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L’analyse de la composition du vortex a révélé une nette augmentation de la présence de microparticules de plastique entre 2015 et 2022, symptôme de l’explosion de la production.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques ont fait une découverte choquante : pour la première fois au monde, des microplastiques ont été retrouvés dans la respiration des dauphins.
L’accumulation de nano- et microplastiques dans les organismes marins, notamment les poissons, se reflète dans nos assiettes. Avec quels dangers pour la santé ?
L’amas de plastique qui flotte sur le nord de l’océan Pacifique pourrait être nettoyé d’ici dix ans pour un coût de 7,5 milliards d’euros. Mais si dans un avenir prévisible, le déploiement de drones permet de cartographier la masse flottante, la grande quantité de plastique pourrait être nettoyée en cinq ans et pour un coût de 4 milliards d’euros. C’est ce que rapporte The Ocean Cleanup. Auparavant, l’organisation du Néerlandais Boyan Slat avait indiqué que ce plastique serait de l’histoire ancienne d’ici 2040.
Chaque année, des dizaines de milliers de filets de pêche sont perdus ou abandonnés dans les océans avec des conséquences désastreuses.
Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Dans notre société actuelle, les produits en plastique sont omniprésents. Ils ont envahi tous les aspects de notre quotidien, notamment en raison de leur faible coût et de leur grande polyvalence. Pourtant, ces avantages ne suffisent pas à compenser le terrible fléau que représente la pollution plastique pour notre environnement. Une quantité alarmante de déchets plastiques dans les océans
Dans un état des lieux alarmant, l'Union internationale pour la conservation de la nature prévient mercredi que la moitié des écosystèmes de mangrove mondiaux sont menacés d'effondrement. En cause : la déforestation, le développement, la pollution et la construction de barrages. Mais aussi l'élévation du niveau de la mer et la fréquence accrue des tempêtes violentes associées au changement climatique.
Dans un avis consultatif rendu ce mardi, l’instance estime que les gaz à effet de serre anthropiques absorbés par l’océan constituent une pollution marine, établissant un lien juridique entre océan et climat.
S’il y a quelques siècles de cela, le poisson était une excellente source de protéines, de minéraux, de vitamines et d’oméga-3, difficile d’en dire autant aujourd’hui tant l’océan et les cours d’eau subissent une pollution sans précédent. Et le mercure n’est pas le seul polluant concerné.
Alors que 175 pays se préparent à se réunir à Ottawa pour discuter de la pollution plastique, la Fondation Tara Océan appelle à un traité mondial de réduction de la production de plastique. Objectif : -50 % d'ici 2040.
Les océans sont essentiels à notre survie, assurant la moitié de l'oxygène mondial. Savez-vous quelle est sa plus grande menace ?
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Depuis 1993, l’immersion de déchets radioactifs en mer est interdite. Mais que faire des déchets jetés auparavant dans les océans ?
Désormais omniprésents sur Terre, les microplastiques ont récemment fait l'objet d'une étude concernant leur possible lien avec les ouragans. Selon les résultats, les océans ne sont pas nécessairement une destination finale pour les microplastiques.
Les océans vont contenir plus de plastiques que de poissons en 2050. Scientifiques et militants s'associent pour la préservation des océans.
A Marseille, les invités du Climat Libé Tour ont tenté ce samedi de répondre à une question cruciale : comment arrêter l’hémorragie plastique qui pollue les mers, les airs, et nos organismes ?
Le transport maritime, la prospection minière sous-marine, les activités militaires et même touristiques ont des effets dévastateurs sur la biodiversité marine.
Plastic waste in aquatic environments may be severely disrupting the reproductive behavior of marine animals.
La deuxième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale japonaise accidentée de Fukushima a commencé jeudi 5 octobre, a annoncé son opérateur, alors que ce processus de long terme, entamé fin août, avait scandalisé la Chine. Le rejet a débuté jeudi à 10 h 18, heure japonaise (01 h 18 GMT), a précisé à l'AFP un porte-parole de l'opérateur Tepco.
Les émissions de gaz à effet de serre qu’absorbent les océans doivent-elles être considérées comme de la pollution marine ? La question, plus que jamais d’actualité, n’a rien de rhétorique. Et le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) va devoir y répondre.
Huit des neuf seuils écologiques de survie de la planète sont désormais en passe d’être dépassés, selon une étude de 29 scientifiques internationaux publiée mercredi 13 septembre.
La concentration en tritium de l'eau issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, que le Japon a commencé à rejeter en mer jeudi, est largement inférieure à la limite prévue, a indiqué l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)."Les experts de l'AIEA ont collecté des échantillons cette semaine des eaux préparées pour le premier déversement", a expliqué dans un communiqué l'instance onusienne, qui supervise l'opération.
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Selon une étude parue ce mercredi 12 juillet dans la revue «Nature», plus de 13 000 kilomètres de cours d’eau sur les 215 400 analysés présentent des concentrations de substances supérieures aux limites de sécurité.
Publié sur le site « nos voisins loitains« , association française pour témoigner des conséquences de la catastrophe de Fukushima sur la population. Celleux ci ont publié une vidéo technique sur les problématiques des rejets de tritium dans l’eau, en lutte contre la volonté de rejeter les eaux contaminé de la catastrophe de Fukushima dans la mer.
Pour faire face à une crise de l'eau majeure, 21 000 centrales fabriquent de l'eau potable dans le monde. Tous les jours, elles transforment des millions de litres d'eau de mer en une eau prête à la consommation. Un problème subsiste... Ces usines de dessalement sont loin d'être sans conséquence sur nos océans.
Pour autant, plus de 8 millions de tonnes de plastique y pénètrent chaque année, et avec, les polluants qui les constituent. Portés par les courants, ces déchets se délitent en une multitude de micro- et nanoparticules qui envahissent écosystèmes et organismes marins, sans que nous ayons fini d’en cerner les ravages. Aujourd’hui nous le savons, nous aussi nous mangeons, buvons et respirons du plastique. Pourtant, des solutions existent.
Une étude menée avec la participation de l'IDAEA et de l'IGME localise les polluants organiques dérivés de l'activité humaine dans les eaux intérieures et côtières du continent gelé. L'activité humaine a un impact négatif sur la qualité de l'eau en Antarctique. Telle est la conclusion d'une étude menée par l'Institut de diagnostic environnemental et d'étude de l'eau (IDAEA-CSI .,,)
Notre nourriture, nos boissons et les médicaments que nous prenons, une fois évacués par notre corps, doivent bien aller quelque part. Grâce à un modèle scientifique publié récemment, le parcours d’un véritable déluge de déchets naturels humains partout dans le monde jusqu’au littoral a enfin été exposé à la vue de tous. Et ce n’est pas très joli.
Le plastique ne pollue malheureusement pas que les plages et les fonds océaniques. De la Sierra Nevada colombienne jusqu'au Tibet en passant par les Pyrénées et les Alpes, les microplastiques colonisent les sommets montagneux les plus escarpés. Les vents, la pluie charrient ces particules qui rentrent dans le cycle de l'eau naturelle et se retrouvent ainsi en hautes montagnes.
Pendant dix ans, des dizaines de scientifiques, épaulés par les dernières technologies, sillonneront les océans à la recherche de créatures non identifiées. “Une course contre la montre” avant que le réchauffement climatique et la pollution ne fassent disparaître une partie de cette vie marine.
Des microplastiques, il y en a partout. Ce n’est malheureusement presque plus une surprise d’en trouver dans des endroits retirés. Mais ceux que des chercheurs viennent de trouver au cœur d’agrégats d’algues du côté de l’Arctique les inquiètent encore un peu plus.
Protégée (à première vue) de la pollution humaine, elle est la seule source de nourriture pour une grande faune présente dans les régions arctiques. Maillon central de l’écosystème marin arctique, cette algue est au commencement de la chaîne alimentaire. Mais en étudiant ces algues de plus près, les scientifiques ont fait une découverte inquiétante. Ils viennent de publier leurs conclusions dans la revue Environmental Science and Technology. Selon cette étude, la concentration en microplastique est bien plus importante au cœur des algues que dans l’eau de mer environnante.
Les PFAS polluent les terres et les eaux douces, mais également tous les océans du globe, où ils peuvent subsister pendant de très longues années.
Les BPC sont interdits depuis des décennies, mais on en trouve encore des traces dans le monde naturel comme en témoigne une étude.
Lancée en 2013, l’organisation à but lucratif The Ocean Cleanup a pour objectif de nettoyer les océans des déchets plastiques.
Des images choquantes ont été diffusées montrant des « tsunamis de déchets » s’écoulant dans les cours d’eau d’Indonésie, alors que les déchets plastiques s’accumulent dans ce haut lieu du tourisme. Dans les clips partagés sur les réseaux sociaux, on peut voir des masses d’ordures dévaler les canaux et les collecteurs d’eaux pluviales, l’eau qui les transporte […]
Ce que nous voyons dans les océans en terme de pollution aux microplastiques "n'est que la pointe de l’iceberg", explique à l'AFP le professeur Richard Thompson, spécialiste de cette pollution et directeur de l'Institut marin et de l’École des sciences biologiques et marines à l’université de Plymouth (sud de l’Angleterre). QUESTION: Qu’est-ce qu’un nurdle, à quoi ça sert et pourquoi les trouve-t-on dans l’environnement ? "Un nurdle est un type de microplastique qui ressemble à une lentille