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Tout réchauffement du climat, même temporaire, au-delà de 1,5°C, limite jugée la plus sûre par les scientifiques, entraînerait des "conséquences irréversibles" pour l’avenir de l’humanité, conclut une vaste étude publiée dans Nature. Dans une telle trajectoire, des "points de bascule" seraient atteints, comme le dégel du pergélisol et des tourbières, deux immenses réservoirs de carbone qui, s’ils disparaissaient, libéreraient d’énormes volumes de gaz à effet de serre qui réchaufferaient la planète.
Une étude démontre que les feux de forêt de 2023 ont émis 8,6 milliards de tonnes de CO₂ et que ces événements extrêmes vont se multiplier.
D'après une étude, les avions modernes volant à haute altitude créent des traînées de condensation qui durent plus longtemps que celles des modèles plus anciens (volant plus bas). Ainsi, ces traînées persistantes contribueraient davantage au changement climatique que le carbone produit par la combustion du carburéacteur.
Une étude révèle que ces phénomènes causés par l'augmentation en partie de la pression du dioxyde de carbone (CO2) dans l'eau de mer, et la désoxygénation, représentent les trois plus grandes menaces climatiques pour la vie marine. Les chercheurs ont découvert que ces menaces climatiques sont à l’origine d’une augmentation de la mortalité, mais aussi des modifications de la physiologie et du comportement des invertébrés et des poissons.
Pour l’année dernière, les émissions de CO2 en France ont baissé de 4,8 %, soit le double de l’année précédente. Ce record, en partie due à la crise énergétique, ne signifie pas que le réchauffement climatique est derrière nous.
Les efforts des Etats pour limiter les émissions de gaz à effet de serre sont très insuffisants pour atteindre les objectifs de l’accord de Paris, alerte le Programme des Nations unies pour l’environnement à quelques jours de la COP28.
Signé en 2015, l’accord de Paris prévoyait un ensemble d’objectifs climatiques, dont le plus ambitieux était de limiter le réchauffement à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle
L’écologue Patrick Astruch alerte sur les menaces auxquelles fait face cette plante sous-marine si importante, menacée par l’homme, le réchauffement et la concurrence d’espèces invasives.
Dans la perspective d’une neutralité carbone en 2050, la captation du CO2 atmosphérique sera un enjeu majeur. Nous nous intéressons ici aux perspectives de coopération entre les Etats-Unis et la France ou l’Europe sur des puits de carbone en milieu agricole et forestier, présentant un important potentiel de stockage de carbone.
Alors que 90 % des produits consommés sont transportés par les mers, quel sera l'avenir du transport maritime avec la montée des eaux et le dérèglement climatique ? Réponse.
Dans le port de Los Angeles, une étrange barge recouverte de tuyaux et de réservoirs abrite une idée qui promet de faire des vagues: se servir de l'océan comme d'une éponge à CO2, pour retirer ce gaz à effet de serre de l'atmosphère.
Si le monde entier arrêtait d’emettre des gaz à effet de serre très rapidement, le processus de changement climatique serait entravé, explique le climatologue Christophe Cassou
Supprimer le béton de la planète ou le produire autrement ? Les géants de la construction se lancent dans des expérimentations tous azimuts pour réduire l'empreinte carbone du bâtiment, qui pèse près de 40% des émissions mondiales de CO2, et le quart en France.
Cet amoureux de l’Antarctique où il fit plusieurs expéditions à partir de 1957, appartenait aussi à la tribu des explorateurs polaires.
L’une des plus longues COP de l’histoire a pris fin dans la nuit de samedi à dimanche en Egypte après de rudes négociations. Le deal comprend une résolution sur «pertes et dommages» mais pas de nouveaux engagements pour la baisse des gaz à effet de serre.
Carte d’immonde. Quels sont les endroits du globe qui émettent le plus de gaz à effet de serre (GES) ? L’immense carte interactive publiée ce mercredi par la coalition Climate trace répertorie près de 80 000 sources d’émissions à travers la planète.
Dans une étude publiée dans PNAS, la professeure Jessica Tierney de l’Université de l’Arizona et ses collègues ont produit des cartes complètes à l’échelle mondiale du réchauffement provoqué par le carbone qui s’est produit au Paléocène Eocène Thermal Maximum (PETM), il y a 56 millions d’années. Alors que le PETM a quelques parallèles avec le réchauffement actuel, le nouveau travail comprend des résultats inattendus – la réponse climatique au CO2 alors était environ deux fois plus forte que la meilleure estimation actuelle du GIEC.
Le rapport United in Science fait le point sur les gaz à effet de serre, les températures mondiales, les prévisions climatiques et les points de bascule, le changement climatique dans les villes, l’impact des phénomènes météorologiques extrêmes et les alertes précoces.
Alors que la Cop 27 débutera dans tout juste deux mois, l’objectif de l’accord de Paris consistant à maintenir la hausse des températures mondiales sous les 1,5 °C semble toujours éloigné, en particulier dans l’économie.
Les vagues de chaleur et les canicules sont de plus en plus intenses et nombreuses. 🥵🌡️ En cause : le réchauffement climatique, lui-même dû à nos émissions de gaz à effet de serre. Mais quels sont ces gaz ? (Il n'y a pas que le CO2 !) Qui les émet ? Depuis quand ? Et surtout comment : Quelles sont les activités humaines qui "polluent" le plus l'atmosphère ?
Les entreprises impliquées dans l’extraction de combustibles fossiles, dont les plus importantes étaient en 2013 à l’origine d’environ les deux tiers des émissions mondiales de dioxyde de carbone, font aujourd’hui face à un mouvement grandissant de désinvestissement dans leurs activités. Les promoteurs de cette initiative mondiale, née en 2010 sur les campus américains ont pour objectif de lutter contre le réchauffement climatique en compressant les flux financiers en direction de l’industrie des énergies fossiles.
Nous émettons du CO2. Les forêts brûlent. Les glaces fondent. La Terre se réchauffe. Inexorablement. Et de plus en plus de gros titres nous préviennent. Le point de non-retour est proche. Même si certains chercheurs remarquent que le concept n\'a peut-être que peu de sens en écologie. Chaque détérioration apportant son lot de conséquences.
Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé mardi qu'il démarrerait en 2025 l'exploitation du champ de Ballymore situé au large du Golfe du Mexique, tablant sur 75.000 barils de pétrole par jour, dans un communiqué. La compagnie française s'est engagée vers la neutralité carbone, pour contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, mais elle ne cesse de dire qu'elle veut continuer à répondre à la demande en gaz et en pétrole tant qu'il y en a, et qu'elle ne compte pas renoncer à développer de nouveaux gisements.
Les voitures électriques contribuent-elles vraiment à sauver la planète ? Leurs détracteurs estiment que les bénéfices environnementaux sont exagérés, mais concernant le réchauffement climatique, les études montrent bien qu'elles émettent moins de gaz à effet de serre que les voitures à moteur à combustion.
Dans un contexte sensible de guerre en Ukraine exposant la dépendance des économies aux énergies fossiles, les experts climat de l'ONU (Giec) ont publié lundi leur éventail de scénarios pour limiter le réchauffement et ses impacts déjà dévastateurs. Selon les scientifiques, l'humanité n'a plus que trois ans pour agir pour conserver un monde "vivable".
Jusque là écartée par les experts du climat, la captation du carbone dans l'air apparait maintenant comme l'une des solutions pour limiter nos émissions de CO2.
La réduction des émissions des gaz à effet de serre ne peut à elle seule sauver le monde des pires ravages du changement climatique, devrait souligner un rapport des experts de l'ONU publié lundi. Il faudra en plus recourir à des techniques d'"élimination" du CO2. Faute d'effort jusqu'à présent, il faut réduire les émissions mondiales de 5 ou 6% par an pour espérer respecter l'objectif de l'accord de Paris de limiter le réchauffement de la planète "bien en dessous" de 2°C par rapport au niveau pré-industriel, encore plus pour 1,5°C. Pour se faire un ordre d'idée, pendant l'arrêt de l'économie mondiale lié au Covid-19 en 2020, la baisse des émissions de CO2 a atteint "seulement" 5,6%, avant de repartir à la hausse. D'où le besoin de recourir à des techniques d'élimination du dioxyde de carbone (EDC), ou "émissions négatives". "Pour que l'EDC fonctionne, il faut (déjà) réduire les émissions de gaz à effet de serre de 80 ou 90%", estime Glen Peters, du Centre international de recherche sur
Les grandes banques et fonds d'investissement financent toujours des milliards pour l'extraction des énergies fossiles responsables du réchauffement climatique, en contradiction avec leurs engagements de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, selon un rapport publié vendredi.
La flambée des cours des énergies fossiles, entraînée par les sanctions occidentales contre l’invasion russe en Ukraine, doit nous pousser à intensifier les efforts que la lutte contre le réchauffement climatique va nous imposer.
Cet accord de 2015 vise à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré.
L’Agence internationale de l’énergie a publié le 23 février son « Global Methane Tracker » annuel(1) dans lequel elle fait le point sur les émissions mondiales de ce gaz à fort effet de serre.
Peut-on lutter contre le changement climatique et la déforestation et manger de la viande ? Peut-on être écolo en mangeant des animaux ? Outre les problèmes de santé des animaux et des humains et la catastrophe environnementale liée à cette consommation, comment continuer de participer à la tuerie massive d'animaux d'élevage fabriqués pour notre soif de protéine ? Le débat est lancé
Le marché européen du carbone (EU ETS) bat des records. Après dix années de faiblesse structurelle entre 2008 et 2018, où le prix du CO2 oscillait entre 5 et 10 euros la tonne en Europe, le prix des quotas d’émission flirte aujourd’hui avec la barre des 90 euros par tonne. À un tel niveau, le prix du carbone renchérit fortement les technologies très émettrices et pénalise beaucoup d’entreprises qui n’ont pas modifié leurs processus de production.
Ce sol gelé de l'Arctique, menacé par le réchauffement climatique, pourrait accélérer ce dernier en libérant d'importantes quantités de gaz à effet de serre.
Les sept années de 2015 à 2021 ont été de façon "nette" les plus chaudes jamais enregistrées, confirmant l'avancée du réchauffement climatique avec des concentrations record de gaz à effet de serre, a annoncé lundi le service européen Copernicus d'observation de la Terre.
Avec l'augmentation des niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère, les plantes stockent plus de carbone par la photosynthèse. C'est ce que nous apprennent aujourd'hui les chercheurs. Mais ils notent que cette augmentation est loin de suffire à compenser nos émissions de gaz à effet de serre.
D’après une nouvelle étude (1) publiée le 5 novembre, l’empreinte carbone des 1 % les plus riches de la planète sera 30 fois supérieure en 2030 à celle compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, objectif inscrit dans l’Accord de Paris. Ces chiffres sont publiés alors que les délégués du monde entier tentent de maintenir en vie cet objectif à la COP26 de Glasgow.
L’horloge permet de surveiller les émissions mondiales et les données en matière de température, et d’utiliser les tendances les plus récentes des émissions sur cinq ans afin d’estimer le temps qu’il reste avant que le réchauffement climatique n’atteigne ce seuil critique de 1,5 °C. La nouvelle estimation des émissions pour 2021 retranche près d’une année au compte à rebours, ce qui signifie qu’il ne reste qu’un peu plus de 10 ans avant d’atteindre le seuil critique de 1,5 °C.
La crise du Covid n'aura été qu'une parenthèse pour le climat et les émissions mondiales de CO2, principal gaz à effet de serre, sont reparties de plus belle, laissant de moins en moins de temps pour contrer le réchauffement climatique, alerte une étude jeudi.
La crise du Covid n’aura été qu’une parenthèse pour le climat. Malgré les promesses de plans de relance «verts», les émissions mondiales de CO2, principal gaz à effet de serre, sont reparties de plus belle, laissant de moins en moins de temps pour contrer le réchauffement climatique, alerte une étude publiée ce jeudi.