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Le gouvernement flamand a adopté vendredi un plan d'action visant à limiter l'exposition aux pesticides, comme requis par une directive européenne
Le réseau Pesticides Action Network a retrouvé des niveaux élevés d’acide trifluoroacétique (TFA) dans plusieurs eaux minérales, dont Vittel. Issu principalement de la dégradation de pesticides, ce polluant éternel est considéré comme une « menace planétaire » par les scientifiques.
Une étude montre que l’extinction du rapace en Inde provoque une surmortalité humaine, car les carcasses de bêtes qui propagent choléra et rage ne sont plus éliminées, constate l’économiste Pauline Grosjean, dans sa chronique.
C’est polymère à boire. Certaines eaux minérales européennes sont contaminées au TFA, un polluant persistant de la famille des PFAS. C’est ce que montre un rapport détaillé du réseau d’action contre les pesticides (PAN Europe) sorti mardi 3 novembre. Auparavant, plusieurs enquêtes médiatiques avaient révélé la pollution de l’eau du robinet. Alors, laquelle choisir pour préserver sa santé ? Vert fait le point.
Le plus grand désastre industriel de l’histoire a commencé en Inde en décembre 1984. Il a fait au moins 20 000 morts et des milliers de malades. Les pollueurs étasuniens, eux, sont toujours impunis.
Les Etats membres de l'Union européenne doivent se prononcer sur l'interdiction de deux pesticides contenant des substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS), cette semaine. La Commission propose de ne pas renouveler leurs autorisations.
L’addiction de nos sociétés vis-à-vis du plastique ne se dément pas. Or, les preuves de la toxicité de ce matériau, auquel il est désormais impossible d’échapper, s’accumulent depuis quelques années.
Les 175 pays réunis à Busan, en Corée du Sud, ne sont pas parvenus à finaliser le texte dans les temps, ralentis par les pays pétroliers.
Les pays des Nations unies ont échoué à s'entendre sur un traité mondial sur le plastique à l'issue de la cinquième session de négociations. Les discussions vont être prolongées, avec des États pétroliers de plus en plus isolés.
Plusieurs pays, dont la France, ont dénoncé « l’obstruction continue » dans les négociations d’un petit groupe d’Etats – surtout des producteurs de pétrole – qui estiment que le futur accord doit uniquement concerner la gestion des déchets et le recyclage du plastique, sans remonter jusqu’à sa production.
Réunis à Busan, en Corée du Sud, les représentants de plus de 170 pays ont échoué ce dimanche 1er décembre à parvenir à un accord. Le plastique est pourtant un fléau aux conséquences funestes pour la santé, l’environnement et le climat.
Les négociations menées pendant une semaine à Busan, en Corée du Sud, pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique, ont échoué à aboutir à un accord et continueront à une date ultérieure, a annoncé dimanche le diplomate qui préside le processus.
Les pays réunis en Corée du Sud se sont quittés dimanche sans trouver d’accord, en raison de l’obstruction d’un petit groupe d’Etats opposés à l’objectif de réduire la production. Les négociations doivent se poursuivre en 2025.
Des militants de Greenpeace ont abordé samedi un navire pétrochimique au large de la Corée du Sud, où se tiennent des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique. "Des militants de Greenpeace International sont montés à bord d’un pétrolier qui devait charger des produits chimiques plastiques toxiques provenant du complexe sud-coréen Hanwha TotalEnergies", indique Greenpeace dans un communiqué. Ce complexe est situé à Daesan, à environ 60 kilomètres au sud-ouest de Séoul.
Le concept des zones protégées globales L’idée est de préserver des impacts chimiques humains des territoires pour obtenir des avantages dans plusieurs domaines à la fois : protection de la faune et de la flore, de la biodiversité, de l’eau souterraine et superficielle, de l’eau utilisée pour l’alimentation en eau potable, de la génétique (conserver des écosystèmes non perturbés par les produits chimiques fabriqués par l’homme)…
Dernier traité pour Busan. Depuis lundi 25 novembre et jusqu’au 1er décembre, 175 pays se réunissent à Busan, en Corée du Sud, pour finaliser un traité mondial qui doit limiter la pollution plastique. Les pays pétroliers tentent de freiner les négociations, tandis qu’une coalition d’États de «haute ambition» souhaite limiter la production de matière vierge. Un accord est-il possible ? Vert fait le point.
Une étude publiée ce jeudi 28 novembre dans la revue scientifique The Lancet chiffre les ravages sur la santé des incendies de forêt et des brûlages des terres en agriculture, en particulier dans les pays en développement.
L’association Expédition MED alerte sur la hausse notable de la pollution plastique dans cette mer semi-fermée, qui s’accumule notamment entre la Corse et l’île toscane de Capraia
Au moins 220 représentants de l’industrie fossile et chimique participent aux négociations sur un traité mondial à Pusan. Ils s’opposent à toute réduction de la production de plastique.
Dernière ligne droite pour les négociations sur un traité contraignant visant à réduire la pollution plastique.