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Alors que J.D Vance, sa femme Usha et une délégation de ministres devaient aller à la rencontre de la «société groenlandaise» en fin de semaine, ils ne visiteront finalement que la base aérienne américaine sur ce territoire ouvertement convoité par Donald Trump. Une petite victoire pour la diplomatie danoise fermement opposée à leur venue.
Trump tente de trouver une solution à la pénurie d'œufs causée par la grippe aviaire.
L’indépendance, oui mais quand ? Les Groenlandais votent mardi lors de législatives dont l’un des enjeux est de déterminer à quel moment rompre les amarres avec le Danemark, l’actuelle puissance tutélaire, sans tomber dans l’escarcelle de Donald Trump. L’insistance parfois menaçante du président américain à prendre possession du Groenland a donné un coup de fouet aux aspirations indépendantistes parmi les 57.000 habitants du territoire, nombreux à dire ne vouloir être ni danois ni américains, mais groenlandais.
Depuis sa diffusion le 9 février, un documentaire controversé sur les sommes engrangées par le Danemark grâce à une ancienne mine du Groenland fait des vagues dans ce territoire autonome, à un mois des élections parlementaires. La polémique pourrait jouer en faveur des indépendantistes.
Lars Løkke Rasmussen a souligné devant la presse ce mardi 28 janvier qu’il revient aux Groenlandais eux-mêmes de décider au sujet du rattachement de leur territoire au Danemark ou aux États-Unis.
La première ministre danoise, Mette Frederiksen, est arrivée mardi à la mi-journée à Paris, dans le cadre d’une tournée européenne pour obtenir le soutien de ses homologues face aux visées de Donald Trump sur le Groenland. Elle devait rallier Bruxelles dans l’après-midi.
La ministre groenlandaise du Commerce et de la Justice, Naaja Nathanielsen, a reconnu ce lundi 27 janvier que ses concitoyens sont «inquiets et préoccupés» face aux multiples déclarations agressives du président américain.
Le gouvernement danois a annoncé lundi qu'il allait consacrer 14,6 milliards de couronnes, soit deux milliards d'euros, au renforcement de la sécurité dans l'Arctique, zone stratégique en raison de la proximité russe et américaine, et l'Atlantique Nord.
Le président américain se serait montré très agressif lors d’un appel à Mette Frederiksen, qui lui a répété que le territoire arctique n’était pas à vendre, selon les informations du «Financial Times».
Le nouveau président des États-Unis, Donald Trump, s'est entretenu par téléphone la semaine dernière avec la première ministre du Danemark, Mette Frederiksen, et s'est une nouvelle fois montré fort déterminé à s'emparer du Groenland, rapporte le Financial Times. Cinq représentants hauts placés de l'Union européennes (UE) ont affirmé que la conversation s'était très mal déroulée.
Lors d’une conversation téléphonique avec la première ministre danoise, le 15 janvier, le président américain élu a, semble-t-il, réitéré ses menaces d’une guerre commerciale contre le pays nordique, provoquant l’émoi dans le royaume.
Le fondateur de Sea Shepherd avait été arrêté le 21 juillet, au cours d’une brève escale au Groenland pour ravitailler en carburant son bateau. Un mandat d’arrêt international avait été émis contre lui à la demande du Japon, en raison d’activités contre la chasse à la baleine en Antarctique qui auraient causé des dommages et des blessures en 2010.
Le tribunal du Groenland doit statuer le 2 décembre pour la sixième fois sur le maintien en détention provisoire du défenseur des baleines, arrêté il y a plus de cinq mois. De son côté, le Danemark tarde à répondre à la demande d’extradition lancée par le Japon.
Le Danemark s’apprête à transformer son paysage naturel de manière radicale avec un projet de reforestation et de restauration des habitats
Dans le cadre d’un plan visant à verdir l’agriculture, le gouvernement danois a annoncé un accord sur l’introduction d’une taxe carbone sur l’élevage en 2030. Le texte, dévoilé lundi et qui a le soutien du gouvernement et de quatre partis majoritaires, doit encore être voté au Parlement.
Une vingtaine de militants ont manifesté mercredi devant l'ambassade du Danemark à Bruxelles pour demander la libération de l'activiste canadien pour les droits des animaux Paul Watson.
Le Danemark est parvenu à un accord inédit pour taxer les émissions liés à l'élevage. Une première au niveau mondial.
Les flatulences et rots du bétail vont être l’objet d’une taxe au Danemark dès 2030 pour faire baisser l’empreinte carbone du pays et financer la transition écologique du secteur agricole.
L’accord, présenté lundi, prévoit l’établissement d’une taxe carbone à partir de 2030, à laquelle échapperont les agriculteurs qui ont déjà investi dans des technologies permettant de réduire les émissions.
Le gouvernement de Copenhague a annoncé la mise en place d’une taxe sur les émissions de gaz à effet de serre produites par les élevages. Si ce projet était approuvé par le Parlement danois, il s’agirait du premier pays du monde à prendre une telle mesure.