La pollution est la destruction ou dégradation d’un écosystème ou de la biosphère par l’introduction, généralement humaine, d’entités (physiques, chimiques ou biologiques), ou de radiations altérant le fonctionnement de cet écosystème1. La pollution a des effets importants sur la santé et la biosphère, comme en témoigne l’exposition aux polluants et le réchauffement climatique qui transforme le climat de la Terre et son écosystème, en entraînant l’apparition de maladies inconnues jusqu’alors dans certaines zones géographiques, des migrations de certaines espèces, voire leur extinction si elles ne peuvent s’adapter à leur nouvel environnement biophysique. Source : wikipedia
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Julie Carriat
Dans un amer journal « éco-philosophique » rassemblant chroniques et réflexions sur la structuration d’un courant politique « climatocynique », le philosophe Dominique Bourg trace une voie étroite pour la construction de démocraties vertes.
Si tous les courants d’Europe Ecologie-Les Verts reconnaissent qu’il faut sortir du culte de la croissance, seule une partie d’entre eux reprennent ce mot d’ordre à leur compte. La notion, floue et complexe, est perçue comme anxiogène, contre-productive électoralement.