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mars 2025

Le président américain a déclaré ce samedi 15 mars que les Etats-Unis avaient mené «une action militaire puissante» contre les rebelles yéménites qui ont dit reprendre les attaques contre des navires de commerce qu’ils estiment liés à Israël.
Les acteurs du captage de CO2 adaptent leur message à l'ère Trump pour éviter l'implosion de leur fragile modèle économique. Le captage, l'utilisation et le stockage du dioxyde de carbone (CCUS) n'en est encore qu'à ses balbutiements aux États-Unis. Selon un rapport du Bureau du budget au Congrès (CBO), seuls 15 sites étaient opérationnels aux Etats-Unis fin 2023. Au total, leurs capacités se limitaient à 0,4% des émissions sur le territoire américain. Jessie Stolark, directeur de l'association Carbon Capture Coalition, qui réunit des entreprises, des syndicats et des organisations de protection de l'environnement, évoque 275 projets annoncés. L'essor programmé de cette technologie, qui consiste à capter le CO2 pour le stocker sous-terre ou le réutiliser, repose, en bonne partie, sur des incitations fiscales.
L’administration entame le démantèlement des radios Voice of America, Radio Free Asia, Radio Free Europe et d’autres organismes.
Les offensives politiques de Donald Trump sont synonymes d'encore plus "d'incertitudes" qu'à l'époque de la pandémie de Covid-19 pour l'environnement économique mondial, estime le vice-président de la Banque centrale européenne (BCE), dans un entretien publié dimanche dans le Sunday Times.
Le vice-président de la Banque centrale européenne, Luis de Guindos, affirme ce dimanche 16 mars dans un entretien accordé au «Sunday Times» que les offensives politiques imprévisibles du président américain contre ses alliés comme ses concurrents rendent la situation actuelle «volatile».
L'administration Trump a gelé les fonds américains de plusieurs médias publics à l'étranger. Des centaines de journalistes de Voice of America, Radio Free Asia, Radio Free Europe et d'autres organismes sont interdits d'accès à leurs bureaux depuis samedi.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
Le président américain multiplie les pressions sur les magistrats fédéraux, « corrompus » et « diaboliques », qui s’opposent aux décrets qu’il a signés depuis sa prise de fonction. Un bras de fer entre pouvoir exécutif et pouvoir judiciaire que le locataire de la Maison Blanche entend bien gagner.
Vladimir Poutine a appelé vendredi les soldats ukrainiens à déposer les armes dans la région de Koursk, en écho à Donald Trump qui juge les discussions sur une trêve "productives" quand Kiev accuse Moscou de "chercher à enliser tout le monde".
Il est le porte-voix de Donald Trump à l’étranger sur la guerre en Ukraine et le conflit au Moyen-Orient. Cet homme d’affaires, qui fête ses 68 ans ce 15 mars, est très proche du locataire de la Maison-Blanche, dont il a financé une partie de la dernière campagne électorale. Une nouvelle démonstration de l’importance qu’accorde le président Trump à la loyauté de son entourage plutôt qu’à l’expérience.
Cette annonce est directement liée à la perte « de plus de 800 millions de dollars de financements » de l’agence de développement américaine, décidée par l’administration Trump, précise l’établissement spécialisé dans la recherche médicale. Ces suppressions devraient affecter des travaux menés tant aux Etats-Unis que dans le monde entier.
L’administration Trump a demandé, jeudi 13 mars, à la Cour suprême à majorité conservatrice d’intervenir dans la bataille judiciaire sur son décret controversé visant à abolir le droit du sol aux États-Unis.
Près de la moitié du financement du PAM provient des États-Unis, dont le président a annoncé des diminutions drastiques de l’aide internationale.
En posant des conditions inacceptables à la proposition de cessez-le-feu des États-Unis tout en affirmant vouloir dialoguer avec Donald Trump, le président russe emploie une tactique éprouvée : gagner du temps.
Une conseillère du président américain Donald Trump a annoncé jeudi que les Etats-Unis allaient annuler des contrats publics passés avec les trois principales agences de presse mondiales.
L’agence américaine de crédit aux exportations a approuvé un prêt de près de 5 milliards de dollars pour Mozambique LNG, ce qui avait été refusé sous l’administration Biden.
L’université Johns Hopkins, dans le Maryland, doit supprimer plus de 2 000 postes en raison des coupes budgétaires fédérales. Les programmes à destination des pays en développement sont particulièrement touchés, ce qui suscite des craintes pour la santé des personnes qui en bénéficient.
Le président Donald Trump a accusé vendredi les médias américains qui critiquent son action de recourir à des pratiques "illégales" et d'être "corrompus".
Ils étaient cinq, cinq PDG milliardaires, présents lors de l’investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2025 à Washington. Elon Musk (Tesla, SpaceX, X), Mark Zuckerberg (Meta), Jef Bezos (Amazon), Sergey Brin (Alphabet) et Bernard Arnault (LVMH). Cinquante jours à peine après ce qu’ils semblaient considérer comme un motif de réjouissance, la bourse leur a infligé un sévère retour à la réalité. Après une période de hausse généralisée, les différents tarifs douaniers, imposés ou annoncés par le nouvel occupant de la Maison blanche, ont douché les enthousiasmes. En tout, selon Bloomberg, leurs fortunes ont été amputées de quelque 210 milliards de dollars.
As if there was any doubt, we can go ahead and officially add climate change to the list of things that we can’t count on billionaires to figure out for us. According to the New York Times, Breakthrough Energy, a joint venture between Bill Gates and a handful of other billionaires who at least nominally care about the environment, is laying off a significant portion of its staff, which will likely neuter its capability to lobby and influence policy.
Le président des États-Unis poursuit sa bataille contre les politiques de diversité, d’équité et d’inclusion, comme le révèle le très sérieux New York Times. Ses journalistes ont débusqué des dizaines de termes que le gouvernement veut voir disparaître de tout document officiel. Vert les a listés et traduits.
Le gouvernement du président républicain a annoncé mercredi 12 mars au soir revenir sur plusieurs avancées environnementales adoptées par Joe Biden, qui visaient notamment à réduire les émissions des automobiles et des centrales à charbon. États-Unis
« Responsables obscurantistes », « coupes financières massives », « menaces sur l’autonomie institutionnelle »… Votre nouveau rapport détaille la « pression sans précédent » mise par l’administration Trump sur la science. Vous attendiez-vous sincèrement à de telles décisions politiques ?
Le gouvernement du président Donald Trump a annoncé, mercredi 12 mars, revenir sur une série de mesures environnementales adoptées par l’administration démocrate de Joe Biden, qui visaient notamment à réduire les émissions des automobiles et des centrales à charbon.
Le ministère américain de l'Éducation a annoncé, mardi, qu'il licencierait près de la moitié de son personnel, première étape avant un possible démantèlement. Un objectif souhaité de longue date par les conservateurs et que Donald Trump a promis de mettre en œuvre. Décryptage.
La Maison Blanche a décidé jeudi de retirer la nomination de l'ex-élu républicain David Weldon pour diriger les CDC, la principale agence de santé publique aux États-Unis. La controverse montait dans le camp républicain sur les positions vaccinosceptiques de ce médecin.
Donald Trump’s administration is to reconsider the official finding that greenhouse gases are harmful to public health, a move that threatens to rip apart the foundation of the US’s climate laws, amid a stunning barrage of actions to weaken or repeal a host of pollution limits upon power plants, cars and waterways.
L'administration de Donald Trump a annoncé le 12 mars démanteler 31 règlementations environnementales, notamment pour polluer davantage. Une journée noire pour l'écologie.
Vingt et un procureurs généraux démocrates ont déposé plainte contre l’administration Trump jeudi, deux jours après une vague de licenciements au ministère de l’Éducation, écrit le journal américain The New York Times. Plus de 1300 membres du personnel chargés de gérer les subventions accordées aux étudiants moins favorisés ont été remerciés.
Un juge américain a ordonné jeudi à six ministères de réintégrer des milliers de fonctionnaires fédéraux limogés par l'administration Trump, rapportent des médias américains.
La fermeture de ces bureaux dédiés à la protection des communautés vulnérables face aux impacts environnementaux a été annoncée par le patron de l’Agence de protection de l’environnement (EPA) et proche de Donald Trump, Lee Zeldin.
En quelques semaines seulement, Donald Trump a bouleversé la politique environnementale du pays en sortant de l'Accord de Paris, en entravant le travail de très nombreux scientifiques sur le climat, ou encore en annulant la contribution américaine au fonds sur les pertes et dommages. Des mesures qui auront certainement des conséquences durables pour les États-Unis mais aussi la planète.
Le président républicain n’a jamais fait mystère de sa volonté de démanteler cet organisme pour transférer ses attributions aux Etats américains, lesquels ont déjà l’essentiel des compétences en la matière.
Les droits de douane de 25 % s’appliquent à partir de ce mercredi 12 mars aux principaux partenaires commerciaux des Américains, dont l’UE, qui a dans la foulée annoncé des représailles fortes mais proportionnées pour le 1er avril.
Plus de 1 300 fonctionnaires du ministère de l’Éducation se sont vu notifier, le 11 mars, qu’ils étaient licenciés. Un dégraissage de masse auquel viennent s’ajouter 600 départs volontaires. Au total, le ministère de l’Éducation a perdu près de la moitié de ses effectifs depuis le début de l’année, soulignent les médias américains.
Acculé par l’avancée du groupe armé du M23 soutenu par le Rwanda, le président congolais, Félix Tshisekedi, a proposé aux États-Unis un accès exclusif aux matières premières congolaises, en échange de leur assistance sécuritaire.
Donald Trump persiste et signe. Malgré les doutes des marchés et en dépit des avertissements de plusieurs grands groupes américains, le président américain a décidé d’imposer 25 % de droits de douane sur l’acier et l’aluminium d’où qu’il vienne. Les Européens annoncent vouloir riposter de manière "forte et proportionnée".
Les licenciements massifs opérés sous la férule d’Elon Musk et de son “département de l’efficacité gouvernementale” (Doge) se poursuivent à un rythme effréné. En tout, rapporte Reuters, 62 530 employés de 17 agences ont perdu leur emploi en janvier et février. “Un exode international est-il à prévoir ?” s’interroge le New York Post.
Les autorités congolaises espèrent conclure un accord avec l’administration Trump sur les ressources minières du pays, comptant sur le soutien américain dans leur lutte contre les rebelles du M23 et les forces rwandaises qui mènent une offensive dans l’est de la RD Congo. Des discussions préparatoires ont débuté, selon Kinshasa et Washington, bien que les contours du projet demeurent très flous.
La rhétorique employée par les chefs d’État ou despotes de ce monde nous renvoie à un concept fréquemment analysé ces derniers temps : la fenêtre d’Overton. Elle délimite un espace d’acceptabilité des idées, opinions et questions dans le débat public. Les derniers propos de Donald Trump, d’Elon Musk ou des leaders populistes en Europe tendent à déplacer cette fenêtre vers l’extrême droite. Comment parviennent-ils à rendre acceptables certaines déclarations et décisions pour le moins radicales, qui ne l’auraient jamais été il y a quelques années ?


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