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chaleur records
2025
La France vient de connaître son second mois de juin le plus chaud, a annoncé le 2 juillet le gouvernement. Depuis le début des mesures, en 1900, seul le mois de juin 2003 a été plus chaud. L’anomalie de température a atteint +3,3 °C contre +3,6 °C en juin 2003, a précisé à l’AFP le ministère de la Transition écologique. L’Hexagone avait déjà connu lundi 30 juin sa nuit puis sa journée les plus chaudes jamais enregistrées pour un mois de juin, avec une moyenne de 20,2 °C durant la nuit et de 28 °C durant la journée. Mardi 1er juillet, Météo-France a relevé 41,3 °C à Nîmes, 39,3 °C à Toulouse et 38,1 °C à Paris.
Le pic de l'épisode caniculaire qui touche la France est attendu mardi, avec des températures pouvant grimper jusqu’à 41 °C et 16 départements placés en vigilance rouge. Fermetures d’écoles, ralentissement de l’activité économique, hausse de la pollution et orages violents : les effets de la canicule se multiplient.
Avec une température moyenne de 19,3°C, soit 2,6°C au-dessus des normales, juin 2025 se classe comme le deuxième mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Belgique,
Les scientifiques alertent sur la hausse des températures en cours en Europe, notamment sur le littoral méditerranéen. Entre la surchauffe des nuits et le risque accentué d’orages surpuissants, les conséquences ne se cantonneront pas à la mer.
Tout le sud du continent est frappé par cette canicule particulièrement précoce. En Italie comme en Grèce, les autorités ont pris des mesures drastiques pour limiter les activités professionnelles en pleine journée.
Avec 46 °C, ce village de l’Hérault avait enregistré le 28 juin 2019 la température la plus élevée jamais connue en France. Alors que le Sud-Est connaît en ce moment un pic de chaleur, la commune tente de s’adapter au réchauffement climatique.
La chaleur est restée la nouvelle norme dans le monde au mois de mai, aussi bien sur terre que sur les mers, nombre d'entre elles connaissant toujours des températures "inhabituellement élevées" comme depuis plus de deux ans.
Des zones du nord et du centre de la Chine suffoquaient cette semaine sous des chaleurs record pour un mois de mai, a rapporté mardi un média d'État, le pays se préparant à un nouvel été de fortes températures. La Chine subit depuis plusieurs étés une série d'événements météorologiques extrêmes, des canicules aux sécheresses en passant par des pluies diluviennes et des inondations.
Dammam, en Arabie saoudite, Al-Jahra et Hawally, au Koweït, Bassorah, en Irak, et Ahvaz, en Iran, figurent parmi les villes les plus fréquemment couronnées. Leurs records ? Des températures de 50, 52, parfois 53 °C mesurées à l’ombre— et même 38,8 °C la nuit à Bassorah en 2016, un record mondial pour une température nocturne. Ces villes battent régulièrement des sommets de chaleur que l’on croyait autrefois réservés à des zones inhabitées comme la Vallée de la Mort, en Californie.
Canicule en Asie et au Moyen-Orient : 49 °C au Koweït, 48 °C au Pakistan, 47,6 °C en Arabie saoudite
- Eléonore Disdero,Maximiliano Herrera,
En cette fin avril, les températures atteignent de nouveaux records en Asie centrale et au Moyen-Orient.La saison chaude commence à peine, que le mercure s’affole déjà sur le continent asiatique, de l’Irak à l’Inde, en passant par l’Arabie Saoudite et le Pakistan. «En trois siècles d’histoire climatique, rien ne peut être comparé à ce qui se passe actuellement en Asie», a alerté Maximiliano Herrera, climatologue et spécialiste des records climatiques, ce dimanche 27 avril sur le réseau social Bluesky. «Des dizaines de milliers de records sont battus avec des marges insensées dans toute l’Asie. Nous assistons à l’événement le plus extrême jamais observé», pointe-t-il.
Global temperature for 2025 should decline little, if at all, from the record 2024 level. Absence of a large temperature decline after the huge El Nino-spurred temperature increase in 2023-24 will provide further confirmation that IPCC’s best estimates for climate sensitivity and aerosol climate forcing were both underestimates. Specifically, 2025 global temperature should remain near or above +1.5C relative to 1880-1920, and, if the tropics remain ENSO-neutral, there is good chance that 2025 may even exceed the 2024 record high global temperature.
Tempête Boris, pluies torrentielles en Espagne… En 2024, l’Europe n’a pas été épargnée par les conséquences du changement climatique. Le bilan annuel du climat de l'organisme européen Copernicus et de l'Organisation météorologique mondiale montre les conséquences dramatiques de l'année la plus chaude jamais enregistrée.
L’année a été la plus chaude jamais enregistrée sur le Vieux Continent, avec des températures record dans les régions du Centre, de l’Est et du Sud-Est. Les tempêtes ont été violentes et les inondations généralisées, selon le bilan de Copernicus.
Le rapport sur l’état du climat européen en 2024, publié conjointement par le Service Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale (OMM) ce mardi 15 avril, décrit un Vieux Continent scindé par les extrêmes climatiques.
Les températures ont encore atteint des records ce mois de mars 2025, le plus chaud d’Europe depuis l’ère préindustrielle, rapporte l’observatoire européen Copernicus ce mardi 8 avril. En Arctique, la glace de mer hivernale est à son niveau le plus bas jamais enregistré.En Europe, le mois de mars 2025 a été le plus chaud jamais enregistré depuis l’ère préindustrielle. Selon un rapport de l’observatoire européen Copernicus publié ce mardi 8 avril, les températures ont été majoritairement supérieures à la moyenne sur l’ensemble du Vieux Continent, les anomalies chaudes les plus importantes ayant été relevées en Europe de l’Est et dans le sud-ouest de la Russie.
Les températures mondiales se sont maintenues à des niveaux historiquement élevés en mars, poursuivant une série de près de deux ans de chaleur extraordinaire sur la planète, dans la fourchette haute des prévisions scientifiques sur le réchauffement climatique.
2024 marks the first time since record keeping began that all of the 10 hottest years have fallen within the most recent decade.
L’Organisation Météorologique Mondiale a publié son rapport annuel (OMM2024). L’année 2024 a été la plus chaude de l’Histoire. Elle a apporté de nombreux événements extrêmes. Le cyclone Yagi a causé des dégâts étendus en Chine, au Philippines et au Vietnam, et le cyclone Chido a dévasté Mayotte et le Mozambique. De nombreux affluents de l’Amazone se sont taris par une chaleur inhabituelle, et plus de mille pèlerins ont succombé à la chaleur à la Mecque.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Le mois qui vient de s’écouler «s’inscrit dans la lignée des températures records ou quasi records» depuis deux ans, pointe le bulletin mensuel publié ce jeudi 6 mars par l’observatoire européen Copernicus.