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2024

En Chine, AgiBot accélère la révolution robotique avec son usine futuriste, sur le point de dépasser les 1 000 robots humanoïdes produits, symbole d’un essor technologique ambitieux.
La révolution technologique s'impose sur le front de la guerre. Si l'Ukraine devient un laboratoire de l'intelligence artificielle dans les conflits modernes, la Belgique, quant à elle, accélère doucement sa transition vers l'usage de ces technologies de pointe.
Google, l'un des géants des technologies, a annoncé mercredi le lancement de Gemini 2.0, une nouvelle famille de modèles d'intelligence artificielle générative. Elle aura la faculté de permettre la création des agents IA capables de répondre aux questions des utilisateurs et d'agir en leur nom.
Nous avons tous ressenti cette étrange sensation que nos smartphones semblent nous écouter. Passer devant un magasin et recevoir, le soir même, une publicité pour celui-ci sur nos applications, ou discuter d’une destination de vacances avec un ami et se retrouver inondé de publicités d’agences de voyages, cela vous rappelle quelque chose ? Ces coïncidences troublantes soulèvent des questions quant à la manière dont nos données personnelles sont utilisées par les publicitaires. Alors, pure coïncidence ou ciblage des publicitaires sans notre consentement ?
En Chine, un mégaprojet d'ingénierie vise à réduire la pénurie d’eau dans les régions les plus septentrionales.
Les géants de la tech se sont lancés dans une course à l'énergie abondante et décarbonée pour nourrir les appétits d'ogre de l'intelligence artificielle, mais leurs besoins en électricité doivent être mieux connus pour éviter la surchauffe du système, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Les centres de données, ces millions de serveurs qui hébergent nos données informatiques, représentent certes seulement 1% de la consommation d'électricité mondiale, selon l'AIE.
L'intelligence artificielle (IA) promet de venir à la rescousse du monde de l'énergie, mais son essor fulgurant soulève aussi un enjeu climatique majeur pour sa consommation vorace en électricité. Pour la première fois, un congrès international sur l'énergie se penche mercredi et jeudi sur les "deux faces de la médaille" de l'IA.Les centres de données (data center), ces millions de serveurs qui hébergent nos données informatiques, représentent aujourd'hui seulement 1% de la consommation d'électricité mondiale, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Une liste non-exhaustive des principaux dangers pour les sociétés humaines et la vie sur Terre du développement de l'intelligence artificielle.L'une de ces études montre que les activités industrielles ont massivement modifié les flux d'eau de surface dans le monde et mis en péril le cycle de l'eau essentiel à des formes de vie aussi variées que les poissons et les forêts. L'autre confirme qu'en de nombreux endroits de la planète, les aquifères et les puits d'eau souterraine sont pompés et exploités plus rapidement qu'ils ne peuvent se reconstituer.
Récemment, la Chine et les États-Unis sont parvenus à un accord très important concernant l'arme nucléaire et l'intelligence artificielle.
Donald Trump et Elon Musk prônent un antihumanisme décomplexé, géré par l'intelligence artificielle et « vidé de ses corps », explique le philosophe Éric Sadin. Une idéologie déjà à l'œuvre en France.
GPT la planète ? L’impact environnemental de l’incontournable outil d’intelligence artificielle est souvent insoupçonné et sous-estimé, et risque bien d’empirer dans les années à venir. Décryptage.
Au festival livres en marche.
Les mastodontes de l'informatique à distance (cloud) et de l'intelligence artificielle (IA) se tournent de plus en plus ostensiblement vers le nucléaire pour assurer une partie de leurs immenses besoins en électricité. En moins d'un mois, Microsoft, Google et Amazon ont passé coup sur coup des contrats d'approvisionnement qui portent sur une capacité totale de 2,7 gigawatts, de quoi alimenter plus de deux millions de foyers.
Le géant du numérique a passé un accord avec la start-up Kairos Power pour construire plusieurs centrales nucléaires de nouvelle génération qui alimenteront en électricité ses centres dédiés à l’intelligence artificielle. Le secteur de la tech américain est le moteur de la relance de l’énergie nucléaire, constate “The Wall Street Journal”.
En utilisant LucaProt, un nouvel algorithme d’apprentissage profond, des chercheurs ont identifié 161 979 espèces de virus à ARN « cachées », dont 70 458 jusqu’à présent inconnues.
« En tant que physicien, je suis très troublé par quelque chose qui n’est pas contrôlé, quelque chose que je ne comprends pas assez bien pour savoir quelles sont les limites que l’on peut imposer à cette technologie », a affirmé le chercheur.
En inventant les réseaux de neurones artificiels dans les années 1980, John Hopfield et Geoffrey Hinton ont posé les bases de l’intelligence artificielle.
Libre Eco week-end | Une chronique de Roald Sieberath, entrepreneur (Accelerate. AI), investisseur pour Noshaq, professeur invité à l'UCLouvain et l'UNamur
Selon une enquête menée par un grand quotidien, les GAFAM sous-estimeraient les niveaux de pollution de leurs installations.
Devant les besoins électriques exponentiels de leurs logiciels, Microsoft, Amazon et Oracle veulent relier des centres de données à des réacteurs.




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