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bleue

octobre 2024

Le ministre fédéral de l'Agriculture a pris sa décision concernant la vaccination contre différents sérotypes de la fièvre catarrhale ovine, ou "maladie de la langue bleue". Elle sera obligatoire en 2025 pour les cheptels bovins et ovins, mais le coût des vaccins restera à charge des éleveurs, annonce David Clarinval mercredi.

octobre 2024

Le virus de la fièvre catarrhale a été détecté dans 3586 endroits en Belgique, rapporte l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) jeudi dans un nouveau bilan. Selon l’organisation, le pic est toutefois passé car elle constate une baisse du nombre de cadavres récupérés.
Le cheptel ovin adulte en France comptait 5 millions de têtes, selon une étude de l’Interbev, publiée en 2023. Devant l’ampleur des pertes, le premier syndicat agricole réclame un accès accéléré aux vaccins et des indemnisations.
La fièvre catarrhale ovine ou maladie de la langue bleue touche tous les ruminants domestiques. Elle ne cesse de progresser sur notre territoire. En 5 jours 40 nouveaux foyers ont été détectés dans notre province, soit 181 foyers dénombrés en province de Luxembourg à la date du lundi 9 septembre. Le variant qui touche notre pays et les territoires voisins est virulent et fait d’importants dégâts dans les élevages.

août 2024

La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 1192 sites en Belgique, a indiqué lundi l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca). Le virus progresse également chez les animaux de compagnie tels que les alpagas. Cela peut expliquer cette hausse assez conséquente par rapport à la semaine dernière, lorsque 874 cas avaient été recensés.
La vaccination contre cette maladie – non transmissible à l’homme et dont un nouveau sérotype (3) est apparu le 5 août en France – a débuté, mais trop tardivement, selon la Fédération nationale ovine (FNO).
La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 874 sites en Belgique, selon les chiffres de l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) communiqués mardi. Il s'agit d'une forte hausse par rapport à la semaine dernière lorsque 501 foyers avaient été comptabilisés.
Quarante-et-un foyers d'un nouveau type de fièvre catarrhale ovine (FCO), aussi appelée "maladie de la langue bleue", étaient confirmés au 14 août dans six départements du nord de la France, a indiqué vendredi le ministère de l'Agriculture.
Le ministre fédéral de l'Agriculture et des Indépendants David Clarinval (MR) a proposé de reconnaître l'élevage bovin et ovin comme secteurs en crise en raison de l'épidémie de fièvre catarrhale (ou maladie de la langue bleue) qui touche des centaines d'élevages en Belgique
« Il y a une véritable vague qui déferle depuis le début de juillet dans les exploitations avec des animaux sensibles », a fait savoir le Friedrich-Loeffler-Institut, l’institut fédéral de recherche sur la santé animale allemand.
La fièvre catarrhale continue à se répandre dans les fermes de Belgique puisque le nombre d'élevages atteints, des exploitations bovines et ovines principalement, a dépassé les 500.
La fièvre catarrhale ou maladie de la langue bleue est en pleine expansion dans notre pays. Elle touche les ruminants (principalement les bovins et les ovins, mais aussi les caprins). Le 1er août dernier, l’Afsca recensait 87 foyers. Aujourd’hui, Kathy Brison, porte-parole de l’Afsca, cite le chiffre de 308 foyers. Elle explique : " C’est lié aux conditions météorologiques. Les insectes prolifèrent. Ils sont les vecteurs de la maladie virale ".
Cette affection, également nommée « maladie de la langue bleue », passe d’un ruminant infecté à un animal sain par l’intermédiaire d’insectes. Elle n’est pas transmissible à l’être humain, et ne nécessite pas l’euthanasie des animaux malades.
Un premier foyer en France de fièvre catarrhale ovine pouvant être mortelle pour les moutons a été confirmé dans un élevage ovin de Marpent (Nord), a annoncé ce mercredi 7 août la préfecture du Nord.
Il vous est présenté dans ces pages des solutions audacieuses face aux limites de l’économie néolibérale et de la démocratie actuelle. L’Espoyr, une nouvelle valeur d’échange universelle, est destiné à compléter les monnaies traditionnelles pour répondre aux défis de paix, de sécurité et de droits humains. L’économie contributive et la solidarité mondiale sont également explorées, avec une feuille de route pour une gestion écoresponsable des biens communs. Cet appel à l’action vous invite à co-construire une société plus juste, fondée sur des décisions collectives et des critères AAA.
Ces dernières semaines, les cas de fièvre catarrhale ovine (FCO), aussi appelée "maladie de la langue bleue" explosent en Belgique. De 8 foyers en juin dernier, une soixantaine d’exploitations sont aujourd’hui touchées, comme le montre cette carte de l’institut de santé publique Sciensano.

juillet 2024

Face à un foyer déclaré en Belgique de fièvre catarrhale ovine, la France restreint la circulation du bétail dans un large périmètre au nord du pays.

juillet 2024

Les climatologues sont particulièrement inquiets. Cette petite tache ne devrait pas être là en 2024. "Les modèles climatiques prévoyaient ce phénomène pour l’année 2100, sans certitude qu’il arrive, mais sûrement pas pour aujourd’hui", explique-t-il. Cette tache bleue représente un endroit où la température diminue. Le réchauffement climatique n'a pas comme seule conséquence un réchauffement global de la planète. Certaines zones deviennent aussi plus froides, avec un dérèglement complet des saisons.

mars 2024

La mésange bleue, dont la nidification vient de suspendre certains travaux de l’A69, est un oiseau réputé bagarreur. Mais malgré ses facultés d’adaptation, le réchauffement climatique affecte sa reproduction.

octobre 2023

Nos hauts sommets sont-ils aussi malades ? Un signal d’alarme vient d’être lancé par une équipe de chercheurs de l’Institut national polytechnique (INP) de Toulouse. Dans une étude publiée récemment, ils alertent sur la prolifération des cyanobactéries, ou "algues bleues", dans les lacs de haute montagne. Un bouleversement aux lourdes conséquences pour l’humain et la nature.


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