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2025

Jusqu’à la dernière goutte. D'après une enquête menée conjointement par SourceMaterial et le Guardian, Microsoft, Amazon et Google n’hésiteraient pas à construire de nouveaux datacenters dans des régions déjà frappées par la sécheresse dans le monde.
"La Seine et des microplastiques", dit une étude publiée vendredi dans la revue "Environmental science and pollution research" et qui montre que les microplastiques polluent les fleuves d’Europe. Cette recherche se base sur 2700 échantillons, relevés en 2019 dans neuf fleuves du continent : la Seine, l’Elbe, l’Ebre, la Garonne, la Loire, le Rhône, le Rhin, la Tamise et le Tibre. Quarante chercheurs ont procédé à ce recueil et l’analyse de ces eaux.
Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Depuis l’accident survenu au large du Royaume-Uni le 10 mars, des microbilles de plastique s’échouent dans la baie du Wash, une zone sensible qui héberge de nombreux oiseaux marins menacés.
IA qu’à forer. Avec l’aide du géant de l’informatique, les majors pétrolières espèrent gagner en productivité et ne pas perdre une goutte d’or noir. Exxon Mobil, Equinor, TotalEnergies et consorts bardent leurs forages d’intelligence artificielle pour optimiser leur production et découvrir de nouveaux gisements.
Les microplastiques sont devenus l’une des préoccupations environnementales majeures du vingt et unième siècle. Ces minuscules fragments de plastique, généralement de moins de cinq millimètres, se retrouvent désormais partout : dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons et dans la nourriture que nous consommons. Néanmoins, ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les microplastiques ont été retrouvés dans des parties du corps humain telles que les poumons, les reins, le foie, le cœur et même le cerveau. Ce phénomène soulève une question fondamentale : les microplastiques représentent-ils un danger réel pour notre santé ?
Avec la disparition progressive des glaciers sous l’effet du changement climatique, c’est bien plus que de l’eau qui disparaît. En effet, les ruisseaux et autres rivières alimentées par les glaciers abritent une diversité microbienne méconnue. Une mission scientifique unique en son genre s’est attelée à recenser ce microbiome à travers 11 chaînes de montagnes et 170 cours d’eau glaciaires.
Our study presents a global assessment of microplastic pollution’s impact on food security. By analyzing a comprehensive dataset of 3,286 records, we quantify the reduction in photosynthesis caused by microplastics across various ecosystems.
Les microplastiques ne se contentent pas de polluer l’environnement : ils perturbent aussi la photosynthèse, un processus clé pour la vie sur Terre. Cette menace, révélée par une étude récente, pourrait réduire la productivité agricole et exposer jusqu’à 400 millions de personnes à la famine d’ici vingt ans.
Des études antérieures ont déjà mis en évidence la présence de microplastiques dans plusieurs organes humains, notamment les poumons, le foie, les reins et même le placenta. Plus récemment, des recherches menées sur des modèles murins ont révélé que ces particules pouvaient s’accumuler dans la circulation sanguine cérébrale, entraînant des obstructions et menant parfois à des troubles neurologiques.
D’après une étude publiée dans “PNAS”, les microplastiques altèrent la photosynthèse des plantes et donc leur croissance, ce qui se répercute sur les récoltes. Et cela pourrait empirer au cours des prochaines décennies.
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
Microsoft a présenté mercredi Majorana 1, une puce quantique qui pourrait intégrer à terme un million de qubits, soit une puissance qui dépasserait largement les superordinateurs actuels. Selon le géant américain, cette innovation pourrait permettre de construire dans les prochaines années des ordinateurs quantiques dont la puissance n'était jusqu'ici pas attendue avant plusieurs dizaines d'années.
Chimique mac. Ces substances nuisent à de nombreuses espèces qu’elles ne sont pas censées cibler, démontre une étude majeure publiée dans la revue Nature Communication, jeudi. Une preuve supplémentaire de leur rôle dans l’effondrement du vivant.
La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.
Amerikaans onderzoek heeft een veel hogere concentratie microplastics aangetroffen in de hersenen dan in andere organen. En die concentratie stijgt snel: met de helft in amper acht jaar tijd.
Des chercheurs ont analysé des échantillons de cerveau obtenus lors d'autopsies aux États-Unis et ont fait plusieurs découvertes.
On savait que de toutes petites particules de plastique pénétraient dans le corps humain. Une nouvelle étude montre que leur concentration a augmenté au fil du temps, en particulier dans le cerveau, en même temps que la production de ces matériaux continue de croître.
La concentration de microparticules PM 2,5, a dépassé durant la matinée plus de huit fois le seuil toléré par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).




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