Veille documentaire
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
filtre:
record chaleur température
2024 marks the first time since record keeping began that all of the 10 hottest years have fallen within the most recent decade.
L’Organisation Météorologique Mondiale a publié son rapport annuel (OMM2024). L’année 2024 a été la plus chaude de l’Histoire. Elle a apporté de nombreux événements extrêmes. Le cyclone Yagi a causé des dégâts étendus en Chine, au Philippines et au Vietnam, et le cyclone Chido a dévasté Mayotte et le Mozambique. De nombreux affluents de l’Amazone se sont taris par une chaleur inhabituelle, et plus de mille pèlerins ont succombé à la chaleur à la Mecque.
Ce 21 mars est le plus chaud depuis 1938 avec 19,8 degrés enregistrés à la station météorologique d'Uccle, a indiqué le chef du service des prévisions de l'Institut royal météorologique (IRM), David Dehenauw.
The clear signs of human-induced climate change reached new heights in 2024, which was likely the first calendar year to be more than 1.5°C above the pre-industrial era, with a global mean near-surface temperature of 1.55 ± 0.13 °C above the 1850-1900 average.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Le mois qui vient de s’écouler «s’inscrit dans la lignée des températures records ou quasi records» depuis deux ans, pointe le bulletin mensuel publié ce jeudi 6 mars par l’observatoire européen Copernicus.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut : après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l’hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète.
... An “acid” test of our interpretation will be provided by the 2025 global temperature: unlike the 1997-98 and 2015-16 El Ninos, which were followed by global cooling of more than 0.3°C and 0.2°C, respectively, we expect global temperature in 2025 to remain near or above the 1.5°C level. Indeed, the 2025 might even set a new record despite the present weak La Nina. There are two independent reasons. First, the “new” climate forcing due to reduction of sulfate aerosols over the ocean remains in place, and, second, high climate sensitivity (~4.5°C for doubled CO2) implies that the warming from recently added forcings is still growing significantly.
January 2025 was the 18th month in a 19-month period with a global-average surface air temperature exceeding 1.5ºC above pre-industrial levels. According to the Copernicus Climate Change Service…
Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, malgré le développement de la Niña et son effet de refroidissement sur les températures, a annoncé jeudi l'observatoire européen de surveillance du climat Copernicus.
Avec une température moyenne de 13,23 °C, « janvier 2025 a dépassé de 1,75 °C le niveau préindustriel », douchant l’espoir que le phénomène La Niña mette fin à près de deux ans de records de températures.
Nouvelle mauvaise surprise climatique: janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud, devant janvier 2024 qui était pourtant soumis à un effet « réchauffant » El Nino…
Chaud time. Ce jeudi, l’observatoire européen Copernicus a annoncé que ce début d’année 2025 avait battu des records de chaleur dans le monde. Les scientifiques espéraient pourtant que le phénomène naturel La Niña rafraichirait la planète. Depuis près de deux ans, les maximums de températures s’enchaînent.
Depuis 2023, les océans ont littéralement suffoqué en raison de températures extrêmes pendant plus d'une année. Mais que s'y passe-t-il ?
La Niña ne produit toujours pas d'effet de refroidissement sur la température mondiale. Au contraire, janvier 2025 vient de battre un record.
Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud jamais mesuré dans le monde, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus. Il a battu le record établi en 2024, malgré la fin du phénomène El Niño qui a accentué le réchauffement climatique en 2023 et 2024.
Les scientifiques constatent que les températures au pôle Nord ont augmenté de plus de 20 °C au-dessus de la moyenne dimanche,
Le thermomètre mondial continue de s’affoler et affiche + 1,75 °C par rapport aux températures moyennes de l’ère préindustrielle. Un nouveau record auquel les scientifiques ne s’attendaient pas.
Janvier 2025 devient le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré, à la surprise des scientifiques qui prévoyaient un refroidissement avec La Niña. Pourtant, la planète continue de se réchauffer à un rythme alarmant.
Un peu avant 14 heures ce lundi 27 janvier, la température a grimpé jusqu'à 26,9 degrés. Un record depuis 1869, date à laquelle les relevés ont débuté.
Le service Copernicus et les autres centres d'observation de la température mondiale viennent de le confirmer. 2024 est bien l’année la plus chaude jamais enregistrée. Ce qui n’était qu’anticipation est devenu réalité : la hausse de la température mondiale relativement à l’ère préindustrielle a légèrement excédé 1,5 °C en 2024.
2024 est officiellement l’année la plus chaude jamais enregistrée, dépassant en moyenne 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels, selon les agences de surveillance climatique.
Le principal moteur de la surchauffe réside dans l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, essentiellement en raison de la combustion de charbon, de pétrole et de gaz. Elle a entraîné une multiplication des canicules, inondations, sécheresses et incendies.
Chaud must go on. L’année dernière a été la plus chaude jamais enregistrée, et la première à dépasser le seuil symbolique des +1,5°C par rapport au 19ème siècle, révèle l’observatoire européen Copernicus ce vendredi.
Si le thermomètre affiche une hausse de 1,5 °C sur un an, on ne peut affirmer que la cible de l’accord de Paris a été dépassée. Comprendre les causes de ce pic de température reste pourtant précieux.
2024 est officiellement l’année la plus chaude jamais enregistrée, selon Copernicus. Les températures ont franchi le seuil symbolique de 1,5 °C, la limite la plus ambitieuse de l’Accord de Paris.
Les températures records mesurées en 2024 ne s’expliquent que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre. Celles-ci surprennent jusqu’aux scientifiques.
2024 restera dans les annales comme la première année à avoir franchi la barre symbolique des 1,5°C, contenue dans l'Accord de Paris.
L'année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée en Chine, ont annoncé les autorités, sur fond de phénomènes météorologiques extrêmes qui se multiplient dans le monde avec le changement climatique.
On n'en peut pluie. Sur le point de se terminer, 2024 a été une des dix années les plus pluvieuses en France depuis 1900, selon le bilan de Météo-France. C’est également l’une des cinq plus chaudes en raison du changement climatique.
L'année 2024 a connu environ 41 jours de canicule dangereux pour la santé humaine, rapporte une nouvelle étude.
Selon le bilan de Météo-France, 2024, marquée par de nombreuses inondations, figurera parmi les dix années les plus pluvieuses et l’une des cinq plus chaudes jamais enregistrées.
L'année 2024, attendue comme la plus chaude dans le monde, sera aussi l'une des plus chaudes et des plus pluvieuses pour la France, poursuivant une décennie de températures hors normes mais conformes aux projections des climatologues, a annoncé jeudi Météo-France.
Mauvaise nouvelle pour le climat : la demande mondiale de charbon a atteint un nouveau record en 2024, année la plus chaude jamais enregistrée, et seul l'essor des énergies renouvelables devrait contribuer à la stabiliser jusqu'en 2027, a rapporté l'Agence internationale de l'énergie (AIE) mercredi."Après avoir atteint un niveau record en 2024, la demande mondiale de charbon devrait se stabiliser" jusqu'en 2027 du fait de la forte progression des énergies renouvelables, écrit l'AIE dans son rapport annuel sur le charbon dans le monde sur la période 2024-2027.
L'année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée en Allemagne, a indiqué mardi le service météorologique allemand (DWD), à l'instar de records de température enregistrés dans le monde entier.
En ce début de l’été austral, le sud de l’Australie suffoque. Des températures de 5 à 12 °C au-dessus des moyennes sont enregistrées. Et les autorités craignent déjà de possibles feux de brousse.
L'année 2025 devrait être l'une des trois plus chaudes enregistrées sur la planète, a indiqué jeudi l'agence britannique Met office, après une année 2024 record qui dépassera pour la première fois la barre symbolique de 1,5°C de réchauffement.
Selon le service changement climatique du programme d’observation européen Copernicus, l’année 2024 sera la plus chaude que la Terre ait connue depuis l’apparition des relevés. Et l’augmentation de la température atmosphérique moyenne dépasse le seuil critique de + 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.
Avec un mois de novembre très chaud, l’année 2024 va battre avec certitude le record de 2023. Pour la première fois, la moyenne des températures mesurées entre janvier et décembre franchira temporairement l’objectif de l’Accord de Paris.
Encore plus chaude que le record de 2023: il est maintenant certain que 2024 sera la première année au-delà de la barre de 1,5°C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, limite à long terme fixée par l'accord de Paris.
Ces pics à plus de vingt degrés en plein mois de novembre sont la conséquence du réchauffement climatique et d’un effet de foehn, souligne Météo-France.
Les 198 parties ont jusqu’au 22 novembre pour s’accorder sur le financement de la transition « verte » des pays en développement. Une entreprise difficile, marquée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et l’alerte sur l’année 2024, qui dépassera 1,5 ºC de réchauffement climatique.
Dans son rapport provisoire sur l’état du climat en 2024 publié lundi 11 novembre, l’Organisation météorologique mondiale sonne « l’alerte maximale face au rythme effréné du changement climatique ».
Cette année sera quasi certainement la première avec une hausse de la température moyenne mondiale de plus d’1,5°C, annonce ce jeudi 7 novembre l'observatoire européen Copernicus. Octobre est le 15e mois (sur 16) où ce seuil a été franchi.
Il s'agit du 25 octobre le plus chaud en Belgique depuis le début des mesures en 1892, a indiqué vendredi le météorologue David Dehenauw sur X, anciennement Twitter.
Le phénomène lié au changement climatique, qui menace la survie de récifs riches en biodiversité, touche désormais plus des deux tiers des coraux, dans l'Atlantique, le Pacifique et l'océan Indien.
Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles qui rend "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" devant le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire européen Copernicus.
Cet été a été le plus chaud jamais enregistré sur le continent européen, rapporte jeudi l'observatoire européen Copernicus.
L’été 2024 poursuit une interminable série de records de températures mondiales, avec son cortège de canicules, de sécheresses ou d’inondations meurtrières alimentées par un réchauffement climatique sans répit. De juin à août, les trois mois de l’été de l’hémisphère nord ont connu la température moyenne mondiale la plus élevée jamais mesurée, battant déjà le record de 2023, a annoncé vendredi l’observatoire européen Copernicus.
Les températures moyennes mondiales en juin, juillet et août ont été les plus élevées jamais mesurées, a annoncé ce vendredi 6 septembre l’observatoire européen Copernicus. Le précédent record datait seulement de l’an dernier.
L'observatoire européen Copernicus a annoncé vendredi que l'été 2024 avait été le plus chaud jamais enregistré sur la planète. De quoi augmenter la probabilité que l'année 2024 batte elle aussi un record de température.
Phoenix, la capitale de l’Arizona, a enregistré, mardi, son centième jour d’affilée à plus de 37,8 °C. Du jamais-vu.
Les records de chaleur en août sont synonymes d'" alerte rouge", a déclaré mercredi à Singapour la directrice de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) affirmant" Nous sommes inquiets mais pas paralysés".
C’est le troisième été consécutif où les normales de saison ont été nettement dépassées en France. « L’été 2024 affiche une anomalie chaude de +0,7 °C par rapport à la normale 1991-2020 », dévoile un bilan de Météo-France publié le 2 septembre. Si le mois de juin a été conforme à la normale, le mois de juillet a été légèrement plus chaud (+0,6 °C), et le mois d’août a été nettement plus chaud (+1,5 °C).
L’été 2024 affiche une anomalie de +0,7°C par rapport à la normale 1991-2020, ce qui en fait le troisième consécutif au-dessus des normales, malgré une sensation de fraîcheur au Nord, selon Météo France publié ce lundi 2 septembre.
Le nord de la Norvège, situé au-dessus du cercle polaire arctique, a enregistré en août des températures record, largement supérieures aux plus hauts enregistrés l'an dernier, a annoncé l'Institut météorologique norvégien.
Avec 31,3°C enregistrés à Uccle, ce dimanche a été le 1er septembre le plus chaud depuis le début des mesures en Belgique, selon l'Institut royal météorologique (IRM).
Méditerrassée. Depuis le début de l’été, les eaux méditerranéennes explosent tous les records de chaleur. Quels sont les effets, à moyen et plus long terme, de cette surchauffe sur l’équilibre des écosystèmes marins ? Et comment tout cela bouleverse-t-il le climat de la région ? Explications.
L’Australie a enregistré ce lundi 26 août des températures hivernales record, le mercure atteignant 41,6°C dans une partie de la côte nord-ouest du pays, a annoncé le centre météorologique australien.
Pour la deuxième année consécutive, les températures de la Méditerranée battent des records, notamment jeudi, menaçant la vie marine, favorisant les espèces invasives et augmentant l'intensité potentielle des précipitations dans une région particulièrement touchée par les effets du réchauffement climatique.
L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique souligne dans son dernier rapport que le mois de juillet 2024 a été le plus chaud jamais enregistré. Un constat qui n’est pas partagé par son équivalent européen.
Déjà presque deux fois plus rapide en Belgique que la moyenne mondiale, le réchauffement climatique se poursuivra aussi à l’échelle du pays. Mais dans quelles proportions? Voici ce que nous apprennent les relevés de températures de l’IRM.
Dans une étude publiée dans « Nature », des chercheurs s’alarment pour l’un des écosystèmes les plus riches de la planète, menacé par le réchauffement des eaux.
Depuis janvier, la température mondiale est de 0,27 °C plus élevée que pendant la même période en 2023, qui était déjà une année inédite.
Chaud devant ! Sur le triste podium des records de température, juillet 2024 arrive en seconde position, juste derrière juillet 2023. D’après les résultats dévoilés le 8 août par le service européen Copernicus, ce mois écoulé « a été à la fois le deuxième mois de juillet le plus chaud et le deuxième mois le plus chaud au niveau mondial dans l’enregistrement des données ».
Alors, ce mois de juillet ? Il a fait chaud ? Ce qui intéresse les experts du climat, ce n’est pas la météo à un moment précis, mais la tendance des moyennes à long terme. Et elle est claire : Copernicus, le Service du Changement climatique, dépendant de la Commission européenne, vient de livrer ses données pour juillet 2024.
L'Antarctique a enregistré sur le mois de juillet des températures en moyenne de 10 °C au-dessus de la normale.
Le continent blanc, qui se réchauffe le plus vite dans le monde, a enregistré des températures anormalement élevées en juillet et début août.
Nouveau record de températures : la Grèce a vécu son mois de juillet le plus chaud jamais enregistré
(05/08) - la rédaction,BelgaLa Grèce a connu son mois de juillet le plus chaud jamais enregistré selon des données météo préliminaires, a annoncé lundi l’observatoire national, après un record déjà confirmé en juin.
Des températures record ont été enregistrées samedi dans la province du Zhejiang, dans l'est de la Chine en proie à de fortes chaleurs, selon les autorités météorologiques.
Le Japon a connu cette année son mois de juillet le plus chaud depuis la mise en place de statistiques comparables il y a 126 ans, a annoncé l'agence météorologique nippone.
Vingt-et-une personnes sont décédées en 24 heures à Beni Mellal, une ville du centre du Maroc, à cause d'une nouvelle vague de chaleur ayant frappé le pays, en proie à sa sixième année consécutive de sécheresse, a annoncé jeudi le ministère de la Santé.
Dimanche 21 juillet a été la journée la plus chaude enregistrée dans le monde depuis le début des relevés, en 1940, avec une température moyenne mondiale à la surface de la Terre de 17,09 degrés, a annoncé mardi le réseau européen Copernicus.
Le lundi 22 juillet a été la journée la plus chaude jamais enregistrée dans le monde depuis le début des relevés en 1940, a indiqué mercredi le réseau européen Copernicus, battant un record établi la veille.
Le mois de juin 2024 a été le plus chaud dans le monde. Depuis un an, des records de températures sont battus chaque mois. Pourtant, en Occitanie, on constatait jusqu'ici une fraîcheur anormale pour la période estivale. Comment cela est-ce possible ? La météo ne fait pas le climat.
Sous l'effet des rejets de gaz à effet de serre de l'humanité, les records de températures mondiales continuent de tomber depuis plus d'un an: juin 2024 est devenu le mois de juin le plus chaud jamais mesuré, effaçant le record déjà battu en 2023.
Si le thermomètre était proche ou inférieur aux normales de saison en Europe de l’Ouest, notamment en France, une grande partie du monde a subi des températures supérieures aux normes, voire exceptionnelles.
La température moyenne au niveau mondial a battu des records chaque mois depuis juin 2023.
Monthly global surface air temperature anomalies (°C) relative to 1850–1900 from January 1940 to June 2024, plotted as time series for all 12-month periods spanning July to June of the following year. The 12 months from July 2023 to June 2024 are shown with a thick red line, while all other 12-month periods are shown with thin lines shaded according to the decade, from blue (1940s) to brick red (2020s).
Voilà un record dont on se passerait bien. Juin 2024 a été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré, selon les données les plus récentes de Copernicus, le programme européen d’observation de la Terre. La température de l’air sur le globe a été, en moyenne, de 16,66 °C en juin 2024, soit 0,67 °C de plus que la température moyenne à la même période de l’année entre 1991 et 2020, et 1,5 °C de plus qu’entre 1850 et 1900. Cela fait donc douze mois consécutifs que la planète connaît, chaque mois, un (...)