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Après une décennie de procédure, un agriculteur péruvien, Saul Luciano Lliuya, fait face, à partir de ce lundi 17 mars devant la justice allemande, au géant de l’énergie qu’il somme de réparer les effets du réchauffement. Les ONG qui l’épaulent voudraient en faire un cas emblématique de la lutte climatique.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Le 7 février, « un plus bas record a été atteint concernant la surface de banquise cumulée » autour de l’Arctique et l’Antarctique, indique le bulletin mensuel publié par l’observatoire européen.
Le mois qui vient de s’écouler «s’inscrit dans la lignée des températures records ou quasi records» depuis deux ans, pointe le bulletin mensuel publié ce jeudi 6 mars par l’observatoire européen Copernicus.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut : après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l’hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète.
La surface cumulée de la banquise des pôles Nord et Sud est la plus petite jamais observée pour un mois de février. En Arctique, les températures trop douces ont empêché la glace de se reconstituer.
Le plus fort courant océanique de la planète pourrait ralentir avec la fonte des glaces de l’Antarctique, selon des...
Calottes râpées. Le courant océanique circumpolaire antarctique pourrait perdre en intensité à cause de la fonte des glaces de l’Antarctique, révèle une nouvelle étude. Au risque d’accentuer la variabilité du climat.
Nos sentinelles du climat sont en voie de disparition. Selon une étude, la fonte de nos glaciers s'est accéléré ces 20 dernières années.
Une étude révèle que les glaciers fondent à un rythme effréné : 273 milliards de tonnes de glace disparaissent chaque année, soit 3 piscines olympiques par seconde.
Chaque seconde, l'équivalent de trois piscines olympiques de glace fond ou se détache des glaciers de la Terre.
Glaciers sans suite. La fonte mondiale des glaciers s’est accélérée dans la dernière décennie sous l’effet du réchauffement climatique, révèle une étude majeure publiée mardi. Avec d’importantes disparités selon les endroits du monde : les Alpes et les Pyrénées figurent parmi les massifs les plus touchés.
Une étude dirigée par l’Université de Zurich suggère que le rythme de fonte des glaciers de la planète s’accélère depuis 2012. Plus de 250 milliards de tonnes de glace sont perdues en moyenne chaque année
La fonte mondiale des glaciers s'est accélérée dans la dernière décennie, dévoile mercredi une étude inédite, selon laquelle ce phénomène, qui alimente une élévation irréversible du niveau des mers, pourrait être plus rapide qu'attendu à l'avenir.
Entre 2000 et 2023, les glaciers de la planète ont perdu 5% de leur volume, selon une étude dirigée par l'Université de Zurich (UZH). Fait marquant: le processus s’est très nettement accéléré depuis 2012.
Avec la fonte des glaciers en surface, l’eau s’infiltre en profondeurs entre la roche et la glace. À la clé, une cascade de risques, tant pour les calottes glaciaires que pour les glaciers de montagne
Un nouvel article du grand climatologue James Hansen affirme que le réchauffement a accéléré il y a quelques années. La réduction des aérosols liés au fuel des navires en serait la cause. La fonte du Groenland dépasse les prévisions et mènera à un arrêt de la circulation océanique dans 20 -30 ans, ce qui provoquera plus tard une importante montée du niveau de la mer. Il suggère des prévisions climatiques complémentaires à celles du GIEC, qui s’appuieraient plus sur les observations de la réalité.
Les scientifiques constatent que les températures au pôle Nord ont augmenté de plus de 20 °C au-dessus de la moyenne dimanche,
Glace hier. La disparition des géants blancs est l’une des faces des bouleversements climatiques en montagne. Alors que 2025 a été désignée «année internationale de préservation des glaciers» par les Nations unies, des observateur·ices tirent la sonnette d’alarme.
L'océan arctique (pôle nord) est habituellement dominé par la glace de mer qui s'accumule à chaque saison, et qui reste en place pendant des années, même si son épaisseur et son étendue varie en fonction de la saison. Or, les mesures satellitaires de plus en plus précises et multicritères montrent que la banquise arctique fond à une vitesse élevée, suivant une tendance lourde. Dans quelques années, elle ne sera plus.
Selon plusieurs études, le changement climatique pourrait augmenter le risque de séismes dans le monde. En cause, la fonte des glaces, la montée des eaux et la multiplication des évènements météorologiques extrêmes, qui déstabiliseraient les plaques tectoniques.
De nouvelles recherches, rendues publiques le 18 novembre dans la revue Nature, établissent un lien de cause à effet entre la fonte des glaces et le ralentissement d'un courant océanique crucial pour la régulation du climat. Si les prévisions doivent être lues avec prudence en raison des variabilités naturelles, les conséquences désastreuses auxquelles mènerait cet effondrement font consensus et appellent à un sursaut immédiat.
Climatologues et ingénieurs appellent à une action urgente pour freiner le réchauffement climatique et protéger les régions vulnérables.
Harry is a U.K.-based senior staff writer at Live Science. He studied marine biology at the University of Exeter before training to become a journalist. He covers a wide range of topics including space exploration, planetary science, space weather, climate change, animal behavior, evolution and paleontology. His feature on the upcoming solar maximum was shortlisted in the "top scoop" category at the National Council for the Training of Journalists (NCTJ) Awards for Excellence in 2023.
La perte du pergélisol augmente le risque de libérer d’anciens agents pathogènes auxquels notre organisme n’a peut-être jamais été confronté. Quelles sont les probabilités que ce scénario se produise ? Dans le pire des cas, pourraient-ils mener à notre extinction ?
Alors que la situation en Arctique est de plus en plus grave, une start-up britannique tente d'agir contre la fonte de la glace.
La fonte du permafrost est souvent présentée comme une bombe à retardement. Une nouvelle étude révèle d’ailleurs que la libération de méthane et la remobilisation de la matière organique ne seraient pas les seuls processus à mettre notre climat en péril. L’oxydation de certains minéraux libérés des glaces pourrait en effet avoir des conséquences importantes, en émettant d’énormes quantités de CO2.
Une terrible vague d'incendies pourrait se déclencher dans les régions nordiques d'ici la fin de ce siècle en raison du dégel du pergélisol.
Le glacier Thwaites, parfois surnommé le « glacier de l’apocalypse », fond trop rapidement et pourrait entraîner une hausse du niveau de la mer de trois mètres, selon un nouveau rapport. Un évènement qui aurait des conséquences désastreuses.
Arctic Sea ice reaches it's minimum extent each year around the middle of September. This year is one of the lowest in recorded history. Ocean temperatures have been so 'off the charts' in 2023 and 2024 that scientists fear those waters have reached their capacity to mop up after us humans and are now starting to release that energy. On our current trajectory, by 2100, our planet will reach a temperature not seen for 3 MILLION years!. So...what's the plan???
Un réchauffement climatique qui fait froid dans le dos. C’est un peu paradoxal. Pourtant, c’est bien l’effet que fait la dernière étude en date sur la fonte du Groenland. Le processus s’accélère. Et ce qui se passe au Groenland... ne restera pas au Groenland !
Des rochers de plusieurs tonnes se détachent du col de l'Encrenaz et s’écrasent jusqu'à 300 mètres plus bas, dans un nuage de poussière. Ces images d'un éboulement spectaculaire survenu le 10 septembre, dans le massif des Aiguilles Rouges, dans les Alpes françaises, ont fait le tour des réseaux sociaux et des chaînes de télévision. S’il est extraordinaire par son volume et sa localisation, ce n’est pas le premier éboulement dans la région. De l’autre coté de la vallée, les chutes de pierres se sont multipliées cet été dans le massif du Mont-Blanc. En cause : le changement climatique.
Le Svalbard est un archipel norvégien situé dans l’océan Arctique. Les îles sont situées à mi-chemin entre la Norvège et le pôle Nord. Les calottes glaciaires des îles fondent rapidement et l’été 2024 a été marqué par des épisodes extrêmes de fonte, observés par satellite. L’un des endroits où le réchauffement est le plus rapide sur Terre , …
Recul des glaciers, formation de lacs ou écroulement de roches : les montagnes du massif subissent une série de périls, qui se sont fortement aggravés depuis quelques années.
Les photos prises en Suisse à quinze ans d’intervalle par un couple de Britanniques ne racontent pas la catastrophe climatique à venir. La catastrophe est là, sous nous yeux.
Dans une étude publiée dans la revue “PNAS”, des scientifiques livrent les conclusions de l’analyse d’une carotte de glace prélevée à trois kilomètres de profondeur. Elle prouve que, dans une période géologique récente, l’ensemble de la glace du Groenland a été sujette à la fonte. Dans le contexte actuel de montée des températures, cette découverte fait craindre une hausse du niveau de la mer plus importante que prévu.
The story of Greenland keeps getting greener—and scarier. A new study provides the first direct evidence that the center—not just the edges—of Greenland's ice sheet melted away in the recent geological past and the now-ice-covered island was then home to a green, tundra landscape.
La fonte des glaces causée par le réchauffement climatique a un effet de plus en plus important sur la vitesse de rotation de la Terre qui détermine la durée d’une journée, selon une nouvelle étude parue lundi. Un phénomène qui affecte même la position des pôles et l’axe de rotation de la Terre.
La fonte des calottes glaciaires est probablement largement sous-estimée, affirme une étude publiée ce mardi 25 juin dans la revue Nature Geoscience. Car l’eau de mer s’infiltre sous les glaces terrestres, accélérant leur disparition.
Le glaciologue français basé en Suisse Jérôme Chappellaz a reçu ce 10 juin la prestigieuse médaille de la Belgica, décernée par l’Académie des Sciences de Belgique, pour récompenser le travail de chercheurs dans les régions polaires. Jérôme Chappellaz est aussi l’initiateur du projet Ice Memory qui échantillonne les glaciers avant qu’ils ne soient réduits à néant par le changement climatique. Entretien.