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Raworth
2022
Imaginée par l’économiste anglaise Kate Raworth, la Théorie du Donut est un modèle d’économie circulaire dans lequel sont pris en compte les limites de la planète et le minimum social. Depuis 2020, la ville d’Amsterdam a décidé de s’en inspirer pour son plan de relance à la sortie du confinement. Mise en lumière sur ce modèle économique durable et son application concrète à Amsterdam.
2021
Pourtant, au dernier chapitre de son ouvrage, l’autrice ne propose pas de s’opposer à la quête de croissance économique, mais simplement de ne plus s’en soucier. Il faut, dit-elle, devenir « agnostique en matière de croissance », c’est-à-dire « concevoir une économie qui nous fasse nous épanouir, qu’elle croisse ou non. » (p. 279). En d’autres termes, la croissance économique n’est pas forcément un problème. Elle ne le devient que lorsqu’elle constitue le but de l’activité économique.
Depuis quelques années, on parle de plus en plus de l’économie du Donut de Kate Raworth, une économiste britannique, qui s’inspire du célèbre beignet pour nous faire visualiser les deux cercles, intérieur et extérieur, au sein desquels une économie saine devrait être maintenue pour être socialement juste et écologiquement sûr. La Région de Bruxelles-Capitale veut s’inspirer de cette fameuse théorie du Donut pour arriver à une gestion publique plus respectueuse de l’humain et de la nature.
2020
2019
KATE RAWORTH : Le « donut » nous amène à enterrer l’idée que l’on mesure le progrès et le développement d’une nation en observant l’évolution de son PIB. La prospérité se situe ailleurs. Pour l’atteindre, nous devons nous poser deux questions fondamentales : Est-ce que la population peut subvenir à ses besoins essentiels ? Et est-ce qu’elle le fait d’une manière qui ne conduit pas à dépasser le plafond écologique ?
Il existe un décalage complet entre la réalité de l’économie et la façon dont elle est abordée et enseignée. D’une part, parce que l’on se base sur une théorie classique, datée, dont on connaît les travers et qui fonctionne trop en vase clos. Et d’autre part, parce que les enjeux du XXIe siècle doivent pousser à trouver de nouveaux objectifs à atteindre. C’est l’idée que développe Kate Raworth, économiste et chercheuse à Oxford, et qu’elle illustre sous la forme d’un… donut.
2018
Dans La théorie du donut, Kate Raworth se livre à un passionnant détricotage des mythes qui fondent nos croyances économiques. Revenant sur l’histoire de sa discipline, elle montre que beaucoup de « lois » autoproclamées ne sont que de simples convictions ... Non, les inégalités ne sont pas un passage obligée du développement. Non, les communs n’ont rien d’une « tragédie » inéluctable. Non, l’« homo economicus » n’existe pas et non, la croissance n’est pas la recette miracle.
La façon dont nous pensons et enseignons l'économie depuis le XIXe siècle est périmée! Crises financières à répétition, inégalités extrêmes de revenus et d'accès aux ressources, exploitation destructrice de l'environnement... Dans La théorie du Donut, Kate Raworth revisite les principaux outils et principes économiques en mettant le facteur humain et la préoccupation environnementale au coeur de sa réflexion. Consciente de la force des images, elle s'attaque à sept schémas clés pour montrer à quel point ils sont galvaudés et méritent d'être changés en y introduisant les dimensions sociale et environnementale. Une lecture rafraichissante, qui propose une vision renouvelée, accessible et optimiste de la pensée économique.