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Vous avez peut-être déjà entendu dire que pour participer à la transition climatique, une des choses les plus efficaces que vous pouviez faire était de changer de banque. Qu'en est-il réellement ?
Frédéric Chomé est un physicien belge, fondateur et manager général de Factor-X – the Climate Consulting Group, un bureau de conseil en stratégie climatique et développement durable à destination des entreprises et des pouvoirs publics à travers l’Europe. Aider les citoyens, les communautés et les entreprises du monde à réduire leurs émissions de GES en agissant sur la consommation d'énergie, les transports, la gestion des déchets et les comportements d'approvisionnement. Frédéric nous parle de la place de l'argent dans les banques, l'impact colossal du carbone derrière et comment y remédier.
Plus fossile à dire qu’à faire. Malgré certains efforts, le financement des banques aux producteurs d’énergie fossile est toujours bien trop important à l’échelle mondiale pour limiter le réchauffement climatique, révèle un rapport de huit ONG.
Couper le financement de TotalEnergies en refusant de lui prêter de l'argent: près de 60 ONG ont appelé mercredi banques et investisseurs à "ne pas participer" à l'apport d'argent frais de l'entreprise qui continue "sa stratégie climaticide". Ces organisations viennent principalement de France (les Amis de la Terre, Attac), d'Afrique (Justiça Ambiental du Mozambique, le Cecic en Uganda), mais sont aussi implantées à l'international (Reclaim Finance, Extinction Rebellion).
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, les principaux groupes bancaires de l'Union européenne ont octroyé un total de 256 milliards d'euros de crédit aux entreprises qui menacent les forêts, les savanes et d'autres écosystèmes confrontés à des situations climatiques critiques, selon un rapport du cabinet d'études néerlandais Profundo, rendu public par Greenpeace International, Milieudefensie, Harvest et Global Witness.
C'est une mine d'informations. La plateforme CarbonBombs, mise en ligne ce mardi 31 octobre, cartographie l'ensemble des 425 bombes climatiques présentes dans le monde, ces sites d'extraction de charbon, gaz et pétrole qui peuvent émettre chacun au moins un milliard de tonnes de CO2 et mettre en péril nos engagements climatiques. Elle permet aussi d'identifier les entreprises et les banques associées à ces projets climaticides.
Les entreprises des secteurs fossiles engrangent des bénéfices record, et elles peuvent toujours compter sur le soutien des banques, notamment françaises. D’après le quatorzième rapport Banking on climate chaos (en français : Capitaliser sur le chaos climatique), produit par un consortium d’associations écologistes, les banques françaises sont celles qui, en Europe, ont financé le plus massivement les énergies fossiles en 2022.
Selon le rapport annuel « Banking on Climate Chaos », rédigé par des ONG, les 60 premières banques mondiales ont assuré 673 milliards de dollars de financements aux producteurs de charbon, de pétrole et de gaz en 2022.
En 2022, le secteur bancaire a continué d’investir dans l’industrie fossile, plus lucrative que jamais. Piétinant au passage ses propres engagements climatiques.
Plusieurs ONG dénoncent l’augmentation des financements français auprès de l’industrie fossile. Une situation contradictoire aux engagements de neutralité carbones d’ici 2050 pris par les banques françaises.
INFOGRAPHIES. Les énergies fossiles, dont la consommation est la principale cause du changement climatique, continuent de bénéficier d'importants investissements privés et de subventions publiques.
Il est possible, au moins en partie, de jauger la crédibilité environnementale d’un placement sans être ingénieur financier.
La BCE met un ultimatum aux banques qui n'ont pas encore intégré les risques du changement climatique. D'après un sondage, 60% des banques européennes seraient concernée.
Les banques ont investi 3800 milliards de dollars dans des projets liés aux combustibles fossiles depuis les accords de Paris sur le climat en 2015. Des organisations appellent à s’attaquer aux marchés financiers.
Nous ne pouvons pas sauver la planète d'un changement climatique désastreux sans nous attaquer aux marchés financiers. Tant que des milliers de milliards de dollars financeront en toute impunité combustibles fossiles et déforestation, nous ne pourrons ni freiner le changement climatique ni permettre aux communautés impactées de s'adapter.
Les 60 principales banques détiennent 1 350 milliards de dollars d’actifs dans les énergies fossiles
(04/10) - Ouest-France avec AfpSelon une étude de l’ONG Finance Watch, dévoilée ce mardi 4 octobre, les 60 plus grandes banques mondiales, y compris françaises, détiennent 1 350 milliards de dollars d’actifs dans les énergies fossiles. Au-delà de la menace pour la planète, ces investissements mettent en danger la stabilité financière.
La modélisation occupe une place importante dans le plan d’action de l’Eurosystème sur le changement climatique. L’analyse macroéconomique et la préparation des décisions de politique monétaire reposent en effet sur des travaux quantitatifs où les modèles jouent un rôle central.
An investor’s rant gives an insight into the City’s short-termist view of the environment crisis
le rapport 2022 du financement du chaos climatique par les banques. Avec résumé en français.
Le financement des énergies fossiles par les 60 plus grandes banques au monde a atteint 4 600 milliards de dollars sur les six années qui nous séparent de l'adoption de l'accord de Paris, avec 742 milliards pour la seule année 2021. Ce rapport examine le financement des banques commerciales et d'investissement à l'industrie des énergies fossiles - prenant en compte leurs rôles de prêteur et d'émetteur d'actions et de titres de dette - et en conclut que, même au cours d'une année où les engagements « zéro émission nette » étaient très en vogue, le secteur financier a continué, par sa logique de business as usual, à alimenter le chaos climatique.
C’est l’un des sujets les moins médiatisés et pourtant absolument crucial. Les banques réchauffent la planète et continuent de le faire sans jamais avoir de compte à rendre.
Bien qu’elles reconnaissent qu’une réduction des émissions de gaz à effet de serre est nécessaire, les cinq grandes banques canadiennes — RBC, Banque Scotia, TD, BMO et CIBC — ont augmenté de 70 % leur soutien au secteur des énergies fossiles en 2021 par rapport à l’année précédente. C’est ce qui ressort de la dernière édition du rapport Banking on Climate Chaos, publiée mercredi par un consortium d’organisations de la société civile appuyé par Greenpeace Canada.
Les grandes banques et fonds d'investissement financent toujours des milliards pour l'extraction des énergies fossiles responsables du réchauffement climatique, en contradiction avec leurs engagements de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, selon un rapport publié vendredi.
La banque Crédit Agricole a continué de financer de grandes entreprises développant de nouvelles mines et centrales à charbon au mépris de ses propres engagements climatiques, ont dénoncé mardi plusieurs ONG.
Les vingt-cinq premières banques européennes, dont BNP Paribas, Crédit agricole et Société générale, ont financé le gaz et le pétrole à hauteur de 400 milliards de dollars en cinq ans, selon les calculs de l’association britannique ShareAction
Les banques européennes continuent d'injecter des milliards de dollars dans des compagnies qui développent la production de pétrole et de gaz, en dépit de leurs engagements en faveur du climat, pointe lundi l'ONG britannique ShareAction.
Les banques européennes continuent d'injecter des milliards de dollars dans des compagnies qui développent la production de pétrole et de gaz, en dépit de leurs engagements en faveur du climat, pointe lundi l'ONG britannique ShareAction. "Vingt-cinq banques européennes, affichant toutes des objectifs de neutralité carbone, ont fourni l'an dernier 55 milliards de dollars de financement à des entreprises qui développent leur production de pétrole et de gaz", a affirmé l'ONG dans un communiqué.
Arctic LNG 2, gigantesque usine de gaz naturel liquéfié (GNL) en construction dans l'Arctique, a obtenu près de dix milliards d'euros de financement de banques russes et internationales, a annoncé mardi le projet, détenu notamment par Novatek et TotalEnergies.
Les banques "doivent d'urgence se fixer des objectifs et des échéanciers ambitieux et concrets pour atténuer leur exposition aux risques actuels et futurs sur le climat et l'environnement", écrit Frank Elderson, membre du directoire de la BCE et vice-président de son organe de supervision bancaire, dans un blog.
Les institutions financières et les membres individuels du conseil d’administration pourraient être les prochaines cibles de litiges climatiques, selon les militants qui ont aidé à obtenir une victoire historique dans la salle d’audience contre le géant pétrolier Royal Dutch Shell.
Mardi 26 octobre devait se tenir tranquillement le Climate Finance Day, un colloque dédié aux solutions pouvant être apportées par le secteur financier au réchauffement climatique. Il a été bouleversé par des militants écologistes, qui dénoncent le soutien des banques françaises et du gouvernement aux énergies fossiles.
Selon Marek Hudon, professeur à l’école de management Solvay à l’ULB (qui forme les futurs financiers et les futurs banquiers) les banques et les fonds d’investissement ont les leviers en mains aujourd’hui pour changer les choses
De regering van Nieuw-Zeeland heeft een wet doorgevoerd die banken, investeerders en verzekeraars verplicht om transparant te zijn over de klimaatimpact van hun beleggingen en producten, een wereldprimeur.
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Les six plus grandes banques françaises ont annoncé lundi, à deux semaines de l'ouverture de la COP 26 à Glasgow, s'être mises d'accord pour ne plus financer certains projets dédiés aux hydrocarbures non conventionnels, comme le gaz de schiste, à partir de 2022.
Preuve que le climat est un sujet brûlant dans la finance, l’une des salves les plus sévères a été tirée par BlackRock, le plus grand fonds d’investissement au monde. Dans un rapport de 273 pages, commandé par la Commission européenne et publié fin août 2021, il estime que les banques ne sont tout simplement pas en mesure de savoir si les prêts qu’elles accordent aux entreprises financent réellement ou non des investissements verts ». BlackRock se considère lui-même comme un bon élève. Sous l’influence des millions d’Américains qui lui ont confié leur épargne retraite, il vote régulièrement des motions de défiance contre la stratégie de certaines des 17 000 entreprises mondiales où il possède des participations.
La directive de Bank Al-Maghrib relative au dispositif des risques financiers liés au changement climatique et à l’environnement est mise en œuvre depuis le printemps. Le Maroc se positionne ainsi à l’avant-garde sur le continent. Les banques ainsi que leurs filiales doivent produire un rapport annuel et un reporting périodique sur l’intégration du risque « climat » dans leur politique de crédit.
Ce rapport démontre que non seulement les grandes banques continuent de financer massivement les énergies fossiles mais également que ce type de financement peut constituer un danger de toute première importance pour la stabilité financière et monétaire.
La valeur des actifs liés à l'exploration, l'extraction et la distribution des énergies fossiles des onze plus grandes banques européennes est presque aussi importante que la totalité de leurs fonds propres, ont alerté plusieurs ONG, qui qualifient ces actifs de "nouveaux subprimes".
Les pays riches du Groupe des Sept (G7) ont soutenu les mesures visant à obliger les banques et les entreprises à divulguer leur exposition aux risques liés au climat, une mesure considérée comme vitale pour les efforts visant à protéger le système financier des chocs climatiques.
Les grands banquiers centraux à travers le monde, unis pour pointer le danger du changement climatique pour la planète et son économie, ont en revanche laissé apparaître vendredi leurs divisions sur le rôle que doit jouer la politique monétaire à cet égard.
Les banques européennes ainsi que d’autres institutions financières (compagnies d’assurance, fonds de pension et gestionnaires d’actifs) ont été impliquées dans des défrichements illégaux pour la production d’huile de palme en Indonésie. De telles décisions peuvent avoir été en partie une cause de la destruction des forêts et des émissions supplémentaires de carbone, alimentant le réchauffement climatique.
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Les banques sont au cœur de l’économie. Par les choix d’investissements ou de financements qu’elles font, c’est tout un modèle de société qu’elles façonnent. En apportant des soutiens financiers à des entreprises, projets, particuliers ou États, en France ou à l’international, les banques sont responsables d’émissions de gaz à effet de serre.
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Climat : les banques françaises championnes européennes du financement des énergies fossiles en 2020
(24/03) - Coralie Schaubabs_empty
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Il y a quelques semaines Christine Lagarde, la présidente de la Banque Centrale européenne (la BCE) a affirmé vouloir intégrer les défis climatiques dans la régulation et la relance économique. Conversation avec Jeanne Gohier, analyste sur la finance du climat chez Fideas Capital, sur le rôle et les mesures que peuvent prendre les banques centrales.
Fondatrice et directrice de l’ONG Reclaim Finance, Lucie Pinson a été récompensée par le prix Goldman pour l’environnement pour sa bataille contre les investissements des banques et des assurances dans les énergies fossiles. Imagine l’a rencontrée.
Alors que l’accord de Paris impose de rendre les flux financiers compatibles avec une trajectoire à faibles émissions de gaz à effet de serre, on ne peut que constater les hésitations au sommet de la BCE quant à la volonté et aux moyens alloués pour le respecter. Le Programme des Nations unies pour l’environnement le notait dans son dernier rapport : les émissions de gaz à effet de serre (GES) ne baisseront durablement que si les mesures budgétaires de sauvetage et de relance économique, dans le contexte de la pandémie, participent à la transition vers une économie bas carbone.
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Hier, à la veille de l’ouverture du forum de Davos qui, cette année, a fait de la lutte contre le dérèglement climatique une priorité, la Banque des Règlements Internationaux (BRI) a mis en garde contre un « cygne vert » qui pourrait provoquer la prochaine crise financière systémique.
Le réchauffement climatique ne fait pas de doute. Les désastres économiques qu’il entraîne sont tout aussi patents : désertification, hausse des niveaux de la mer, perturbation des circulations océaniques, pollution, catastrophes dites « naturelles » [1], détérioration des santés publiques et des bien-être. Devant ces sombres perspectives, il est naturel que les institutions financières se saisissent du problème. Elles sont en effet les premières – à commencer par les compagnies d’assurance – concernées par les pertes spécifiquement financières qu’ils impliquent. Deux problèmes se posent. Comment gérer les pertes occasionnées par les dégâts causés par le réchauffement climatique ? Comment financer les investissements nécessaires pour lutter contre le réchauffement climatique, ou plutôt pour ralentir sa progression dans les limites résultant de l’accord de Paris ?