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2024

Selon le CEO de Viessmann, l’électricité est trop chère pour rentabiliser un investissement dans une pompe à chaleur.
L’institut Copernicus annonce, ce mercredi 5 juin, que le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. Il s’agit du douzième mois consécutif pour lequel les records de températures mondiales sont battus.
Le mois de mai a connu des températures records à la surface des océans. C’est le quatorzième mois consécutif à être le plus chaud de l’histoire pour ce paramètre, selon les données Copernicus publiées ce jeudi. L’océan arrive-t-il à ses limites dans l’absorption de l’excès de chaleur émises par les activités humaines ? Les scientifiques se posent la question. Les dommages sur Terre et dans la mer sont en tout cas déjà multiples.
Le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, avec une température moyenne de l'air en surface de 0,65°C au-dessus de la moyenne 1991-2020, a rapporté mercredi le Service Copernicus sur le changement climatique (C3S) dans un communiqué. Il s'agit, en l'occurrence, du 12e mois consécutif pour lequel la température moyenne mondiale a atteint une valeur record.
La France a connu son quatrième printemps le plus pluvieux, avec un déficit d’ensoleillement de 20% et des températures plus élevées que les normales pour la troisième année d’affilée, a annoncé Météo France ce lundi 3 juin.
Les températures extrêmes qui sévissent en Inde ont des conséquences graves sur la santé publique surtout dans les mégapoles du pays, ont averti jeudi des experts.Les vagues de chaleur constituent "la plus grande menace pour le bien-être de l'Inde aujourd'hui", explique à l'AFP Aarti Khosla, directrice de l'Institut de recherche Climate Trends.Les récents pics dans la région de la capitale sont, selon elle, "la preuve que la question qui se pose aujourd'hui est celle de la survie".
L’Inde est écrasée par une vague de canicule. Dans la capitale, les autorités ont mis en garde contre une « très forte probabilité de développer des maladies liées à la chaleur et des coups de chaud à tous les âges ».
Une température record de 52,3 °C a été enregistrée mercredi à New Delhi, la capitale de l’Inde. Les services météorologiques indiens, qui font état de "fortes vagues de chaleur", ont rapporté cette température record dans deux stations de la banlieue de New Delhi, Narela et Mungeshpur.
Le mercure a explosé dans la capitale indienne ce mercredi 29 mai. Pour se rafraîchir, les habitants ont massivement utilisé les systèmes de climatisation, faisant accroître la demande d’énergie. Au Pakistan, le thermomètre a grimpé à 53°C.
Le pays, qui fait face à une « vague de chaleur sévère », a ordonné la fermeture anticipée des écoles de New Delhi pour les vacances d’été.
Les cartes météo se colorent de rouge en Inde : 47°C à New Delhi lundi, canicule à Bombay... La chaleur persistante complique les élections générales qui durent jusqu'en juin. Le risque thermique s'accompagne d'inégalités sociales avec les ménages pauvres, travailleurs en extérieur plus vulnérables.
Selon une étude publiée ce mardi et qui a reconstitué les températures du passé pour les mois de juin à août, l'été 2023 a été le plus chaud en 2000 ans.
Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
The Guardian a mené un sondage pour connaître le ressenti de centaines de chercheurs en lien avec le GIEC sur le réchauffement climatique.
L'été 2023 a battu tous les records en devenant l'été le plus chaud depuis deux millénaires dans les zones tempérées de l'hémisphère nord.
Climat L’été 2023 dans l’hémisphère nord a pulvérisé les records.
L'année 2023, la plus chaude jamais enregistrée dans le monde, a encore battu un nouveau record: les scientifiques ont pu établir que l'été dans l'hémisphère nord a été le plus chaud en 2.000 ans, selon une étude publiée mardi.
En observant les cernes des arbres, une équipe de chercheurs a pu définir que l’été 2023 était plus chaud, d’au moins un demi-degré, que l’été le plus chaud avant l’ère industrielle dans les zones tempérées de l’hémisphère Nord.
Le mois d’avril 2024 a été le onzième mois consécutif le plus chaud jamais enregistré, révèle le programme européen Copernicus. Il bat le précédent record établi en avril 2016.
Plusieurs régions du Mexique, dont la capitale Mexico et ses neuf millions d'habitants, ont subi des coupures d'électricité par intermittence en raison de l'envolée de la consommation en raison de la canicule, a indiqué le gouvernement jeudi. Jusqu'à 48°C... Des coupures ont été signalées à Mexico, dans l'État de Mexico voisin et ceux du Michoacán (ouest), du Tamaulipas (nord-ouest) et Campeche (sud-est). La Commission nationale de l'eau a fait état de températures "maximales de 48 degrés et plus dans les régions de San Luis Potosi (nord-est) et Tamaulipas".
Copernicus, le programme d'observation de la Terre de l'Union européenne, a publié son rapport sur la température de l'air en avril 2024 et la planète a battu plusieurs records historiques de chaleur.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’
Sur les douze derniers mois, la température du globe a été en moyenne 1,61 degré plus élevée qu’à l’ère préindustrielle, dépassant la limite de 1,5 degré fixée par l’accord de Paris en 2015.
La température des océans a également battu un record.
La Birmanie a battu un record de chaleur pour une journée du mois d'avril, avec 48.2°C constatés à Chauk, dans le centre du pays, dimanche, depuis le début des relevés il y a 56 ans, a annoncé lundi l'institut national de météo.
Chaleur écrasante et humidité étouffante, l’Asie du Sud-est connaît des conditions météorologiques exceptionnelles. Plusieurs français en vacances ou vivant à Thaïlande ont raconté à « Libé » leur vie à plus de 50°C ressentis.
Tandis que la Chine subit des inondations historiques, l’Asie du Sud-Est étouffe sous des températures extrêmes. Une situation inquiétante.
L'Asie en première ligne des effets du réchauffement climatique. Le Continent a été "la région du monde la plus touchée par les catastrophes" liées à la météo en 2023, a indiqué l'ONU, mardi 23 avril, précisant que les inondations et tempêtes y ont fait le plus de victimes et de pertes économiques.
Les scientifiques ont constaté “un véritable saut en termes d’anomalies de température mondiale entre 2022 et 2023”. Au-delà des concentrations de gaz à effet de serre records dans l’atmosphère et divers facteurs liés à la variabilité du climat, une petite partie de cet excès de chaleur n’est toujours pas expliquée. À quoi s’attendre alors pour 2024 ?
Le Vieux Continent a subi de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes en 2023. Conséquence directe, le nombre de jours de "stress thermique extrême", où la température ressentie a dépassé l'équivalent de 46° C, a augmenté, selon un rapport de Copernicus et de l'ONU publié lundi.
Chaleur tourne. Les impacts du changement climatique se sont particulièrement fait ressentir en Europe lors de l’année la plus chaude jamais mesurée sur Terre, dévoilent l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et Copernicus, le service européen de surveillance de la planète.
Un rapport publié par l’institut Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale dévoile qu’au plus fort de la canicule, le 23 juillet 2023, 13 % du continent a connu une situation délétère pour les organismes.
Selon une étude du réseau World Weather Attribution publiée jeudi, le réchauffement climatique "d'origine humaine" est responsable de la vague de chaleur exceptionnelle qui a touché le Sahel du 1er au 5 avril et provoqué de nombreux décès au Mali et au Burkina Faso. Les scientifiques précisent qu'un tel épisode climatique ne survient en principe qu'"une fois tous les 200 ans".
Selon le réseau World Weather Attribution, début avril, les températures maximales au Mali et au Burkina Faso ont gagné 1,5 °C du fait du réchauffement mondial pendant la journée et 2 °C durant la nuit, créant des conditions difficiles pour les plus fragiles.
Pour la deuxième fois en dix ans, tous les coraux de la planète connaissent un épisode massif de blanchissement du fait de températures océaniques extrêmes, alerte lundi l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Une revue publiée dans PLOS One cumpulse les risques du climat pour les infrastructures. Selon l’étude, les dommages annuels moyens s’élèvent actuellement à environ 700 milliards de dollars par an. Ce chiffre devrait être multiplié par plusieurs au cours du 21e siècle en raison du changement climatique et aussi de l’expansion des actifs d’infrastructure. Le climat aura notamment des conséquences sur le transport routier et ferroviaire : les hautes températures amènent des distorsions des rails, des changements importants de températures provoquent le dégel du permafrost et des déformations du terrain. Les précipitations intenses causent des inondations, des glissements de terrain, des perturbations de l’équipement électronique, des mouvements des rails, et des dépôts sur les voies. Les vents forts déracinent les arbres et transportent d’autres objets, par exemple des tôles ondulées, qui interrompent les lignes électriques et endommagent les rails.
Le thermomètre à Sapporo a dépassé lundi les 25°C, battant ainsi un record de chaleur pour cette période de l'année dans la capitale de l'île de Hokkaido, tout au nord du Japon, a annoncé l'agence météorologique nippone (JMA). Située dans la région la plus froide du Japon, Sapporo a accueilli les Jeux olympiques d'hiver de 1972 et organise chaque février un festival de la neige très populaire, avec des sculptures de glace géantes.
Pour la première fois depuis l’aire préindustrielle (1850-1900), le fameux seuil de +1.5°C a été atteint ou presque (+1.48°C signalé par Copernicus (*) à l’échelle globale pulvérisant le précédent record (2017) de +0.17°C. Depuis juillet 2023, c’est en fait tous les jours ou presque que la température bat les précédents records journaliers avec des anomalies à l’échelle globale atteignant parfois les +2°C ces derniers mois. Enfin, la hausse du niveau des mers a fait un « bon » en 2023 en augmentant de presque un facteur deux par rapport aux précédentes années. Si une telle accélération de la hausse du niveau marin a été observée, ce n’est pas à cause d’une fonte subite des calottes polaires mais, à cause de l’expansion thermique des océans qui se sont « subitement » réchauffés en 2023. En Atlantique Nord par exemple, la température de surface a augmenté de +0.4°C par rapport à 2022 alors qu’elle n’avait quasiment plus évolué sur la période 2020-2022. Mais pourquoi un tel emballement des températures des océan
Ce samedi 13 avril, le température moyenne en France s’est établie à 17,9 °C selon Météo France. Des records de chaleur ont aussi été relevés.
La Suède a connu son 'début d’été le plus précoce jamais enregistré, avec des températures de plus de 10 °C...
Des records de chaleur ont été enregistrés en Antarctique : -9,4°C au lieu des -40°C habituels. Un constat inquiétant quand on sait que le continent a assez de glace pour augmenter le niveau des océans de 58 mètres. De quoi faire disparaître 8000 hectares de côtes en France.
Un mois de plus, un nouveau record de chaleur à l’échelle mondiale qui laisse les climatologues perplexes, espérant qu’il s’agit d’un phénomène lié à El Niño et non d’un symptôme d’une santé planétaire plus mauvaise que prévu. Les températures à la surface du globe en mars étaient supérieures de 0,1 °C au précédent record pour ce mois, établi en 2016, et de 1,68 °C à la moyenne préindustrielle, selon les données publiées mardi par le Copernicus Climate Change Service.
Les températures du week-end dernier, dignes d’un mois d’été, illustrent l’un des effets du changement climatique : un retour de la chaleur toujours plus précoce au printemps. Cette tendance s’observe notamment à Bordeaux et Strasbourg.
Avec un nouveau record de température en mars, les douze derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, 1,58°C de plus que dans le climat de la planète au XIXe siècle, avant que se fasse sentir l'effet de la combustion des énergies fossiles, de la déforestation ou de l'agriculture intensive.
Le mois de mars 2024 a été le dixième mois d’affilée à enregistrer une température moyenne plus élevée qu’un mois de mars normal, selon le service changement climatique (C3S) de l’observatoire européen Copernicus.
Avec une température moyenne 1,68 °C plus élevée qu'un mois de mars normal dans le climat de l'ère préindustrielle, mars 2024 a été le dixième mois consécutif à battre un record de chaleur, selon l’observatoire européen Copernicus.
If the anomaly does not stabilise by August, ‘the world will be in uncharted territory’, says climate expert
Les records de température sur la terre et dans les océans sont à nouveau battus pour le mois de mars 2024, révèle ce mardi 9 mars l’observatoire européen du climat Copernicus. Ces douze derniers mois sont les plus chauds jamais recensés.
Si juillet 2023 est devenu le mois le plus chaud jamais mesuré dans le monde, tous les mois depuis juin ont aussi battu leur propre record.
Professeure émérite de physique de l'atmosphère et du climat à la Sorbonne, Katia Laval a contribué au développement du premier modèle climatique français. Invitée lundi dans La Matinale, elle souligne l'urgence de comprendre les variations brutales et les événements climatiques récents, inexpliqués par les modèles actuels.
Un nouveau record journalier en ce début de printemps.
Le phénomène climatique El Niño a provoqué des températures anormalement élevées en Asie du Sud-Est ce vendredi 5 avril, provoquant la fermeture de milliers d’écoles.
Des températures inédites pour la saison ont été enregistrées partout sur la planète. Mars 2024 est probablement le dixième mois consécutif à battre des records de chaleur à l’échelle mondiale.
Météo France annonce des températures digne d’un début d’été pour la fin de semaine, «totalement dans la logique du réchauffement climatique», estime le prévisionniste Tristan Ann.
Rouge écarlate, voire noire. L'Amérique du Sud et l'Afrique suffoquent sous des chaleurs extrêmes depuis plusieurs jours, faisant tomber les uns après les autres les records de températures. Au Soudan du Sud, les écoles ont été contraintes de fermer leurs portes, pour une durée indéterminée. Une première dans un pays où les fortes chaleurs ne sont pas rares.
La vague de chaleur qui touche l'Amérique latine depuis le début de l'année a fait grimper la température ressentie à un niveau record de 62,3 °C à Rio de Janeiro au Brésil dimanche, alors que la pluie menace dans le sud du pays. Les experts attribuent ces phénomènes extrêmes et l'instabilité météorologique au changement climatique et au phénomène El Nino qui touche la côte sud du continent sud-américain.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Ce 19 mars, l’organisme dépendant des Nations unies publie son panorama annuel sur l’état du climat. Des données inédites révèlent que la température moyenne de la Terre s’est hissée 1,45°C au-dessus de celle de l’ère préindustrielle.
La décennie qui vient de s'écouler est la plus chaude jamais enregistrée, provoquant en 2023 une fonte sans précédent des glaciers, a alerté l'ONU mardi.
L'ONU a alerté, mardi, qu'il y a une "probabilité élevée" que l'année 2024 affiche à son tour des températures inégalées. Une déclaration qui intervient alors que l'année écoulée vient conclure une décennie de chaleur record, poussant la planète "au bord du gouffre", selon les Nations unies.
Températures extrêmes, hausse du niveau de la mer, sécheresses, catastrophes naturelles… 2023 aura été l’année de tous les dépassements. Et 2024 pourrait encore voir les choses s’aggraver alerte l’Organisation météorologique mondiale. Seule lueur d’espoir : le recours aux énergies renouvelables n’aura jamais été aussi important.
62,3 °C ressentis à Rio de Janeiro dimanche 17 mars. Le thermomètre s’affole au Brésil — il indiquait une température réelle de 42 °C — sous les effets conjugués du réchauffement climatique et du phénomène El Niño comme l’explique France Info.
La vague de chaleur qui touche l'Amérique latine depuis le début de l'année a fait grimper la température ressentie à un niveau record de 62,3°C degrés Celcius à Rio de Janeiro au Brésil ce week-end, alors que la pluie menace dans le sud du pays.
La fin de l’été austral est marquée par une chaleur inédite à Rio de Janeiro ou Sao Paulo, où l'on a atteint jusqu’à 62 degrés, et par des inondations et du froid dans le sud du pays. Un phénomène en partie dû à El Nino.
Les eaux de surface des océans du globe atteignent sans interruption, depuis mars 2023, des températures jamais enregistrées auparavant.
Les eaux de surface des océans du globe atteignent sans interruption, depuis mars 2023, des températures jamais enregistrées auparavant.
Février 2024 a été le mois de février le plus chaud jamais enregistré, annonce l'observatoire européen du climat Copernicus ce jeudi. Les températures de l’océan atteignent aussi un niveau record, à 21,06 °C.
Après un été et un automne records, le monde a connu son hiver le plus chaud jamais enregistré, selon le dernier bulletin, publié jeudi, de l'observatoire européen Copernicus, qui pointe la responsabilité des émissions de gaz à effet de serre et du phénomène climatique El Niño.
Near-real time updates of key global climate variables from the the Copernicus Climate Change Service (C3S)
Les trois derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, février s’inscrivant dans une série de neuf records mensuels consécutifs, sous l’effet de la poursuite des émissions de gaz à effet de serre et du phénomène climatique El Niño, selon Copernicus. L’observatoire européen a égrené, dans son dernier bulletin mensuel publié jeudi, une nouvelle série de chiffres chocs : avec une température de l’air de 13,54°C en moyenne, le mois passé s’est inscrit 1,77°C au-dessus d’un février moyen sur la période 1850-1900. C’est aussi 0,12°C de plus que le record précédent pour un mois de février, qui remontait à 2016.
Juillet, septembre, octobre… mois après mois, les records se suivent et se ressemblent. Février 2024 est le mois de février le plus chaud jamais enregistré dans le monde depuis l’ère pré-industrielle, a annoncé jeudi 7 mars l’observatoire européen Copernicus. C’est la neuvième fois consécutive qu’un record mensuel est battu.
Le Maroc enregistre des records de chaleur cet hiver, avec le mois de janvier le plus chaud recensé dans le royaume depuis 1940, a indiqué mercredi à l'AFP la Direction générale de la météorologie (DGM), imputant le phénomène au réchauffement climatique.
La Tunisie face à l’épreuve du changement climatique (3). La fréquence des périodes caniculaires et des infrastructures inadaptées risquent de peser lourd sur l’avenir du secteur touristique.
Jusqu’à présent, le site global-climat.com publiait les données journalières de température qui n’étaient pas facilement accessibles, à moins d’utiliser des logiciels dédiés pour extraire les données. Il fallait en outre coder en Python, un langage informatique, pour extraire des données plus détaillées sur l’historique. Mais bonne nouvelle, Copernicus a lancé un nouvel outil, et il est remarquable. Une page dédiée, « Climate Pulse », permet de visualiser les données journalières (anomalies, valeurs absolues) sous forme de graphique, de fichier CSV et de carte d’anomalies. Le lien vers cette page est le suivant : https://pulse.climate.copernicus.eu.
L’année 2023 a été classée comme la plus chaude enregistrée depuis 1850, avec 14,98 °C de moyenne sur l’ensemble du globe. La tendance continue en 2024. Le principal coupable : le réchauffement lié aux gaz à effet de serre d’origine humaine.
L'hiver météorologique 2024 a été le deuxième le plus chaud jamais enregistré ressort-il du bilan climatique saisonnier de l'Institut royal météorologique (IRM) communiqué vendredi.
Conclu par un mois de février exceptionnellement doux, l’hiver météorologique devrait se classer juste derrière ceux de 2020 et 2016 en termes de température, note Météo-France ce jeudi 29 février.
Entre début décembre et fin février, le mercure devrait dépasser "d'environ deux degrés" les normales de saison en France, annoncé jeudi Météo France. C'est la sixième année consécutive que les températures des trois mois d'hiver sont plus chaudes d'au moins 0,8°C que les moyennes des trois dernières décennies.
Excepté de courtes séquences hivernales, les températures sont dignes du printemps. L’hiver 2023-2024 termine au troisième rang des hivers les plus doux jamais mesurés en France, derrière 2020 (+2,3 °C) et 2016 (+2,1 °C), a annoncé Météo-France le 29 février. Selon ses prévisionnistes, le mercure devrait ainsi dépasser « d’environ 2 °C » les normales de saison.
Le mois de février 2024 dépasse de façon spectaculaire les records de chaleur dans le monde entier. La température des océans est très élevée. La glace marine Antarctique est très réduite. Le phéno…
Des feux de forêts sur fond de record de chaleur ravagent le Texas aux Etats-Unis. Une usine d’armement nucléaire a dû arrêter ses activités face au risque des incendies.
Un nouveau record de température pour le mois de février.
Jonathan Watts Traduction Deepl Josette – The Guardian - Le mois de février est en passe de battre un nombre record de records de chaleur, selon les météorologues, car le réchauffement climatique d’origine humaine et le phénomène naturel El Niño font grimper les températures sur terre et dans les océans.
Rapid ocean warming and unusually hot winter days recorded as human-made global heating combines with El Niño
Le Maroc subit, en plein mois de février, des chaleurs dantesques. Selon les données du service d’information météorologique Ogimet, cités par Ouest France, le mercure a atteint mercredi 14 février 36,6 °C à Tan-Tan, dans le sud du pays, 36,4 °C à Essaouira, 36 °C à Agadir, 34,8 °C à Casablanca et 33,9 °C à Rabat. « À minuit, il faisait encore 30.5 °C à Sidi Ifni », décrit l’agroclimatologue Serge Zaka sur X (ex-Twitter).
L’hiver serait-il déjà terminé ? Avec 25 °C au pied des Pyrénées, 23 °C sur le Pays basque, entre 17 et 20 °C dans la vallée du Rhône et 15 °C à Paris, les températures du mois de février sont particulièrement chaudes. Ceci à cause « d’un flux de sud-ouest à sud qui amène sur le pays des masses d’air très doux », selon Météo France.
L’accumulation de jours particulièrement doux se poursuit en ce mois de février. Résultat : la saison est en train de se hisser au niveau de l’hiver 2019-2020, où la barre des 20 degrés avait été franchie 88 fois, un record en France.
Marine heat waves will become a regular occurrence in the Arctic in the near future and are a product of higher anthropogenic greenhouse-gas emissions, according to a study just released by Dr. Armineh Barkhordarian from Universität Hamburg's Cluster of Excellence for climate research CLICCS. Since 2007, conditions in the Arctic have shifted, as confirmed by data recently published in the journal Communications Earth & Environment. Between 2007 and 2021, the marginal zones of the Arctic Ocean experienced 11 marine heat waves, producing an average temperature rise of 2.2 degrees Celsius above seasonal norm and lasting an average of 37 days. Since 2015, there have been Arctic marine heat waves every year.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré dans le monde et, pour la première fois, la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle a été franchie sur 12 mois consécutifs, selon les données de l'observatoire européen Copernicus.
Les fortes températures ont engendré la mort de 5 167 personnes, annonce ce jeudi 8 février Santé publique France. L’un des niveaux les plus élevés des dernières années.
Quand la grosse chaleur d’été de Rio nous met au défi.
La température moyenne au cours des 12 derniers mois est la plus haute jamais enregistrée. Elle dépasse de 1,52 °C la température moyenne de la période préindustrielle, franchissant ainsi le seuil limite fixé dans l’accord de Paris.
"C'est officiel", a annoncé le porte-parole de l'agence météorologique.
Les températures atteignent de nouveaux sommets, mais le monde ne réduit (toujours) pas ses émissions - Résumé analytique
Le niveau inédit de 21,1 °C en moyenne dans les eaux de surface a été atteint en août 2023, et de nouveau en janvier 2024. Un symptôme du réchauffement aux conséquences majeures sur la biodiversité et la capacité du milieu marin à stocker le CO₂.
Avec +0,6 degré pour le mois de janvier, voilà 24 mois consécutifs que les températures en France ne sont pas passées sous les normales de saison, a indiqué Météo France ce jeudi 1er février.
Un week-end printanier en plein hiver. En Espagne et dans le sud de la France, de nouveaux records de chaleurs sont tombés pour un mois de janvier. Un impressionnant redoux qui inquiète les scientifiques.
Si la tendance observée mercredi par Météo France se poursuit ce jeudi 25 janvier, le premier mois de l’année 2024 serait le vingt-quatrième mois d’affilée observant des températures supérieures aux moyennes.
Alors que la température moyenne annuelle de la planète s'approche rapidement du seuil critique de 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels, l'année dernière a officiellement battu le record mondial de température, a confirmé vendredi l'agence météorologique des Nations Unies (OMM).
2024 pourrait bien battre le record de chaleur établi l'année dernière, a d'ores et déjà mis en garde l'ONU vendredi, appelant à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre pour combattre le changement climatique.
Le phénomène météorologique El Nino devrait pousser les températures mondiales vers de nouveaux sommets, surpassant l’année 2023 déjà record, annonce l’Organisation météorologique mondiale ce vendredi 12 janvier.
2024 pourrait bien battre le record de chaleur établi l'année dernière, a d'ores et déjà mis en garde l'ONU vendredi, appelant à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre pour combattre le changement climatique.Sous l'impulsion du phénomène météorologique El Nino, la tendance au réchauffement -qui a vu chaque mois entre juin et décembre 2023 battre son record de chaleur- devrait se poursuivre cette année, explique l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
Dans son bilan annuel publié mardi, l'observatoire européen Copernicus a indiqué que l'année écoulée a été 1,48°C plus chaude que le climat de l'ère pré-industrielle, confirmant que 2023 est bien l'année la plus chaude de l'histoire pour la planète.
Les températures records de 2023 obligent les «warming stripes», ces rayures colorées utilisées pour représenter les températures moyennes enregistrées sur une année, à être révisées.
L'année 2023 a été 1,48 degré plus chaude dans le monde que le climat de l'ère pré-industrielle, a annoncé mardi le service européen Copernicus, confirmant qu'il s'agit de l'année la plus chaude de l'histoire pour la planète.
2023 a bien été l’année la plus chaude au niveau mondial. 'Une année exceptionnelle où les records climatiques sont...
L'année "2023 est l'année la plus chaude jamais enregistrée", confirme le programme Copernicus dans une étude publiée ce mardi.
Il n’a jamais fait aussi chaud qu’en 2023. En tout cas, depuis 1850 et les premiers enregistrements des températures mondiales. C’est le bilan du programme européen d’observation du climat Copernicus, dévoilé le 9 janvier. « Les températures mondiales en 2023 ont atteint des niveaux exceptionnellement élevés », relève l’organisme.
Climate records tumbled "like dominoes" in 2023, with temperatures far above any recorded level.
Avec une température moyenne de 14,4°C à la surface, l’année écoulée se classe juste derrière 2022 parmi les années les plus chaudes depuis le début du XXe siècle, annonce Météo France vendredi 5 janvier.
Avec +1.044°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de décembre 2023 poursuit la série des records mensuels de chaleur. L’année 2023 dans son ensemble est la plus chaude jamais observée, frôlant pour la première fois le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle.

2023

Il n’a jamais fait aussi chaud sur Terre qu’en 2023. Les répercussions de telles chaleurs sur les forêts françaises sont majeures, explique Jonathan Lenoir, du CNRS.
Alors que 2023 touche à sa fin, elle devrait être la troisième année la plus chaude depuis le début des relevés en Belgique, annonce l'Institut royal météorologique (IRM) mardi, à l'occasion de la publication de son bilan annuel. Les années record restent 2022 et 2020.
La ville du sud de l'Espagne a enregistré un record de chaleur le 10 décembre.
L'été 2023 a été le plus chaud jamais enregistré dans l'Arctique, selon un rapport américain de référence, qui dresse un tableau alarmant de cette région du monde, particulièrement soumise aux effets du réchauffement climatique.
La température moyenne est la plus élevée mesurée sur les onze premiers mois de l’année : 0,13 °C de plus que les onze premiers mois de 2016, l’année la plus chaude jusqu’à maintenant.
Après un mois de novembre "extraordinaire", 2023 sera l’année la plus chaude jamais enregistrée dans l’histoire, a annoncé mercredi le service européen Copernicus.
Novembre, avec une moyenne de 14,22 °C à la surface du globe, dépasse de 0,32 °C le record précédent de novembre 2020. L’automne boréal (septembre à novembre dans l’hémisphère nord) est ainsi le plus chaud de l’histoire, avec 15,30 °C.
L’année 2023 sera la plus chaude de l’histoire après un mois de novembre “extraordinaire” qui est devenu le sixième mois consécutif à battre des records, a déclaré mercredi le service européen Copernicus en pleines négociations climatiques à la COP28.
A l'issue de chaque mois, le service européen sur le changement climatique Copernicus fournit les données sur les températures moyennes globales. Une référence pour les observateurs scientifiques du réchauffement de la planète. Pour ces mesures, Copernicus utilise notamment des données générées par les satellites. Depuis l’été 2023, l’analyse se répète : les mois les plus chauds jamais observés se succèdent. Novembre 2023 n’échappe pas à cette série. Encore une fois un record, celui du mois de novembre le plus chaud (globalement). 1,75° de plus en novembre 2023 qu'entre 1850 et 1900
Alors que la Cop28 bat son plein, de tristes records ont été annoncés ce mercredi.
Avec +1.092°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de novembre 2023 poursuit la série des records de chaleur. Le précédent record de 2020 (+0.775°C) est dépassé de 0.32°C. L’année 2023 sera la plus chaude jamais observée et le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle devrait être atteint sur la moyenne annuelle.
Après une vague de chaleur tardive en août et un automne de tous les records, l’année 2023 devrait être la deuxième plus chaude mesurée en France, juste derrière 2022, annonce Météo France ce jeudi 30 novembre.
L’année 2023 devrait par ailleurs se classer au deuxième rang des années les plus chaudes dans l’Hexagone avec une température moyenne de 14,2 °C, selon le bilan climatique de l’agence météorologique.
La chaleur extrême qui a touché l’île de l’Océan indien au cours du mois d’octobre n’aurait pas été possible sans le changement climatique, directement causé par l’activité humaine, explique une étude publiée ce 23 novembre par le WWA.
L’observatoire européen Copernicus a annoncé lundi 20 novembre que la température mondiale de la journée de vendredi avait été supérieure de plus de 2 °C à celle de la moyenne saisonnière à l’ère préindustrielle. Ce record représente le premier dépassement de la limite haute prévue par l’Accord de Paris en 2015.
Pour la première fois, la température moyenne mondiale a été vendredi plus de 2°C supérieure à celle de la moyenne saisonnière à l'ère pré-industrielle, soit au-dessus sur une journée de la limite haute de l'accord de Paris, a annoncé l'observatoire européen Copernicus.Selon des données provisoires, les températures mondiales ont été, le 17 novembre, 2,06°C au dessus de la moyenne de 1850 à 1900, a indiqué sur X (ex-Twitter) Samantha Burgess, cheffe adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus.
La journée de vendredi a vu la température moyenne mondiale dépasser de 2,06°C celle de la moyenne saisonnière à l'ère pré-industrielle, dépassant la limite fixée par l'accord de Paris en 2015. Les mois de juin à octobre avaient déjà été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde.
En dépassant pour la première fois de 2°C la moyenne 1850-1900, la température moyenne de la Terre vient de battre un nouveau record.
+2 °C en moyenne par rapport à l’ère préindustrielle. Le 17 novembre, la température mondiale a franchi ce seuil symbolique qui représente l’objectif officiel à ne pas dépasser défendu lors des COP sur le climat.
La température moyenne mondiale a atteint un record, le 17 novembre, rapporte la presse américaine. Un signe particulièrement inquiétant pour l’avenir de l’humanité.
Pour la première fois, la température moyenne mondiale a été vendredi plus de 2°C supérieure à celle de la moyenne saisonnière à l'ère pré-industrielle, soit au-dessus sur une journée de la limite haute de l'accord de Paris, a annoncé l'observatoire européen Copernicus.Les températures mondiales ont été, le 17 novembre, 2,07°C au dessus de la moyenne de 1850 à 1900, a indiqué lundi sur X (ex-Twitter) le service changement climatique (C3S) de Copernicus.
Un nouveau record de chaleur a été battu mardi à Rio de Janeiro avec 58,5 °C de température ressentie dans la mégapole brésilienne, ont annoncé les autorités.Une grande partie du Brésil connaît depuis ce week-end une vague de canicule extrême. L'Institut national de météorologie (Inmet) a placé 15 Etats du sud-est, du centre-ouest et d'une partie du nord du pays, ainsi que la capitale, Brasilia, en alerte maximale.
Alors que Brasília a enregistré 37,3 °C mardi 14 novembre, un record pour un mois de novembre, les températures élevées dans tout le pays ont également généré un pic de consommation d’électricité sans précédent.
Une grande partie du Brésil connaît depuis ce week-end une vague de canicule extrême. L’Institut national de météorologie (Inmet) a placé 15 États du sud-est, du centre-ouest et d’une partie du nord du pays, ainsi que la capitale, Brasilia, en alerte maximale. Mardi, le système Alerta Rio a noté la "sensation thermique la plus élevée depuis le début des relevés" en 2014, à 58,5 °C.
Une grande partie du Brésil était plongé dans la canicule ce week-end, avec les températures les plus élevées de l'année à Rio de Janeiro et Sao Paulo, en plein milieu du printemps.
Une grande partie du Brésil était plongée dans la canicule ce week-end, avec les températures les plus élevées de l’année à Rio de Janeiro et Sao Paulo, en plein milieu du printemps. À Rio, les habitants se sont précipités vers le bord de mer pour se rafraîchir. Les plages iconiques d’Ipanema et Copacabana étaient tellement noires de monde qu’il était presque impossible de voir le sable, les paréos et les parasols occupant toute la place, jusqu’au bord de l’eau.
La Terre vient de vivre une période alarmante, marquée par les douze mois les plus chauds jamais enregistrés.
Réchauffement climatique oblige, les températures ne cessent d'augmenter. Le mois d'octobre aurait ainsi été le plus chaud jamais mesuré.
L’été caniculaire qui vient d’être vécu en 2023 autour du bassin méditerranéen est-il la préfiguration de ce qui risque de devenir une situation normale pour les années à venir, voire annonce-t-il une situation bien pire ?
Depuis janvier, la température moyenne sur Terre est la plus chaude jamais mesurée les dix premiers mois de l’année et chaque mois depuis juin a battu un record mensuel, ce qui fait dire aux experts que « l’année 2023 sera l’année la plus chaude dans les annales ».
Ce mercredi 8 novembre, le service européen sur le changement climatique Copernicus fait le bilan d’un mois d’octobre marqué par de fortes anomalies de température, dans la lignée des mois précédents.
Avec +1.09°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’octobre 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.69°C) est dépassé de 0.4°C. L’année 2023 sera sans aucun doute la plus chaude jamais observée.
Après un mois de septembre aux températures record, l'année 2023 sera avec quasi-certitude la plus chaude jamais enregistrée, selon un rapport publié vendredi par l'agence américaine de référence.
Earth just had the hottest September on record – and by a record-breaking margin, according to leading international datasets which are used by the World Meteorological Organization (WMO) for its State of the Global Climate monitoring reports.
Le mois de septembre 2023 a été plus chaud de 1,75 °C par rapport à un mois de septembre préindustriel, révèle l’observatoire européen Copernicus ce jeudi 5 septembre. L’année 2023 est en passe d’être la plus chaude jamais enregistrée.
Avec +1.128°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de septembre 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2020 (+0.63°C) est dépassé de 0.5°C. A trois mois…
L’Hexagone va vivre une deuxième période de chaleur exceptionnelle pour octobre, à partir de ce week-end. Christine Berne, de Météo France, explique que la hausse de la fréquence de ces épisodes automnaux peut avoir de graves conséquences.
Des records de températures sont prévus, lundi 2 octobre en France, au lendemain d'une chaleur déjà inédite pour un mois d'octobre, avec 32 à 34 degrés attendus dans le centre et le sud-ouest, et jusqu'à 36 dans le Béarn, prévient Météo-France.
Alors qu’un épisode de chaleur exceptionnellement tardif sévit dans l’Hexagone ce lundi 2 octobre, les températures ont été particulièrement élevées dans le Sud-Ouest, où les 35 °C ont été dépassés.
Après un mois de septembre déjà historiquement chaud, la France débute octobre par un épisode de chaleur "exceptionnel" selon Météo-France avec, dimanche et lundi, des températures inédites pour ce mois d'automne.
Le mois de septembre a été le plus chaud depuis le début des relevés en Belgique, en 1833, avec plusieurs records de température battus, a annoncé dimanche l'Institut royal météorologique (IRM), soulignant aussi qu'il a été "particulièrement ensoleillé", avec peu de journées de précipitations.
Des records de température, avec des pics à 35 °C, sont attendus en ce début de mois d’octobre. Des chaleurs automnales amenées à se répéter, explique Tristan Amm, de Météo-France.
D’après l’institut météorologique, les températures mensuelles n’ont jamais été aussi élevées pour un mois de septembre qu’en 2023.
L'été sans fin ? Avec un mois de septembre devenu très largement le plus chaud jamais mesuré en France, Allemagne, Pologne ou encore en Suisse, l'année 2023 continue d'aligner les records en Europe comme dans le reste du monde sous l'effet du réchauffement climatique.
Après un été de chaos climatique, le mois de septembre 2023 sera le plus chaud jamais enregistré en France.
A peine le printemps installé, les Australiens se préparent à des températures 10 à 15 degrés au-dessus des normales saisonnières au cours des jours prochains.
Pour la troisième fois cette semaine, un nouveau record quotidien de chaleur a été enregistré. Le thermomètre a affiché 31,7 degrés à Uccle samedi, indique le météorologue David Dehenauw sur X, anciennement Twitter.
Jamais une vigilance orange à la canicule (le niveau 3 sur 4) n'avait encore été déclenchée en septembre. C'est désormais chose faite. 14 départements de l'Île-de-France et du Centre-Val-de-Loire sont concernés avec des températures qui devraient encore battre des records. Novethic fait le point sur les mesures mises en place.
Parce qu’il absorbe énormément de chaleur et parce qu’il est un puits de carbone, l’océan a un rôle central. Quelles sont les conséquences des canicules marines actuelles ? Réponses avec Laurent Bopp, océanographe.
"L'effondrement climatique a commencé", a déploré le chef de l'ONU António Guterres, dans un communiqué.
L'été (juin-juillet-août) a connu les températures mondiales moyennes les plus élevées jamais mesurées, annonce mercredi l'observatoire européen Copernicus, pour qui 2023 sera probablement l'année la plus chaude de l'Histoire. "L'effondrement climatique a commencé", a déploré le secrétaire général de l'ONU António Guterres, dans un communiqué.
"L'effondrement climatique a commencé", a déploré le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, dans un communiqué en réaction à l'annonce du record mondial de températures pendant l'été de l'hémisphère nord par l'observatoire européen Copernicus.
Avec +0.886°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d‘août 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2016 (+0.577°C) est dépassé de 0.31°C. L’année 2023 est partie pour être l’année la plus chaude jamais observée.
On a relevé 30,1 degrés à Uccle ce mercredi, ce qui constitue un nouveau record journalier.
Bonn and Geneva, 6 September 2023 (ECMWF and WMO) - Earth just had its hottest three months on record, according to the European Union-funded Copernicus Climate Change Service (C3S) implemented by ECMWF. Global sea surface temperatures are at unprecedented highs for the third consecutive month and Antarctic sea ice extent remains at a record low for the time of year.
Aucun rafraîchissement n'est attendu avant dimanche.
L'été météorologique est terminé mais une chaleur inhabituelle englobe une grande partie de la France cette semaine, du jamais-vu. Près de 39 °C ont été enregistrés dans la Vienne lundi et des pointes à 35 ou 36 °C sont encore attendues mardi dans le centre et le sud-ouest du pays.
Alors qu’une vague de chaleur s’installe dans l’Hexagone cette semaine, lundi 4 septembre 2023 a été la journée la plus chaude observée pour un mois de septembre avec une température moyenne de 25,1 °C.
Il va encore faire très chaud cette semaine en France. Un nouvel épisode de chaleur tardive s'abat sur le pays, battant déjà plusieurs records. Il pourrait aussi être inédit par sa durée et son intensité. Il vient clôturer - on l'espère - une saison estivale marquée une nouvelle fois par le changement climatique.
L'été météorologique, qui s'étend de juin à août, a été plus chaud et plus humide que la moyenne de ces 30 dernières années, ressort-il vendredi du bilan saisonnier de l'Institut royal météorologique.
Les huit jours de chaleur survenus en France après la mi-août ont battu des records de la température moyenne pour cette période de l’année.
La journée de jeudi a été la plus chaude enregistrée après un 15 août en France, avec 27,8°C, battant pour le 4e jour d’affilée le record pour cette période de l’année, a annoncé Météo-France vendredi 25 août.
Les températures ont encore atteint des sommets dans certains pays d'Europe.
La journée de mercredi a été la plus chaude enregistrée après un 15 août en France, avec un indicateur thermique national de 27,5°C, battant les records pour cette période de l'année établis les deux jours précédents, a annoncé Météo-France à l'AFP jeudi.
Le mercure a grimpé jusqu'à 38 degrés jeudi midi à Genève. Il s'agit de la température la plus élevée jamais enregistrée en Suisse cette année, selon le service météorologique privé Meteonews.
Mercredi 23 août, la température a pulvérisé de nouveaux records en France. 43,2 °C à Carcassonne, 42,4 °C à Toulouse-Blagnac, 42,3 °C à Auch ou Albi, a relevé Météo-France. D’après l’association Infoclimat, « plus de 100 records absolus [ont été] battus ». Ses experts ont dénombré 200 stations au-dessus de 40 °C. Dans certaines stations de classe 4 (un emplacement peu idéal pour Météo-France), les 44 °C ont même été dépassés : à Salindres dans le Gard et à Siran dans l’Hérault.
A peine établi, le record de chaleur pour une fin d'été est déjà battu: mardi a été la journée la plus chaude jamais enregistrée en France après un 15 août, a annoncé Météo-France mercredi matin, alors que le pic de la vague de chaleur n'est pas encore atteint.di.
Des températures comprises entre 39 et 42 °C sont prévues dans les départements sur une diagonale allant du Gers jusqu’à l’Ain. Un épisode caniculaire qualifié par Météo-France d’« intense » et de « durable », voire d’« exceptionnel » dans certaines localités.
Pendant que l’Hexagone étouffe sous une canicule tardive, un nouveau record de température a été relevé lundi 21 août, jour le plus chaud jamais enregistré en fin d’été.
Dans la nuit du 20 au 21 août, dans les Alpes, il fallait monter jusqu’à 5 298 mètres — soit au-dessus des plus hauts sommets — pour obtenir 0 °C au thermomètre. Il s’agit d’un record selon MétéoSuisse, dont la station de sondage de Payerne collecte cette donnée atmosphérique depuis 1954. Le précédent record datait du 25 juillet 2022 avec 5 184 mètres. Plus concrètement, cela signifie que le point culminant du mont Blanc a enregistré des températures positives, avec un possible léger dégel.
Le niveau maximal de vigilance pourrait être porté dans la Drôme et l’Ardèche, voire le Vaucluse et le Gard, dans la journée de lundi, avertit Météo-France.
En raison de son influence très importante sur le développement de la végétation, la limite des chutes de neige et le cycle de l’eau, l’isotherme du zéro degré joue un rôle important dans la vie quotidienne de la région alpine.
Un alignement rare de phénomènes aussi divers que l'activité solaire, les gaz à effet de serre et El Niño, pourrait donner des températures records et mettre en péril l'équilibre climatique de notre planète.
Depuis mardi soir, les habitants des Canaries sont confrontés à un incendie monstre qui a déjà ravagé plus de 3 200 hectares sur l'île espagnole de Tenerife. C'est le feu "probablement le plus compliqué" des dernières décennies survenu sur l'archipel, a indiqué le président du gouvernement régional.
Le mercure semble s’affoler dans les thermomètres en cette fin de mois d’août. Interrogé sur La Première, Pascal Mormal, météorologue à l’IRM, confirme qu’on "sera 5 à 6 degrés au-dessus des normales de saison. Une vague de chaleur répond à des critères précis : il faut au moins cinq jours consécutifs durant lesquels il y a une température d’au moins 25 degrés, et dans cette séquence il faut au moins trois journées durant lesquels on atteint ou dépasse les 30 degrés. A priori ces critères ne seront pas rencontrés. Mais on peut parler d’un pic de chaleur. Nous allons échapper au pire grâce à l’influence océanique qui va tempérer" l’atmosphère ces vendredi et samedi. Cela restera en Belgique plus supportable maintenant que si cela se passait en juillet : "Le soleil est moins haut dans le ciel et les nuits sont sensiblement plus longues, ce qui permet d’atténuer en partie les grosses chaleurs".
Avec +0.892°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2023 avait été de loin le plus chaud des archives ERA5. Ce début août est parti sur les mêmes bases, avec une anomalie sur les 11…
Les scientifiques américains s’attendent à une année 2024 encore plus chaude, en partie à cause du phénomène cyclique El Niño, qui réchauffe la surface des océans et qui accentue le réchauffement climatique dû aux activités humaines.
Pour la première fois de l’histoire du pays, le thermomètre a dépassé la barre des 50°C. Un événement qui deviendra «commun» d’ici la fin du siècle à cause du changement climatique.
Si le mois de juillet 2023 a battu des records en termes de températures «enregistrées», notre planète a déjà connu des périodes très chaudes par le passé. Mais il faut probablement remonter… 125 000 ans en arrière pour en trouver trace.
L’année 2023 n’a peut-être pas fini de battre des records. « On s’attend à une fin d’année relativement chaude pour 2023 en raison du développement du phénomène El Niño », rappelle le service européen Copernicus.
Des records aux "conséquences désastreuses" pour le monde: juillet 2023 a bien été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre, a confirmé mardi le service européen Copernicus, détaillant des données qui affolent tous les compteurs.
Wim Thiery (VUB) a averti mardi que les extrêmes climatiques actuels ne sont "qu'un avant-goût de ce qui deviendra normal à l'avenir".
Plusieurs milliers d’hectares ont notamment brûlé ces derniers jours dans la région de l’Algarve, où le feu n’était toujours pas stabilisé mardi. L’Espagne est également en alerte.
C'est une "canicule d'hiver". En Argentine, au Chili ou encore au Paraguay, le mercure atteint des records depuis plusieurs semaines, dépassant dans certaines localités les 39°C. Des températures particulièrement extrêmes pour la saison hivernale qui sont liées à la crise climatique et au phénomène El Niño, mettant en danger les ressources en eau de ces régions.
Canicules En été 2022 l’Europe a subi des canicules sans précédent. L’Espagne et la France ont connu des températures exceptionnelles, les 40°C ont été dépassés en Espagne dès juin, et juille…
Avec +0.892°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.563°C) est dépassé de 0.33°C. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Elles sont produites par assimilation de données, un processus qui repose à la fois sur des observations et des modèles utilisant les lois de la physique et les observations passées. Les données sont actualisées de manière journalière, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol.
Bahreïn a enregistré la plus forte consommation d'électricité "de son histoire" avec des records de chaleur de 46 degrés Celsius prévus vendredi, selon les autorités.La région du Golfe, déjà l'une des plus chaude du monde, n'échappe pas à la vague chaleur mondiale, en partie liée au changement climatique selon les experts, Bahreïn et ses un million et demi d'habitants subissant des températures et une humidité particulièrement fortes.
L’Amérique latine bout, en plein hiver austral. Le Chili et l’Argentine ont enregistré, début août, des records de chaleur de chaleur, rapporte Sciences et Avenir. Dans les Andes, des températures de 30 à 35 °C ont été relevées entre 1 000 et 1 400 mètres d’altitude, relève Futura Sciences. À Vicuña, au Chili, le thermomètre a atteint les 37 °C le 1ᵉʳ août. Du jamais vu depuis 1951. Plus au sud, à Santiago, le mercure a atteint 24 °C le 2 août.
Ces données concernent les océans entre les 60e parallèles nord et sud, excluant donc uniquement les régions polaires.
Une température de 38 °C dans une baie au sud de Miami, des coraux à l’agonie... Les océans ont battu cette semaine un nouveau record mondial de température, a indiqué vendredi l'organisme européen Copernicus. Ces canicules marines de plus en plus fréquentes ont des conséquences catastrophiques pour la biodiversité.
Sous l’influence dune vague de chaleur marine inédite, les océans ont battu un nouveau record de température ce vendredi 4 août, laissant craindre des conséquences néfastes pour la vie marine et les équilibres climatiques.
Winter temperatures have neared 40 degrees Celsius in parts of South America, which is up to 20C higher than normal for this time of year and the equivalent of Sydney hitting 35C in the first week of August.
Pour la première fois, tous mois confondus, la température moyenne de juillet 2023 a atteint les 17°C à la surface de la planète. Un rappel inédit de notre vulnérabilité, selon le climatologue Christophe Cassou, qui met en avant les conséquences des fortes chaleurs sur les écosystèmes.
It’s the middle of winter in South America, but that hasn’t kept the heat away in Chile, Argentina and surrounding locations. Multiple spells of oddly hot weather have roasted the region in recent weeks. The latest spell early this week has become the most intense, pushing the mercury above 100 degrees Fahrenheit, while setting an August record for Chile.
The baby boomer dream of tanning on the beach is fading as temperatures rise. We are going to have to reinvent July and August.
L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique a annoncé vendredi 28 juillet un nouveau pic de chaleur. S’il dépasse légèrement le précédent record, il est surtout beaucoup plus précoce dans l’année.
Après trois semaines de canicules qui ont frappé un grand nombre de régions du monde, l'Autorité météorologique des Nations unies a indiqué, jeudi, que le mois de juillet de 2023 sera "très clairement le mois le plus chaud jamais mesuré" sur la planète.
La vague de chaleur qui traverse l’hémisphère Nord n’épargne pas les Etats-Unis, où plus de 1 500 records de chaleur ont été enregistrés en juillet. En Arizona, la température extrême du sol entraîne un pic de cas de brûlures.
Juillet 2023 est le mois le plus chaud jamais enregistré, soulignant l'urgence climatique et appelant à une action immédiate pour atténuer le réchauffement global.
Ce record est particulièrement frappant car il survient tôt dans l'année.
Les eaux de l’Atlantique Nord ont atteint mercredi 26 juillet une température moyenne encore jamais mesurée jusqu’ici, soit 24,9 °C selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA). La température de surface de l’Atlantique Nord doit continuer à augmenter au cours du mois d’août.
La région, où vivent plus de 500 millions d’habitants, est en proie à la fournaise et aux incendies depuis des semaines. Elle fait partie des zones qui se réchauffent plus vite que la moyenne mondiale.
C'est officiel. Ce mois de juillet 2023 sera le plus chaud de toute l'histoire. Une très large partie de l’hémisphère Nord suffoque sous des chaleurs extrêmes, les océans surchauffent et la banquise antarctique peine à se reconstituer malgré l’arrivée de l’hiver… Voici cinq graphiques pour revivre ce mois de juillet hors normes.
Quelques dixièmes de degrés supplémentaires chaque année. Depuis le début des années 2000, les scientifiques observent des hausses de températures dans les océans. La mer Méditerranée, véritable plaine de jeux des océanographes, n’y échappe pas. Ce lundi 24 juillet, ses eaux ont enregistré leur plus haute température journalière connue : 28,71 degrés. C’est ce qu’ont annoncé les chercheurs de l’Institut des sciences de la mer (ICM) de Barcelone, analysant des données satellitaires de l’observatoire européen Copernicus.
L’observatoire européen du changement climatique Copernicus publie de nouvelles données qui confirment l’envol des températures sur une large partie de la planète depuis trois semaines. Une alerte également portée par l’ONU.
Cet été, les incendies sont favorisés par une sécheresse et des températures parfois extrêmes. En Grèce, en Italie et en Espagne, la barre des 45°C a plusieurs fois été franchie ces derniers jours. Quel est le lien entre ces canicules et le réchauffement climatique ? Une nouvelle étude démontre les conséquences du bouleversement du climat.
Les feux depuis le début de l’année en France, Espagne, Grèce et Italie font exploser la surface totale de terres brûlées par rapport aux moyennes habituelles.
Les statisticiens peinent à prédire les records spectaculaires de chaleur. Une difficulté qui aggrave le manque de réactivité face aux canicules.
According to ERA5 data from the EU-funded Copernicus Climate Change Service (C3S), the first three weeks of July have been the warmest three-week period on record and the month is on track to be the hottest July and the hottest month on record. These temperatures have been related to heatwaves in large parts of North America, Asia and Europe, which along with wildfires in countries including Canada and Greece, have had major impacts on people’s health, the environment and economies.
Following a record hot June, large areas of the US and Mexico, Southern Europe and China experienced extreme heat in July 2023, breaking many local high temperature records.
Les eaux de la mer Méditerranée ont connu lundi leur plus haute température journalière connue, a annoncé mardi à l'AFP le principal centre de recherches maritimes espagnol, en pleine canicule exceptionnelle sur une large partie du bassin méditerranéen, l'un des "points chauds" du réchauffement climatique.
La grande île italienne a enregistré, ce lundi 24 juillet, une température de 47,6 °C. Les pompiers siciliens luttent depuis des jours contre plusieurs incendies, dont l’un fait rage tout près de la capitale Palerme.
La canicule a privé d'électricité et d'eau des centaines de milliers de Siciliens dans la région de Catane, ville "à genoux" selon son maire, où une réunion de crise a été organisée lundi. Le mercure y est encore monté jusqu'à 47,6°C ce lundi, selon la protection civile de Catane, dans l'est de l'île. Depuis jeudi, environ 500.000 personnes ont été privées de courant à tour de rôle, a indiqué un porte-parole de la municipalité à l'AFP.
La Grèce se trouve en “vigilance absolue” pour canicule samedi avec des températures attendues au-dessus de 44°C ce week-end, pendant que la vague de chaleur record frappant le sud des États-Unis risque de progresser à travers le pays.
Du Texas à l’Arizona, il y a des alertes aux températures élevées sans discontinuer aux Etats-Unis depuis 38 jours. Les hôpitaux parlent de dizaines de décès liés à la chaleur.
Du Texas à l’Arizona, il y a des alertes aux températures élevées sans discontinuer aux Etats-Unis depuis 38 jours. Les hôpitaux parlent de dizaines de décès liés à la chaleur.
La Grèce se trouve en "vigilance absolue" pour canicule samedi avec des températures attendues au-dessus de 44 °C ce week-end, alors qu'un renforcement des vents attise plusieurs incendies autour de sa capitale. La Grèce vit "probablement" le plus long épisode de canicule jamais enregistré dans son histoire.
Juillet 2023 sera probablement le mois le plus chaud jamais enregistré, a annoncé jeudi la Nasa, l'agence aéronautique américaine. De nombreux records de chaleur ont déjà été battus ce mois-ci.
Selon un groupe universitaire étasunien, la courbe de la température de la planète dépasse largement la moyenne des quarante dernières années. Un résultat cohérent avec les données de l’observatoire européen Copernicus.
Les canicules marines et terrestres feront sans doute de ce mois de juillet, le plus chaud depuis plusieurs centaines, voire milliers d’années. Et les scientifiques nous préparent déjà à une année 2024 encore plus suffocante.
Le brûlantissime mois de juillet fait rôtir la planète entière. Morts, forêts ravagées et nuits super tropicales sont les conséquences de la chaleur caniculaire qui s’étend dans l’hémisphère Nord.
Ce weekend en Grèce "risque d'être le plus chaud de ces cinquante dernières années" pour un mois de juillet, a affirmé, vendredi, un météorologue de la chaîne publique. Le pays subit une canicule qui devrait se prolonger la semaine prochaine, tout en faisant face à quelque 79 incendies encore actifs.
L’épisode caniculaire persistera dans le sud de la France mercredi, avec neuf départements placés en vigilance orange par Météo-France.
Des Alpes aux Pyrénées, le thermomètre s'affole chez nos voisins.
Dans l’hémisphère nord, des records de température sont atteints. La faute à des dômes de chaleur, boostés par l’influence humaine et dont la fréquence risque de s’intensifier.
L'Europe, l'Asie et l'Amérique du Nord souffrent encore d'une chaleur extrême mercredi dans plusieurs régions où de violents feux de forêt font rage notamment en Grèce où des centaines de pompiers ont engagé "une énorme bataille" contre les flammes.
Un «dôme de chaleur» associé à une masse d’air très chaud s'est bloqué cette semaine au-dessus du Maghreb, de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal, de la Croatie, de la Grèce et du sud est de la France. Les littoraux comme la mer sont en surchauffe.
La capitale de l’Arizona a connu un 19e jour consécutif à plus de 43,3 degrés Celsius.
Selon le service européen Copernicus, les quinze premiers jours de juillet ont été les quinze jours les plus chauds jamais enregistrés. Pour établir un record, il faut être sûr de l’historique, or ce dernier est débattu…
Les températures devraient atteindre des niveaux records en Italie dans les prochaines heures. 20 villes, de Bolzano au pied des Alpes jusqu’à Palerme en Sicile, en passant par Venise, Rome, Naples et Cagliari en Sardaigne sont placées en alerte rouge, une situation d’urgence pour ses possibles effets négatifs sur la santé.
Le mercure continue de tutoyer, voire dépasser, les 40°C dans plusieurs régions d'Europe et notamment en Grèce où plusieurs incendies se sont déclarés lundi entraînant l'évacuation de zones balnéaires, tandis qu'un nouveau record de température a été établi ce week-end dans l'ouest de la Chine à 52,2°C.
L'hémisphère Nord poursuit sa semaine sous une chaleur accablante. En Europe, les températures restent au-dessus des 40 °C en Italie et en Espagne et sept départements sont désormais en vigilance canicule en France. Plusieurs records devraient tomber aux États-Unis.
De nombreux pays d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Nord subiront une chaleur étouffante : plus de 40 °C en Italie, des régions d’Espagne à 15 °C au-dessus des normales, des records attendus aux Etats-Unis. En France, sept départements sont en vigilance orange.
Plusieurs régions espagnoles ont été placées mardi en alerte rouge en raison du "danger extrême" induit par la vague de chaleur, alors que les pompiers continuent de lutter contre un incendie ayant ravagé 3.500 hectares dans l'archipel des Canaries.
Un record de température pour une mi-juillet a été franchi en Chine dans la région du Xinjiang (ouest) avec 52,2°C enregistrés dimanche, selon la météorologie nationale, au moment où une partie du pays subit une vague de chaleur.
De l’Europe à la Chine en passant par les Etats-Unis, les températures ne cessent de s’envoler, contraignant les autorités à prendre des mesures drastiques pour faire face à ces vagues de chaleur et à de nouveaux incendies.
Europe, États-Unis, Canada, Chine, Japon... dans l'hémisphère nord, des millions de personnes sont confrontées depuis samedi, et encore dimanche, à un épisode de canicule, des intempéries exceptionnelles ainsi que des incendies.
Les températures dépassent les 40 degrés dans de nombreuses régions du territoire. Aux Canaries, l’île de La Palma est frappée par de violents feux de forêts.
Des températures potentiellement record sont attendues en Europe dans les prochains jours.
Les températures s’envolent un peu partout dans le monde ces 14 et 15 juillet après le plus chaud mois de juin que la Terre ait connu. A Athènes, l’Acropole a même été fermée aux heures de pointe pour la santé des touristes.
De fortes températures sont attendues ce week-end dans plusieurs régions du globe : en Europe, en Asie, aux États-Unis ou encore en Afrique du Nord. Ces vagues de chaleur font craindre des problèmes sanitaires sur les populations, mais aussi des incendies à répétition.
Plusieurs endroits du globe sont frappés par des vagues de chaleur importantes, ce qui accroit le risque d'incendie.
En ce début d’été, les événements extrêmes se déchaînent sur la planète, attisés par le changement climatique. Aux Etats-Unis, en Méditerranée ou encore en Chine, les canicules battent des records toujours plus remarquables.
D'intenses vagues de chaleur frappent de nombreuses régions du monde et des records pourraient être battus samedi et dimanche, notamment aux États-Unis. Des vagues de chaleur qui soulignent "l'urgence grandissante de réduire les émissions de gaz à effet de serre le plus vite possible et le plus possible", selon l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
Dans un tweet, la députée EELV Sandrine Rousseau a assuré qu’il faisait « 60 degrés en Espagne » , de quoi faire réagir plusieurs experts du climat.
Dans plusieurs régions du monde, des vagues de chaleur sont enregistrées, notamment dans l’hémisphère nord, alors que l’été ne fait que commencer
Un dôme de chaleur sévit depuis le début de la semaine au-dessus des Etats désertiques du Sud-Ouest, entraînant de sérieux risques pour la santé.
On attend 48 degrés en Sicile et en Sardaigne ce mercredi, soit les températures les plus chaudes jamais connues dans le Vieux Continent.
Comment les scientifiques prévoient le climat ? Comment mettent-ils à jour leurs modèles, en prenant en compte les mégafeux par exemple ? Quel est le rôle de l’océan ? Réponses avec le chercheur à Météo-France Roland Séférian.
De nouvelles données préliminaires confirment que la semaine dernière a été la plus chaude jamais enregistrée sur la planète, ce qui renforce la tendance établie le mois précédent. Juin 2023 avait en effet été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré. Nous devons ces records à l’installation d’un nouvel El Niño qui se renforcera progressivement au cours de l’hiver et aura probablement un gros impact climatique mondial au cours de l’année prochaine.
Les Nations unies affirment ce lundi 10 juillet que la première semaine du mois a été marquée par les températures les plus élevées jamais mesurées à l’échelle mondiale depuis le début des relevés.
La semaine du 3 au 9 juillet a été la semaine plus chaude jamais mesurée au niveau mondial, a annoncé lundi l'organisation météorologique de l'ONU, après que plusieurs records de températures journalières ont été battus.
Chaque jour, les services météorologiques lancent des alertes alors que les températures dépassent très souvent les 40 °C. Depuis plusieurs semaines, la Chine est en proie à une canicule sans précédent. La population tente de s’adapter.
Températures records, incendies, pluies extrêmes… Juin a été marqué par de nombreux signes du dérèglement climatique. Robert Vautard, directeur de recherche au CNRS, les analyse pour « Le HuffPost ».
Nouveau record de température ce jeudi…
La Terre a connu, entre le lundi 3 et le jeudi 6 juillet 2023, ses journées les plus chaudes jamais enregistrées par les météorologues. Si la température moyenne du globe inquiétait déjà en début de semaine lorsqu’elle avait atteint 17,01 °C, elle a battu tous les records quatre jours après avec 17,23 °C. Mais à quoi sont dues ces hausses qui n’en finissent plus ? Serge Zaka, agroclimatologue, nous aide à y voir plus clair.
Le mois dernier a été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, avec des températures anormalement élevées sur terre et en mer, a déclaré jeudi l'observatoire du changement climatique Copernicus de l'Union européenne.
C’est confirmé, la surchauffe des océans, sous l’effet du changement climatique et du retour du phénomène El Nino, a bien conduit à un record de la température moyenne mondiale pour un mois de juin, selon l’observatoire européen Copernicus.
Mercredi 5 juillet a été la journée la plus chaude à l’échelle mondiale, à égalité avec la veille, mardi 4 juillet, d’après le portail Climate Reanalyzer. Battant ainsi un record établi ... le lundi 3 juillet. Conséquence du réchauffement climatique, auquel il faut ajouter les premiers effets d’El Niño.
La température journalière au niveau mondial atteint un niveau de chaleur inédit depuis le début des relevés, en 1979, selon des mesures préliminaires issues d’un observatoire météorologique américain.
Mardi 4 juillet fut la journée la plus chaude jamais enregistrée au niveau mondial, battant le précédent record qui datait de... la veille.
La température moyenne relevée à 2 mètres au-dessus de la surface du globe était de 17,18 °C le mardi 4 juillet 2023. C’est la plus élevée jamais enregistrée.
Avec +0.706°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juin 2023 est le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.542°C) est largement battu alors qu’El Niño émerge à…
La planète a connu lundi son record de température journalière, dépassant pour la première fois la barre des 17°C de moyenne, selon des mesures mardi d'un organisme météorologique américain. Le précédent record journalier date du 24 juillet 2022.
Selon Météo France, le territoire national a connu des températures très douces au cours du mois de juin. La chaleur a été particulièrement marquée dans la moitié, tandis que le Sud a subi d’importants épisodes orageux.
Le chef de l’IRM David Dehenauw a annoncé sur Twitter que juin 2023 serait le mois le plus chaud en Belgique depuis le début des recensements en 1833.
Le mois de juin qui se termine vendredi sera le mois de juin le plus chaud jamais enregistré à Uccle depuis 1833, a indiqué mercredi David Dehenauw, météorologue à l'IRM, sur Twitter.
La canicule qui sévit dans l’Atlantique Nord pourrait avoir de graves conséquences sur la biodiversité. Des moules aux poissons en passant par les herbiers, la nature est exposée à ces phénomènes qui se multiplient.
Le 20 juin 2023 a été marqué par une chaleur exceptionnelle sur l’île de Corse, précisément dans la ville de Sartène, où le mercure a atteint des sommets inégalés. En effet, à la mi-journée, …
40°C dans l'Hérault en France, 39,4°C à Pekin en Chine, 49,8°C à Zabol en Iran... Partout dans le monde, le mercure s'affole. Les stations météo enregistrent des températures records. Cette situation inédite pour un mois de juin, signe de l'emballement climatique, fait déjà souffrir les habitants des villes comme des campagnes.
L’été n’est attendu que dans quelques jours sous nos latitudes et pourtant, les températures dépassent déjà les valeurs de saison, comme le confirmait il y a quelques jours Pascal Mormal, météorologue à l’IRM (Institut royal de météorologie) dans l’émission QR. Et cela n’a rien de normal, ajoutait-il. En Europe, au sud par exemple, il fait aussi très chaud, en France, au Portugal, sans oublier le sud de l’Espagne où ce vendredi on a enregistré 39.9 °C à Almonte.
"Chaque fraction de degré compte pour éviter des conséquences encore plus graves de la crise climatique", souligne Samantha Burgess du service européen Copernicus sur le changement climatique face à ce triste record.
Alors que les incendies ravagent toujours une partie des forêts canadiennes, la Sibérie, cette région du nord-est de la Russie, suffoque quant à elle sous des chaleurs inédites. Début juin, le mercure a dépassé plusieurs fois les 40°C. Une mauvaise nouvelle pour la planète, mais une aubaine pour la Russie.
Mexico and the Caribbean are experiencing the most intense heatwave in their recorded history. The Mexican Plateau is being seared by harsh dry heat, while the Caribbean contends with deadly humid temperatures. On June 12, 2023, the mercury soared above 45 °C (113 °F) in several areas, including regions of high altitude. The city of Torreón, sitting at 1 123 m (3 684 feet) above sea level, saw temperatures rise to 43.3 °C (109.94 °F) on June 12, while Durango Airport, located at 1 872 m (6 142 feet) altitude, experienced 40.4 °C (104.72 °F) heat. La Bufa, perched even higher at 2 612 m (8 570 feet) above sea level, broke all-time records with a temperature of 33.4 °C (92.12 °F).
Une vague de chaleur climatique nationale est désignée selon des critères bien précis. D’abord il faut 5 jours consécutifs avec au moins 25 °C dans la station d’Uccle (la station de référence en Belgique) parmi lesquels le seuil des 30°C est atteint durant au moins trois jours. En effet, depuis jeudi 8 juin, la température dans la station d’Uccle est égale ou supérieure à 25 °C, les 30 °C ont été atteints et même dépassés samedi 10, dimanche 11 et à présent ce lundi 12 juin avec une température de 30,06°C relevée à 17 heures 30.
Depuis quelques jours, la température moyenne mondiale marque un pic soudain. Ses conséquences sont un avant-goût d'un réchauffement à +1,5°C qui sera largement dépassé si les tendances actuelles se poursuivent. De quoi souligner à nouveau l'urgence de prendre nos affaires en main et de refuser l'avenir de catastrophes que nous promettent les États et le patronat.
Le phénomène météorologique El Nino, généralement associé à une augmentation des températures, a officiellement commencé et devrait "se renforcer graduellement" dans les mois qui viennent, a déclaré jeudi l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA).
La surface des océans vient de connaître son mois de mai le plus chaud jamais enregistré, a indiqué mercredi le service européen Copernicus, après un mois d'avril record.
Notre planète va devenir une fournaise. Selon un nouveau bulletin publié par l’Organisation météorologique mondiale (OMM), les températures mondiales devraient battre des records ces cinq prochaines années.
Enregistrée dans une station météorologique du nord du pays, cette température maximale bat le précédent record de 43,4 °C enregistré en avril 2019.
Le gouvernement espagnol a été obligé de défendre ce vendredi 5 mai l’agence météorologique nationale, remise en cause alors que le pays fait face à des températures anormalement élevées.
Le phénomène météorologique El Nino a de fortes probabilités de se former cette année et pourrait faire grimper les températures jusqu’à battre de nouveaux records de chaleur, a mis en garde l’ONU mercredi. L’Organisation météorologique mondiale (OMM) estime désormais qu’il y avait 60% de chances qu’El Nino se développe d’ici la fin juillet et 80% de chances d’ici la fin septembre. « Cela modifiera les conditions météorologiques et climatiques dans le monde entier », a expliqué le chef de la division des services régionaux de prévision climatique de l’OMM, Wilfran Moufouma Okia, en conférence de presse à Genève.
La surface des mers a battu en avril son record annuel et se maintient depuis à des niveaux inédits: le phénomène, alarmant mais sans surprise pour les scientifiques, illustre surtout comment les activités humaines ont transformé les océans en "bombe à retardement" du réchauffement climatique.
L’Organisation météorologique mondiale estime à 60 % les chances qu’El Niño se développe d’ici la fin juillet et 80 % de chances d’ici la fin septembre. Le phénomène accroît le risque d’évènements climatiques extrêmes.
El Niño pourrait être de retour pour nous jouer de mauvais tours. C’est en tout cas ce qu’a prévu l’Organisation météorologique mondiale (OMM), mercredi 3 mai. Selon l’agence onusienne, la probabilité que ce phénomène météorologique se développe d’ici fin juillet est de 60 %, et même de 80 % d’ici fin septembre.
Les climatologues ont peur de ce qu’ils ont découvert ces derniers jours. La température des océans a atteint un nouveau record. Les côtes de l’Amérique du Nord sont baignées d’une eau inhabituellement chaude, 13.8 degrés Celsius plus que la moyenne. Les températures élevées du Pacifique équatorial Est annoncent une année El Niño, mais d’autres océans subissent aussi [...]
Une température de 38,8 °C a été enregistrée jeudi 27 avril à Cordoue, en Espagne, battant ainsi le précédent record européen pour un mois d’avril.
La ville de Cordoue a enregistré 38,7°C ce jeudi après-midi. L’Espagne pulvérise ainsi le record européen de la température maximale enregistrée en avril.
En proie à une vague de chaleur printanière inédite, l'Espagne, pays européen en première ligne face au changement climatique, s'attend à des records de températures jeudi et vendredi en particulier dans le sud où le thermomètre pourrait atteindre les 37 degrés.
Une vague de chaleur exceptionnelle doit s’installer sur le pays ces prochains jours, et pourrait pousser les thermomètres jusqu’à 40 °C. Des températures encore jamais observées si tôt dans l’année.
Ce printemps est maussade en Europe centrale. Nous subissons encore les effets d'un réchauffement stratosphérique qui nous a envoyé de l'air froid, et continuera jusqu'à début mai. C'est un événement météorologique local et temporaire qui ne modifie pas le réchauffement global. En Asie par contre, la chaleur règne. Au Japon, les températures ont atteint des [...]
Une fonte record des glaciers, une nette hausse des températures, une forte sécheresse… l'année 2022 coche à peu près toutes les cases du réchauffement climatique.
L’été 2022 est le plus chaud jamais enregistré en Europe, l’année complète est la deuxième la plus chaude jamais...
En Chine, en Inde, au Bangladesh et en Asie du Sud-Est, des températures records ont été enregistrées durant ce mois d’avril 2023. Une vague de chaleur qui a causé des décès et qui pousse les climatologues à tirer la sonnette d’alarme.
Ce réchauffement a une influence majeure sur le climat, la météo, ainsi que sur les écosystèmes et la capacité des océans à absorber le carbone, alertent les scientifiques.
Début avril, les eaux de surface des océans ont enregistré la température record de 21,1 °C, révèle l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique. Du jamais-vu depuis le début des relevés en 1981.
Le changement climatique est une réalité et il nous affecte tous… mais pas de la même façon. Au Nord, l’Arctique se réchauffe environ quarante fois plus vite que le reste du monde. En Antarctique, la situation est également critique car la neige, en fondant, devient plus foncée. Par conséquent, elle réfléchit moins les rayons du soleil, absorbe davantage de chaleur (puisqu’elle est plus foncée) et fond plus vite, on dit donc que son albédo diminue.
Des chiffres anormaux. Dans un rapport publié le 6 mars, Météo France a dressé le bilan climatique de l’hiver 2023. Tout d’abord, l’établissement météorologique souligne que la saison qui s’achève a été marquée par des températures anormalement douces, dues à un anticyclone « plus puissant que la normale ». L’hiver 2023 se classe donc au quinzième rang des hivers les plus chauds depuis 1900 – l’hiver 2020 gardant la première place. « Les précipitations ont été déficitaires d’environ 25 % en moyenne sur le pays, (...)
Après le record de 2021, le contenu en chaleur des océans a atteint un niveau encore plus élevé en 2022. Plus de 90% de l’excès de chaleur dû au réchauffement climatique est absorbé par les océans,…
Pour la quatrième année consécutive, la chaleur emmagasinée par les océans atteint des niveaux jamais vus. Une preuve supplémentaire des changements majeurs à l’œuvre dans le système climatique de la planète.
Environ dix zettajoules de chaleur ont été ajouté l’an dernier dans les océans, ce qui équivaut à environ 100 fois la production d’électricité sur toute la planète en 2022.
Année record en France, deuxième année la plus chaude en Europe (après 2020), la cinquième au niveau mondiale… Pas de doute, 2022 restera dans les annales. Les différents services météorologiques de la planète dressent le bilan de l’année écoulée et le constat est sans appel. « 2022 s’inscrit dans la lignée des huit dernières années, qui sont les huit plus chaudes jamais enregistrées à l’échelle de la planète« , a expliqué lors d’une conférence de presse Carlo Buontempo, directeur du C3S lors de la présentation ce mardi 10 janvier 2023 d’un rapport du programme européen Copernicus.
L’année fait figure de bonne élève du changement climatique. Les douze derniers mois ont été marqués par les records de température, des épisodes de chaleur hors saison et une cascade d’événements extrêmes.
L'année 2022 a battu quantité de records en termes de températures, sécheresse du sol ou encore pénuries d’eau en France, a détaillé, vendredi, Météo-France.
L'agroclimatologue Serge Zaka s'inquiète : l'année 2022 s'est achevée comme la plus chaude depuis le début des mesures, avec un recul de plusieurs siècles pour certains pays. Dans la continuité, 2023 a commencé avec une douceur extrême, qui ne sera pas sans conséquences... 
Ce 4 janvier 2023, les températures ont été un peu plus proches des températures de saison. Pourtant, ce début...
Le jour de la St Sylvestre 2022 était le 31 décembre le plus doux jamais enregistré avec des maxima qui ont localement...
Jamais il n’avait fait aussi chaud un 31 décembre en France. La température moyenne a atteint 14,05°C, largement devant le précédent record pour un 31 établi en 2017 avec 10,95°C. Voici la li…

2022

L’année 2022 sera l’année la plus chaude jamais enregistrée au Royaume-Uni, selon les chiffres provisoires du Met Office. La France, l’Espagne et l’Allemagne connaissent éga…
L’Arctique, la région du globe la plus sensible au changement climatique fait parler d’elle dans un nouveau rapport de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA), l’équivalent américain de Météo France.
Le mois d'octobre 2022 a été le plus chaud jamais enregistré en Europe, a annoncé mardi le service européen sur le changement climatique Copernicus, dans le sillage d'un été record. Les températures moyennes ont été "près de 2°C au-dessus de la période de référence 1991-2020", a précisé dans un communiqué Copernicus.
En ouverture de la COP27, les Nations unies s’alarment de voir que la période 2015-2022 sera probablement la plus chaude jamais enregistrée, marquant une accélération du réchauffement de la planète.
La France connaît un nouvel épisode de chaleur remarquable en cette seconde moitié d’octobre. Le mois devrait se solder par l’anomalie la plus élevée depuis le début des relevés.
À 13h00, le mercure indiquait 22,2 degrés à Uccle, rapporte le site internet de l'Institut royal météorologique (IRM). Le précédent record datait de 1913, avec un thermomètre à 20,2 degrés, a confirmé le météorologue David Dehenauw sur son compte Twitter. Ces températures élevées pour la saison résultent "des courants du sud de la partie subtropicale de l'océan Atlantique et de l'Espagne", explique David Dehenauw. "Cet air chaud vient vers nous". Il y aura encore quelques jours assez chauds pour cette période de l'année, mais "à la fin des vacances d'automne, le mercure avoisinera à nouveau les 12 degrés", assure le météorologue.
Vingt-quatre degrés dans le centre du pays, et peut-être 25°C en Campine. C’est que l’institut royal météorologique prévoit pour ce samedi, le 29 octobre. Les températures devraient donc battre le record journalier, puisque le 29 octobre le plus chaud s’est produit en 2005 avec 22,0°C à Uccle. “On serait donc samedi 11°C au-dessus des normales des maxima de saison qui se situent à 13°C pour un 29 octobre.” Et aujourd’hui, il devrait faire 23°C à 15 heures en région bruxelloise. Le précédent record, datant de 1913, était de 21,1°C… “Pour dimanche et lundi, nous prévoyons encore des maxima extrêmement doux dimanche, de l’ordre de 21°C et en légère baisse lundi (environ 19°C)”, relève Pascal Mormal, de l’IRM.
Cette fin d’octobre est marquée par de nouveaux records mensuels de température, y compris en altitude, et des écarts à la normale phénoménaux. Cet épisode de chaleur anormal et inédit alimente une sécheresse toujours présente en France.
La Chine a enregistré son mois d'août le plus chaud depuis le début des relevés météorologiques en 1961, a annoncé mardi la télévision publique CCTV, après des semaines d'une canicule particulièrement longue dans le pays.
La Nouvelle-Zélande a connu son hiver le plus chaud et le plus humide depuis le début des relevés en 1909. Le record hivernal de chaleur est battu pour la troisième année consécutive.
L'été 2022 en France métropolitaine a battu un nouveau record avec 33 jours de vague de chaleur relevés au niveau national, dont la série entamée le 15 juin était la plus précoce jamais enregistrée, selon le bilan estival présenté mardi par Météo-France.
Avec trois vagues de chaleur et trente-trois jours de canicule, l’été 2022 est le deuxième le plus chaud en métropole après celui de 2003, selon Météo France. Ces saisons exceptionnelles pourraient bientôt devenir la norme, alertent les météorologues.
Un nouveau record de température journalière a été battu dimanche à Uccle en début d'après-midi, avec 31,1 degrés enregistrés, a annoncé le météorologue David Dehenauw sur le réseau social Twitter.
Le mois dernier fut l'un des juillets les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, a indiqué mardi l'Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence spécialisée de l'ONU basée à Genève.
Les températures ont dépassé, mardi, un niveau jamais atteint au Royaume-Uni avec 40,2°C à l'aéroport d'Heathrow. Comme le reste de l'Europe occidentale, le pays est frappé par une canicule aux feux de forêt dévastateurs.
Ecoles fermées, asphalte fondu sur les pistes de décollages, déformation des rails… Un record de température historique a été enregistré mardi à l’ouest de Londres. Une situation inhabituelle et très inquiétante.
Un nouveau record de température journalière a été battu mardi à 14h40 à Uccle, avec 36,4°C enregistrés, a annoncé le météorologue David Dehenauw sur Twitter. Le précédent record observé depuis le relevé des températures pour un 19 juillet datait de 2006 et s'établissait à 36,2°C.
Une centaine de pompiers ont été déployés mardi pour combattre un incendie qui a fait rage dans un village à l'est de Londres, sous une chaleur qui bat des records au Royaume-Uni, ont annoncé les pompiers.
La vague de chaleur exceptionnelle atteint son pic lundi. Des records absolus devraient être battus sur la façade atlantique, avec des températures de plus de 40 degrés notamment en Bretagne. En cause : le phénomène de la «goutte froide».
La vague de chaleur qui s'abat sur l'Europe occidentale pourrait faire tomber plusieurs records de température, lundi, en France et en Grande-Bretagne. La situation est particulièrement critique sur la façade ouest, où Météo-France prévoit "une apocalypse de chaleur". Dans le même temps, les pompiers continuent de lutter contre de violents incendies dans plusieurs pays européens.
L'Europe est frappée de plein fouet par une vague de chaleurs. La France, l'Espagne et le Portugal sont victimes d’impressionnants feux de forêts depuis plusieurs jours.
A la pointe de la Bretagne, le record historique de température a été battu en début d'après-midi à Brest avec 35,8°C, contre 35,2°C enregistré dans la ville en 1949. Et cette valeur n'est que provisoire puisque la température va continuer à grimper dans l'après-midi. En Gironde, les deux feux gigantesques ont déjà brûlé 14.000 hectares de végétation. La préfecture a annoncé l'évacuation préventive de 8.000 personnes à la Teste-de-Buch.
De nombreux records absolus de chaleur ont été battus ce lundi dans l’ouest du pays, parfois dans les grandes largeurs. La chaleur se décale vers l’est du pays, qui devrait connaître des températures très élevées dans la journée de mardi.
Une idée absolument géniale a refait surface ces dernières semaines. D’abord évoquée par Christophe Cassou en 2019, plusieurs scientifiques françaises et français ont suggéré lors de la canicule de juin 2022 de nommer les aléas climatiques par les noms des sources de pollutions :
Située dans la province du Sind, dans le sud ouest du Pakistan, la ville de Jacobabad est la ville la plus chaude du monde. En plus de la chaleur, les habitants doivent faire face à l'extrême pauvreté. Deux éléments qui rendent leurs conditions de vie encore plus difficiles. Reportage de nos correspondants Shahzaib Wahlah et Sonia Ghezali.
Les secours tentent de trouver d’autres randonneurs, 10 personnes étant encore portées disparues. Avec 10°C, ce sommet de 3 343 mètres avait battu ce samedi son record de température.
Le trimestre avril-mai-juin 2022 a été le plus chaud en France depuis 1900 avec une température moyenne de 16,9°C. La moyenne sur trois mois dépasse très légèrement celle d’avril-mai-juin 2003 (16,8°C), rapporte François Jobard, météorologiste à Météo France.
Les autorités japonaises ont mis en garde lundi contre une possible pénurie d'électricité, alors que le pays subit des températures record et que Tokyo vient de vivre la saison des pluies la plus courte de son histoire. "Nous demandons au public de réduire sa consommation d'énergie en début de soirée", quand les réserves d'électricité sont au plus bas dans le grand Tokyo, a déclaré lundi le secrétaire général adjoint du gouvernement nippon, Yoshihiko Isozaki.
Le mois de juin 2022 a été caniculaire partout dans l’Hexagone. Dans au moins trois stations météo, les températures maximales ont été dépassées.
La ville de Biarritz a connu samedi un record «absolu» de température «tous mois confondus», touchée comme une large part de la France par une canicule d’une précocité inédite, a indiqué Météo France.
Après les nombreux records absolus de température enregistrés samedi en France, la vague de chaleur extrême et précoce qui frappe le pays se décale dimanche vers l'est, où le mercure pourrait atteindre les 38 degrés.
Le contenu en chaleur des océans a encore battu un record en 2021. Plus de 90% de l’excès de chaleur dû au réchauffement climatique est absorbé par les océans. Ces derniers fournissent actuellement la meilleure estimation du déséquilibre énergétique de la Terre.
Au début du mois de mai, l’Inde et le Pakistan ont été confrontés à des températures record, atteignant les 50 °C. Ces pays étant déjà habitués à de fortes chaleurs, il n’en reste pas moins que celles-ci sont exceptionnelles et, sans surprise, liées au réchauffement climatique. Et donc, tant que nous ne changerons pas radicalement nos modes de vie, ces vagues de chaleur extrême ne sont pas près de s’arrêter.
La France a battu un record de période de chaleur au printemps avec désormais 40 jours consécutifs au-dessus des normales saisonnières.
Des records de chaleur ont été atteints ou dépassés, mercredi, dans l'Hexagone, avec plus de 33°C à Toulouse et au Cap-Ferret, au terme de plus de 37 jours consécutifs de températures anormalement élevées. Les agriculteurs s'inquiètent de la sécheresse annoncée.
Les records atteints mercredi s'entendent pour un mois de mai, qui pourtant n'est pas terminé.
Trente-huit jours consécutifs au-dessus des normales saisonnières: la France a enregistré un record printanier de chaleur, battant la série de 37 jours consécutifs datant d'avril-mai 2020, indique jeudi Météo-France. Et "avec les températures attendues au moins jusqu'à samedi, ce record est appelé à être encore battu", prévient l'établissement public.
Le thermomètre a atteint ce mercredi des niveaux inédits dans plusieurs villes de France, en particulier dans le sud du pays, mais pas seulement. Ce mois de mai est bien parti pour être le plus chaud jamais enregistré.
Deuxième producteur de blé au monde, l'Inde a annoncé samedi interdire les exportations de cette denrée, sauf autorisation spéciale du gouvernement, face à la baisse de sa production due notamment à des vagues extrêmes de chaleur.
What else is new? Hotspots are getting hotter. The major hotspot in April stretched from Iraq to India and Pakistan, and toward the northeast through Russia (Fig. 1). Temperature exceeded 45°C (113°F) in late April in at least nine Indian cities,[1] on its way to 50°C (122°F) in Pakistan in May,[2] where a laborer says “It’s like fire burning all around” and a meteorologist describing growing heatwaves since 2015 says “The intensity is increasing, and the duration is increasing, and the frequency is increasing.” Halfway around the world, Canada and north-central United States were cooler than their long-term average, but people in British Columbia and northwest United States remember being under their own record-breaking hotspot last summer.
En Inde et au Pakistan les températures de ces dernières semaines ont atteint les 50 °C. Une vague de chaleur record qui a provoqué des coupures d'électricité et des pénuries d'eau pour des millions d'habitants qui devraient subir cette fournaise de plus en plus fréquemment à cause du changement climatique. Des chaleurs extrêmes qui touchent également les animaux et particulièrement les oiseaux explique l’agence de presse Reuters.
Le pays connaît depuis fin avril des chaleurs record, dont l’Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies a estimé qu’elle était « cohérente » avec le changement climatique.
Le pays subit actuellement une vague de chaleur record attribuée au changement climatique. Les températures pourraient atteindre les 50°C par endroit dans les prochains jours.
L'Inde prévoit de mettre en location des mines de charbon abandonnées auprès de compagnies minières, en vue de soutenir une production qui peine à faire face aux conséquences d'une vague de chaleur record dans le pays, a annoncé vendredi le gouvernement indien. Au total, le gouvernement prévoit de louer plus de 100 mines de charbon publiques dormantes à des sociétés minières privées sur la base d'un partage des revenus. Les dirigeants indiens se sont ainsi dits prêts à simplifier les démarches administratives pour encourager les offres de géants miniers tels que Vedanta, Adani et d'autres.
"C'est le serpent qui se mord la queue". L'Inde, qui subit une vague de chaleur historique liée au changement climatique, va augmenter sa production de charbon à des niveaux records. Entre les restrictions liées au Covid-19, les problèmes de logistique et une demande qui explose... l'approvisionnement ne suit plus. Aujourd'hui le charbon représente 70 % de la production électrique du pays.
Des coupures d'électricité en Inde et au Pakistan ont aggravé, vendredi, les conditions de vie de millions d'habitants, déjà accablés depuis plusieurs semaines par une vague de chaleur record que les experts lient au changement climatique.
Une vague de chaleur record s'est abattue sur l'Inde et le Pakistan, provoquant des coupures d'électricité et des pénuries d'eau pour des millions d'habitants qui devraient subir cette fournaise de plus en plus fréquemment à l'avenir, selon des experts du changement climatique.
Des coupures d'électricité en Inde et au Pakistan ont aggravé vendredi les conditions de vie de millions d'habitants, déjà accablés par une vague de chaleur record que les experts lient au changement climatique. Des mois de mars et d'avril exceptionnellement chauds ont fait grimper la demande énergétique en Inde, et plus particulièrement au Pakistan, si bien que les centrales électriques manquent à présent de charbon pour répondre à la demande.
Nouvelle illustration du changement climatique : le mois de mars qui s'achève en Inde est le plus chaud enregistré depuis 122 ans. Des températures records ont été enregistrées jusque dans l’Himalaya alors que les pluies se sont faites particulièrement rares.
Appelée «Conger», cette plateforme de glace s’est effondrée mi-mars, alors que les températures du pôle Sud atteignaient des records de chaleur. Cette fonte est l’un des évènement les plus significatifs en Antarctique depuis 20 ans.
En fin de semaine dernière, les températures ont battu tous les records de chaleur aussi bien en Antarctique qu'en Arctique. Non loin du pôle Sud, elles étaient jusqu’à 40 °C supérieures aux moyennes saisonnières. Des hausses liées aux caprices des “rivières atmosphériques”.
Avec la fin de l’été austral, l’Antarctique connaît habituellement une chute rapide des températures, pour s’établir aux alentours de -48 °C. Depuis quelques jours, le continent enregistre pourtant des températures record, avec un pic à 40 °C au-dessus des normales de saison les 18 et 19 mars.
La calotte glaciaire orientale de l’Antarctique, l’un des endroits les plus froids sur Terre, a connu ces derniers jours un épisode de chaleur sans précédent. Le thermomètre affichait des températures de 40°C au-dessus de la moyenne.
Des températures très élevées sont enregistrées dans l’hémisphère sud, où c’est l’été austral. Ces records sont le signe du réchauffement climatique. Et entraînent des conséquences multiples.
Ces sept dernières années (2015 - 2021) ont été les plus chaudes jamais enregistrées même si le phénomène météorologique de la Niña a temporairement fait baisser les températures l'année dernière, confirme mercredi l'Organisation météorologique mondiale.
Une chaleur étouffante s'abat dans l'hémisphère sud, de la côte ouest de l'Australie jusqu'à l'Argentine, en passant par l'Uruguay où un nouveau record vient d'être battu. Les températures dépassent la barre des 40°C, voire même des 50°C comme ce fut le cas en Australie, menaçant la santé des populations, l'approvisionnement en eau et en énergie ou encore l'agriculture.
« C’est la température la plus chaude jamais enregistrée en Australie depuis soixante-deux ans », a annoncé le Bureau de météorologie de l’Etat australien.
2021 ne restera pas dans les mémoires comme l'année la plus chaude jamais enregistrée. Pas dans l'atmosphère au moins. Mais dans les océans se joue un tout autre scénario. Les chercheurs nous confirment aujourd'hui qu'ils ont été, l'année dernière, plus chauds que jamais.
Les températures océaniques viennent de battre un nouveau record pour la sixième année consécutive. Dans le monde entier, la température des océans augmente à un rythme effréné alors que l’homme continue de modifier l’atmosphère qui les entoure. En 2021, selon une nouvelle synthèse de deux ensembles de données internationaux, la vague de chaleur dans nos océans a atteint un nouveau pic, éclipsant l’influence des épisodes régionaux plus frais.
Les records de températures élevées devraient être battus cette fin de semaine en Argentine, en Uruguay et dans le sud du Brésil. A Buenos Aires, la forte demande en électricité provoque des coupures de courant.
Une telle température n’avait pas été enregistrée dans le pays, et dans l’hémisphère Sud, depuis 1960.
Les records de chaleur, mais aussi de froid, se sont multipliés aux États-Unis au cours de l’année passée. Pour le New York Times, ces extrêmes donnent “une image frappante du changement climatique”.

2021

Quelques heures après que l’Etat a enregistré un record de température pour décembre – de 19,4 °C sur l’île Kodiak au sud de l’Alaska –, des pluies torrentielles se sont déversés dans l’intérieur des terres, un phénomène qui ne s’était pas produit depuis 1937. La température de l’air a ensuite chuté, provoquant la formation massive de glace.
Après un été bouillant, voilà que l’hiver aussi se réchauffe au cercle polaire. Si les records de chaleur ne sont pas battus, le dérèglement climatique continue de faire grimper le mercure en flèche.
Cette température a été enregistrée à Penticton, en Colombie-Britannique, province la plus à l’ouest du Canada, où se succèdent des événements météorologiques extrêmes.
Nous vivons ces derniers mois une explosion de catastrophes climatiques partout dans le monde. Canicules accablantes, records de chaleur, sécheresses interminables, méga-incendies, précipitations torrentielles, inondations dévastatrices, tempêtes ravageuses…
Intense sécheresse. Sao Paulo, à l’instar d’autres États brésiliens du sud et du sud-est du pays, traverse une période d’intense sécheresse. La ville de Sao Paulo, qui connaît normalement à cette époque de l’année des températures hivernales, a enregistré un pic de chaleur de 31 degrés, un record qui pourrait être dépassé cette semaine.
La vague de chaleur caniculaire qui frappe l'Espagne a battu samedi le record absolu de température dans ce pays avec 47,4 degrés enregistrés à Montoro, dans la province de Cordoue (sud), selon l'agence météorologique de lEtat (AEMET). Record absolu de chaleur en Espagne: 47,4°
Le mois de juillet 2021 est le mois le plus chaud enregistré depuis le début des relevés à la fin des années 1800, selon de nouvelles données publiées vendredi par la NOAA. Sans surprise, cette année pourrait également se placer parmi les plus chaudes.
Un incendie qui faisait rage dimanche dans la région d’Avila, dans le centre de l’Espagne, a entraîné l’évacuation de quelque 600 personnes, tandis que ce pays, en proie à une vague de chaleur caniculaire, a probablement enregistré samedi une température record de 47,4°C, selon des données provisoires.
Une vague de chaleur va s’abattre sur une bonne moitié du pays jusqu’à dimanche. Seize départements ont été placés en alerte orange canicule par Météo France. Cet épisode sera cependant beaucoup moins sévère et long que dans les autres Etats méditerranéens.
Un anticyclone, baptisé très opportunément Lucifer, traverse actuellement la péninsule, faisant exploser les thermomètres, avec notamment une température record de 48,8 degrés enregistrée mercredi en Sicile, qui si elle est homologuée serait un nouveau record européen.
Une vague de chaleur portée par l'anticyclone "Lucifer" touche cette semaine l'Italie, qui a enregistré mercredi une température record de 48,8 degrés en Sicile dans la région de Syracuse.
En cas de confirmation, le record européen qui date du 10 juillet 1977, quand une température de 48 degrés avait été relevée à Athènes, serait ainsi battu, selon un météorologue de 3bmeteo qui répondait à l'agence de presse italienne Ansa. En 1999, une station météo non officielle située à Catenanuova, en Sicile, avait mesuré une température de 48,5 degrés, mais ce record serait dès lors également battu, selon le météorologue Manuel Mazzoleni. Des températures supérieures à 40 degrés ont par ailleurs été mesurées en d'autres endroits de l'île.
Record battu? Selon La Chaîne Météo ce mercredi 11 août, la température la plus chaude jamais connue en Europe a été enregistrée en Sicile, avec 48,8 degrés celsius. Cette valeur n’est toutefois pas encore validée officiellement car elle a été relevée dans une station agro-météo, et non pas dans une station météo d’une ville, précise La Chaîne Météo.
À mesure que la planète se réchauffe, les évènements de chaleur record gagnent nécessairement en fréquence et en intensité. Toutefois, outre la quantité totale de réchauffement, le rythme de ce dernier a également une influence forte sur le comportement des extrêmes chauds. C’est en tout cas ce que montre une nouvelle étude parue dans la revue Nature climate change ce 26 juillet.
L’été n’est même pas à moitié fini, et nous avons vu vagues de chaleur dans le nord-ouest du Pacifique et au Canada avec des températures qui seraient chaudes pour la Vallée de la Mort, d’énormes incendies qui ont envoyé de la fumée à travers l’Amérique du Nord, et des inondations mortelles de proportions bibliques dans Allemagne et Chine. Les scientifiques ont mis en garde contre plus de 50 ans sur l’augmentation des événements extrêmes résultant de changements subtils du climat moyen, ...
Ici, ce sont des records de chaleur qui tombent. Là, ce sont des trombes d'eau. Et plus loin, des forêts entières qui partent en fumée. Les scientifiques nous avaient avertis de ces conséquences du réchauffement climatique. Mais eux-mêmes sont aujourd'hui surpris de leur ampleur.
Alors que l’on peut ressentir une certaine impression que cet été climatique part en vrille entre les chaleurs de 49 degrés en Californie et Canada et ensuite suivi par des incendies. L’Allemagne, le Benelux et la Suisse noyés sous l’eau. La Russie enregistre des températures records ainsi que des incendies en Sibérie. Pour compléter le tableau, des inondations monstrueuses en Chine.
Le Maroc a enregistré des "records absolus" de températures ce week-end lors d'une vague de chaleur "exceptionnelle", le mercure frôlant les 50 degrés et dépassant par endroit la normale mensuelle de 5 à 12 degrés, ont indiqué les autorités météorologiques.
Californie, Oregon, Arizona, Idaho… aucun de ces Etats de l’ouest des Etats-Unis n’est épargné par les incendies qui ravagent actuellement quelque 350 000 hectares de végétation, selon le dernier bilan des autorités, lundi 12 juillet. Si 2020 a été la pire année de l’histoire moderne de la Californie en matière d’incendies, il est possible que 2021 batte déjà ce record.
Les Etats-Unis pourraient battre de nouveaux records de températures alors que plusieurs régions de l'ouest du pays et leurs 30 millions d'habitants subissent une vague de chaleur, la deuxième en quelques semaines.
Depuis plus de 40 ans, les scientifiques nous préviennent sur les canicules liées aux changements climatiques. Parler de « normales » et de « nouveaux records » n’a plus beaucoup de sens. Mais si l’on veut faire face à la crise climatique, il ne sert à rien d’appuyer sur l’idée que l’humanité « aurait dû agir plus tôt » ou que nous devrions « avoir honte de notre inaction ». Au strict plan de la communication, ça ne marche pas. Quelle serait la meilleure approche pour communiquer sur le changement climatique ?
On the first day of summer, I woke up to the acrid smell of hot tar. Even before my sleepy brain could name the source, my body tensed with anxiety: wildfire season was underway. Given the deepening drought and record-setting heat across most of the American west, this year’s fire season is widely predicted to be among the worst in recent memory – which is saying something, because last year’s was grotesque.
Après le mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Finlande et dans plusieurs régions en Suède, les températures frisent depuis dimanche les records absolus dans le Grand Nord de l’Europe, avec un thermomètre indiquant entre 30 et 35°C.
Depuis une semaine, l’Ouest canadien est pris sous un « dôme de chaleur » et bat chaque jour des records de température, avoisinant les 50°C. Comme le montre le GIEC rapport après rapport, l’évaluation scientifique des conséquences écologiques et des implications politico-sociales de ce type d’« exploit » météorologique est catastrophique. Afin de mettre en œuvre les actions et politiques nécessaires pour y répondre, il est temps de considérer le rôle essentiel d’une éthique de l’environnement liée aux sciences de l’écologie et de la conservation.
Cette température, extrême pour ce continent, a été relevée l’an dernier, le 6 février, à la station de recherche Esperanza située sur la péninsule antarctique. L’Organisation météorologique mondiale des Nations Unies vient tout juste de confirmer ce résultat. Le record précédent, officiellement reconnu comme tel, remonte au mois de mars 2015, où la même station avait enregistré une température de 17,5 °C. Cette augmentation souligne une nouvelle fois l’urgence de mettre en place des mesures pour limiter le changement climatique.
Au cours des dernières semaines, les vagues de chaleur qui se sont abattues à divers endroits de la planète ont annoncé le début d’une lourde canicule. Mais certains lieux sont plus touchés par le réchauffement climatique que d’autres. En effet, le nord-ouest du Pacifique a été durement touché par les hautes températures selon le satellite Sentinel-3 de l’ESA, affichant des températures au sol atteignant 63 °C.
Une canicule exceptionnelle vient de toucher l’ouest canadien et le nord-ouest des États-Unis en cette fin juin 2021. De nombreux records de chaleur ont été battus, voire pulvérisés par endroits.
Ecoles et centres de vaccination contre le Covid-19 fermés, épreuves de sélection olympique décalées et habitants réfugiés dans des centres de "rafraîchissement": l'Ouest du Canada et des Etats-Unis battait encore lundi de nouveaux records "historiques" de températures provoqués par un "dôme de chaleur" à l'intensité rarissime.
Un « dôme de chaleur » au-dessus de l’Ouest du Canada a fait battre de nouveaux records de températures, provoquant des alertes à la chaleur dans trois provinces et deux territoires arctiques dimanche 27 juin.
Sur la côte Pacifique étasunienne et canadienne, la population s’apprête à subir l’arrivée d’un épisode de chaleur historique. Plusieurs records absolus de températures devraient être battus, même dans les terres. Selon les météorologues, des températures dignes de celles de la vallée de la Mort sont attendues.
Aux États-Unis, en Sibérie, dans le Caucase… Un peu partout dans l’hémisphère Nord, des records de chaleur tombent. Les climatologues redoutent des réactions en chaîne, comme la libération de davantage de gaz à effet de serre avec le dégel des sols arctiques.
Les premiers 50°C de l’année 2021 dans le monde ont été relevés le 31 mai à Jacobabad et à Larkana, au Pakistan. En juin, cette barre des 50°C a été par la suite plusieurs fois dépassée dans diverses régions du globe et de nombreux records de chaleur sont tombés.
La quasi-totalité de l’ouest des Etats-Unis a été placée cette semaine en "état d’alerte" en raison d’une vague de chaleur particulièrement précoce avec des températures qui pourraient friser par endroits les 50 °C.
Lacs à leur plus bas niveau historique, feux de forêts précoces, restrictions d'eau et maintenant vague de chaleur potentiellement record: l'été n'a pas encore officiellement débuté que l'Ouest des Etats-Unis subit déjà de plein fouet les effets d'une sécheresse chronique, encore aggravée par le changement climatique.
La Sibérie connaît ses premiers feux de l’année, attisés par un temps sec, chaud et venteux, qui devrait s’aggraver. Loin d’être isolé, ce phénomène fait partie des conséquences du dérèglement climatique, selon les experts.
Températures moyennes, records de chaleur, émissions et concentrations de CO2 et de méthane, dégel du pergélisol, fonte des banquises et des calottes glaciaires, hausse du niveau de la mer, tempêtes, acidification des océans, courants marins, forêts, sols, biodiversité, incendies, sécheresses, inondations, déplacements de populations… Tour d’horizon d’une Terre en surchauffe.
il apparaît très clairement que le Sud de la France sera fortement touché par des vagues de chaleur plus longues et plus intenses. Si rien n’est fait pour enrayer ce dérèglement, atteindre les 50 °C en période estivale n’aura plus rien du record dans le pourtour méditerranéen…
Selon une étude majeure parue ce 13 janvier, jamais l’océan global n’avait connu une température aussi élevée qu’en 2020. Un record qui témoigne d’une tendance lourde aux nombreuses implications pour la biodiversité et les sociétés humaines. Les résultats ont été publiés dans la revue Advances in Atmospheric Sciences.

2020

Les témoignages venus des vallées de la Vésubie ou de la Roya dans le Sud Est de la France sont tous les mêmes : déluge brutal, coupure généralisée, plus de routes, plus d’eau, plus d’électricité ! En pleine crise du COVID 19, cette catastrophe illustre la nécessité d‘adapter nos infrastructures et nos modes de prévention à un monde de phénomènes violents, répétitifs et complexes.
Une température de 33,1°C a été mesurée mardi vers 1Ah00 à Uccle, faisant de ce 15 septembre 2020 le jour de septembre le plus chaud depuis le début des mesures. Lundi avait déjà été une journée record.
Le CO2 atmosphérique atteint des niveaux records, En juillet, sa concentration est montée à 414 ppm (Organisation Météorologique Mondiale rapporté par Reuters).
En Arctique, la banquise fond plus vite que les modélisations actuelles le prédisent, ont averti mardi des chercheurs de l'Université de Copenhague. "Nos analyses des conditions dans l'océan Arctique montrent que nous avons clairement sous-estimé le taux d'augmentation de la température dans l'atmosphère au plus proche du niveau de la mer, laquelle a finalement fait fondre la banquise plus rapidement que nous l'avions prévu",...
La Vallée de la Mort est l’endroit le plus bas, le plus chaud et le plus sec d’Amérique du Nord.
Un énorme bloc de 500.000 m³ menace de se détacher d'un glacier du Mont-Blanc. Des routes ont été bloquées et plus de 70 personnes ont été évacuées. L'accélération de la fonte des glaciers, à l'image de celui-ci des Grandes Jorasses près de Courmayeur, inquiète les scientifiques, à l'instar du climatologue Hervé Le Treut.
De nouvelles images satellites de la NASA montrent que les calottes glaciaires de la baie Saint-Patrick, située au Canada, ont complètement disparu.. Mark Serreze, directeur du Centre national des données sur la neige et la glace, est très pessimiste pour l'avenir des calottes glaciaires. En 2017, il alertait déjà la société du phénomène de fonte des glaces en prédisant que celles-ci allaient disparaître "d'ici 5 ans".
Au bout du monde, au-delà du cercle polaire, deux scientifiques russes, Serguei Zimov et son fils Nikita, mènent une expérience unique : le Pleistocene Park. Ici, les Zimov restaurent l’ancien écosystème des steppes de Sibérie pour sauver la planète d’une catastrophe annoncée : la fonte du permafrost. Ce glacier souterrain contient des milliards de tonnes de carbone. En se libérant, ce dernier accélère le réchauffement climatique. Selon l’hypothèse révolutionnaire des Zimov une réintroduction des grands herbivores en Sibérie pourrait ralentir la dégradation du permafrost.
conférence d'Aurélien Barrau à la Madeleine

2019




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