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Des espèces sont au bord de l'extinction, un déclin notamment favorisé par des phénomènes comme le braconnage et le réchauffement climatique.
Chaque année, nous pousserions près de 1500 espèces animales à l'extinction : connaissez-vous ces espèces éteintes à cause de l'Homme ?
Un rapport historique des Nations Unies révèle la situation alarmante de la vie sauvage : les espèces animales migratrices sont en déclin et le risque d’extinction à l’échelle mondiale s’accroît
L’Union internationale pour la conservation de la nature a mis à jour ce lundi 11 décembre, à la veille de la fermeture de la COP28, sa «liste rouge» des espèces menacées dans le monde.
Des chercheurs de plusieurs universités et instituts de recherche néerlandais et belges, parmi lesquels la VUB, ont averti que plusieurs espèces animales sont menacées de disparition en raison des effets des retombées d'azote dans la nature. Entre autres, les insectes à métamorphose complète comme les papillons, les abeilles et les mouches. "L'augmentation des dépôts d'azote d'origine humaine modifie la qualité des sols dans les écosystèmes naturellement pauvres en nutriments", ont expliqué les scientifiques. En Flandre, ce phénomène est principalement dû à l'agriculture. "En conséquence, les conditions de vie des espèces végétales et animales changent également. Les plantes qui bénéficient d'un surplus d'azote deviennent souvent dominantes, ce qui conduit à l'enherbement des landes ou à la présence de ronces dans les zones boisées."
Des chercheurs de plusieurs universités et instituts de recherche néerlandais et belges, parmi lesquels la VUB, ont averti mardi que plusieurs espèces animales sont menacées de disparition en raison des effets des retombées d'azote dans la nature. Entre autres, les insectes à métamorphose complète comme les papillons, les abeilles et les mouches.
On observe un vrai déséquilibre, avec des niveaux de déclin d'espèces dépassant largement les niveaux d'augmentation pour tous les groupes.
Un nouveau rapport sur l’ampleur de la perte de biodiversité à travers la planète nous révèle que près de la moitié des espèces animales sur Terre sont actuellement en déclin. Selon les chercheurs, cet épuisement des populations est en grande partie dû à la dégradation des habitats liée aux activités humaines. Toujours selon ce document, seulement 3 % des espèces voient leur densité de population augmenter, tandis que 49% se stabilisent. Les détails de l’étude sont publiés dans la revue Biological Reviews.
Le président de la LPO (Ligue des protections des oiseaux) alerte sur les pénuries d’eau et leurs effets délétères sur la biodiversité.
Si la déconnexion des individus vis-à-vis des espaces naturels et des espèces animales s’intensifie, des pistes existent pour renouer avec le non-humain.
Les centaines de pages du rapport australien sur l’état de l’environnement font froid dans le dos : Au moins dix-neuf écosystèmes australiens présentent des signes d’effondrement. Le reste du document est tout aussi alarmant…
Des expériences de nage forcée jusqu’à épuisement ou sur la dépendance à l’alcool dont l’utilité est tout à fait contestable sont menées dans des laboratoires wallons, avec l’argent du contribuable. Le citoyen n’a pas droit de regard sur l’utilisation de son argent par les laboratoires d’expérimentation animale qui bloque l’arrêté de la ministre Tellier de 2020 et ont mis la main sur le comité wallon censé protéger les animaux d’expérience.
Si l’effondrement de la biodiversité est bien réel, cela n’empêche pas la découverte de nouvelles espèces animales et végétales. Souvent d’ores et déjà menacées par les activités humaines.
l y a 30 ans la majeure partie des prix Nobel en sciences émettait un avertissement à l’humanité car nous puisions de façon non durable dans nos ressources fossiles au point d’affirmer qu’il n’y a pas eu de pareille vague d’extinction d’espèces végétales et animales depuis la fin du Crétacé il y a 65 millions d’années.
Le gouvernement australien a rétrocédé mercredi la célèbre forêt tropicale de Daintree, vieille de 135 millions d'années et notamment connue pour ses espèces végétales et animales rares et anciennes, à la tribu aborigène Kuku Yalanji de l'Est.
Depuis plusieurs semaines la société de biotechnologie israélienne Future Meat commence à produire de la viande cultivée à partir de cellules animales à échelle industrielle. Ce “nouveau marché”, qui représente l’avenir, intéresse évidemment les grands noms de l’agroalimentaire, dont le géant suisse Nestlé.
Quil sagisse d'humains, dautres espèces animales ou de cultures : la plupart se sentent le mieux entre 17 et 24°C. Sil fait plus chaud et plus humide, les vaches donnent moins de lait, les porcs prennent moins de poids et le blé ne pousse pas aussi bien.Lorsque les gens sont exposés à des températures supérieures à 32°C avec une humidité extrêmement élevée ou à des températures supérieures à 45°C avec une humidité extrêmement faible pendant des périodes prolongées, cela peut être fatal, avertit M. Asseng.
D’abord vertes et bleues, elles sont aussi dorénavant noires, ces trames qui s’articulent au coeur des schémas directeurs d’aménagement lumière. Pour les biologistes et les écologues, la trame noire détermine des corridors écologiques caractérisés par une certaine obscurité et empruntés par les espèces nocturnes. Elle vise à lutter contre la pollution lumineuse qui influence négativement les espèces animales et menace la biodiversité.
Il reste des millions d’espèces d’insectes à décrire, et le temps presse pour les spécialistes avant que la destruction de leurs habitats ne les fasse disparaître. Alors qu’une sixième extinction de masse fait disparaître la biodiversité à grande vitesse, les biologistes partout dans le monde tentent de classifier les millions d’espèces animales et végétales encore inconnues.
Les être humains n’ont jamais cessé de produire des sons, ces vagues vibratoires qui se répandent dans l’espace environnant. Mais depuis l’entrée dans l’ère industrielle, il y a un peu plus de deux siècles, les sons produits par l’activité humaine se sont mué en bruits : il est devenu de plus en plus gênant pour l’être humain, mais aussi pour les espèces animales et végétales. En plus d’augmenter en intensité, le bruit anthropique s’est étendu sur tout le globe