Rise for climate belgium

OA - Liste

Documentation

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.

espace50x10

filtre:
focussanté pollution

2025

Le gouvernement néerlandais alerte sur la présence excessive de PFAS dans les œufs de poules élevées à domicile. En Flandre et en Wallonie, des appels à la prudence sont également lancés.
Comme le révèle un document judiciaire que Vert s’est procuré, le géant pharmaceutique a été condamné pour des rejets illégaux de bromopropane, constatés en 2023 à la sortie de son usine des Pyrénées-Atlantiques qui produit le médicament Dépakine. Une première étape dans la reconnaissance de la responsabilité de Sanofi en matière de pollution : le groupe fait déjà l’objet d’une enquête judiciaire pour des rejets antérieurs à 2018.
Début avril, des professionnels de la santé et des scientifiques, publient une carte blanche pour s’insurger contre les propos de la ministre wallonne de l’Agriculture concernant les pesticides i. En cause, des déclarations jugées « erronées, inexactes, voire mensongères »… Le débat n’est ni local, ni récent.
Né avec un handicap qui paralyse ses quatre membres, Alex Jolly a été reconnu victime des pesticides manipulés par sa mère pendant sa grossesse. Avec ses parents, il se bat pour une indemnisation à la hauteur de leur préjudice.
Face à la stratégie annoncée par la ministre wallonne de l'Agriculture, les médecins montent au créneau. Ils dénoncent une série d'affirmations erronées sur les effets sanitaires des pesticides et réclament une gouvernance plus transparente.
Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Deux jours avant la journée mondiale de la santé, une grande marche contre les pesticides était organisée samedi dans la capitale, à l’appel d’une centaine d’associations. Victimes, scientifiques, artistes, médecins… toutes et tous ont uni leurs forces pour défendre un «printemps bruyant». Vert y était.
La peur de perdre son travail, puis sa santé. Cinquante ans après l'amiante, un nouveau scandale sanitaire se profile dans les usines : l'exposition des ouvriers aux produits chimiques PFAS, ces "polluants éternels".
Les personnels du site spécialisé dans la production de TFA, reconnus comme polluants éternels, basée à Salindres, se sont longtemps battus pour sauver leurs emplois – en vain. Désormais, ils veulent savoir si les substances auxquelles ils ont été exposés menacent leur santé.
Les plastiques sont partout, de nos océans à nos poumons. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, ils ne disparaissent jamais vraiment. En se fragmentant, ils deviennent des polluants invisibles, encore plus dangereux pour notre environnement et notre santé.
Après l’annonce brutale de la fermeture de l’usine chimique Chemours, dans l’Oise, les salariés demandent que leur exposition aux polluants éternels soit prise en compte. L’employeur refuse de financer leurs prises de sang.
Plusieurs organisations de consommateurs ont réalisé des analyses sur 229 produits de consommation courante afin d’y détecter la présence de PFAS. Au total 68 produits testés contenaient ce type de substance.
Nous savons aujourd’hui que 3M savait depuis les années 70 au moins que les molécules perfluorée qu’il fabriquent sont « éternelles » et toxiques. Ils savent et pendant des années, ils ont prétendu le contraire, à peine édulcoré leur publicité. Ils ont multiplié les usages et les volumes produitsi. Nous sommes ici face à un comportement toxique similaire à ce qui a déjà été largement démontré pour le tabac et l’amiante : l’industrie est au courant des effets néfastes de son produit mais pour ne pas tuer la poule aux œufs d’or, cette information est dissimulée, atténuée, combattue dans la presse par la manipulation de la science, de l’information.
La société chimique allemande Bayer a été condamnée par un tribunal de l’État américain de Géorgie à verser près de 2,1 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros) de dommages et intérêts pour l’utilisation de Roundup, un herbicide à base de glyphosate. Selon l’agence de presse financière Bloomberg, le plaignant accuse le désherbant d’avoir provoqué son cancer. Bayer a déjà annoncé qu’elle ferait appel.
Les microplastiques sont devenus l’une des préoccupations environnementales majeures du vingt et unième siècle. Ces minuscules fragments de plastique, généralement de moins de cinq millimètres, se retrouvent désormais partout : dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons et dans la nourriture que nous consommons. Néanmoins, ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les microplastiques ont été retrouvés dans des parties du corps humain telles que les poumons, les reins, le foie, le cœur et même le cerveau. Ce phénomène soulève une question fondamentale : les microplastiques représentent-ils un danger réel pour notre santé ?
Près d'un adolescent et d'un adulte sur deux (48%) ayant participé à un test sanguin à grande échelle aux alentours de Zwijndrecht, près d'Anvers, présente une concentration trop élevée de PFAS, a annoncé mardi le département flamand de la santé. Les concentrations sont considérées excessives d'après les seuils établis par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa).
Dans l’est du Groenland, les polluants éternels PFAS, arrivés par voie atmosphérique et marine, constituent une menace pérenne à la santé des chasseurs inuits, selon une récente étude scientifique.
Des études antérieures ont déjà mis en évidence la présence de microplastiques dans plusieurs organes humains, notamment les poumons, le foie, les reins et même le placenta. Plus récemment, des recherches menées sur des modèles murins ont révélé que ces particules pouvaient s’accumuler dans la circulation sanguine cérébrale, entraînant des obstructions et menant parfois à des troubles neurologiques.
Les seuils de pollution de l’air préconisés par l’OMS sont dépassés dans la quasi-totalité des pays, dont la France, d’après une étude d’IQAir. Seuls 12 territoires sur 138 évalués ne dépassent pas les normes de particules fines.
C’est l’une des mesures phares de la loi contre les PFAS (substances per- et polyfluoroalkylées) qui a été promulguée le 28 février, une semaine après son adoption définitive à l’Assemblée nationale : l’instauration d’une redevance sur les rejets de polluants éternels dans l’eau. Les parlementaires ont décidé d’appliquer le principe « pollueur-payeur » aux installations industrielles les plus émettrices en PFAS dans l’eau.




propulsed by