas laisser Moscou utiliser la peur d’une catastrophe nucléaire comme bouclier tactique.

Kiev accuse l’ONG de faire le jeu de Moscou après la publication d’un rapport sur la mise en danger de civils dans la résistance armée ukrainienne.

Inattaquable à cause du risque d’accident nucléaire majeur, le site « sanctuarise » l’occupation russe dans le sud du pays.