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2025

Nestlé a déposé une nouvelle demande d’autorisation pour continuer à exploiter seulement deux puits sur cinq sur le site Perrier. Le préfet du Gard demande au groupe de prouver que son eau reste naturellement pure, après le retrait annoncé des filtres illégaux.
Un discret accord franco-arménien fait aujourd’hui l’objet d’une vive controverse internationale. Au cœur de l’affaire : des cargaisons de déchets radioactifs français, prétendument transférés en secret vers une région écologiquement sensible d’Arménie. Un scandale qui mêle géopolitique, nucléaire et accusations de « colonialisme vert », et qui pourrait bien avoir des conséquences dramatiques pour toute une région.
Le nombre de catastrophes naturelles a été multiplié par quatre en quelques années. Et la facture augmente pour les assureurs et le régime "cat nat", dont les indemnisations ont encore dépassé les 2 milliards d’euros en 2024. Face au risque d’inassurabilité des habitations dans certaines régions, les propositions de réforme du système affluent, notamment celle d’une sécurité sociale climatique.
Si la justice permet de mettre les états face à leur responsabilité en matière de climat, elle reste plus timide en ce qui concerne les autres enjeux environnementaux1, particulièrement en Belgique. Le concept de « préjudice écologique » a par exemple été reconnu pour la première fois assez tardivement2, en 2021, dans l’Arrêt Tenderie3 et n’est toujours pas entré dans le Code civil belge. Or, comme le rappellent Canopea et d’autres associations de protection de l’environnement, environ 95 % de nos habitats naturels sont en état défavorable, menaçant les équilibres écologiques et l’avenir des générations présentes et futures. Le GIEC et l’IPBES soulignent d’ailleurs la nécessité d’agir face à la sixième extinction de masse.
Le gaz naturel canadien s’apprête enfin à accéder au marché mondial, au-delà de son traditionnel débouché américain. Après cinq années de construction, le projet LNG Canada s’apprête à expédier ses premières cargaisons depuis le nord de la Colombie-Britannique, via le port de Kitimat.
Le gaz naturel liquéfié est la star du sommet sur l’océan, sponsorisé par l’armateur CMA CGM. Ce carburant est pourtant fort polluant. Les transports à voile, eux, ont une place riquiqui, décrit notre journaliste sur place.
L'énergéticien japonais Jera va acheter jusqu'à 5,5 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) américain supplémentaires par an, conduisant à un triplement de ses approvisionnements aux Etats-Unis, a-t-il annoncé jeudi, un engagement salué par Washington sur fond d'âpres négociations commerciales. Dans le cadre de contrats conclus pour 20 ans, Jera a approuvé des accords d'approvisionnement auprès de quatre sites gaziers américains au Texas et en Louisiane, selon un communiqué. Ce géant de l'énergie produit un tiers de l'électricité au Japon.
Et si l’une des clés de la transition énergétique mondiale se trouvait sous nos pieds depuis toujours ? C’est l’hypothèse que renforcent de récentes recherches sur l’hydrogène naturel — un gaz produit en continu par la croûte terrestre et piégé dans ses entrailles depuis des millions, voire des milliards d’années.
La Terre, notre précieuse planète bleue, semble être un endroit stable et inaltérable dans l’immensité de l’univers. Cependant, la question de son avenir, et plus particulièrement de la fin de la vie, est une interrogation qui taraude de plus en plus de scientifiques. Le changement climatique, l’épuisement des ressources naturelles, la montée des températures et d’autres facteurs liés à l’activité humaine contribuent à rendre notre avenir incertain. Mais que disent vraiment les données scientifiques sur la fin de la vie sur Terre ? Quand cela arrivera-t-il et comment ?
Le Qatar commencera à exporter du gaz naturel liquéfié (GNL) issu de son projet d'expansion de production du plus grand champ gazier naturel au monde à la mi-2026, a annoncé mardi le géant national de l'énergie du pays. L'augmentation de la production sur ce champ, qui s'étend sous le Golfe jusqu'au territoire iranien, devrait porter la capacité de production totale du Qatar à 142 millions de tonnes par an d'ici 2030.
Le groupe français TotalEnergies a annoncé lundi l'acquisition de 5% de Western LNG, développeur d'un projet d'usine de gaz naturel liquéfié (GNL) prévue sur la côte pacifique du Canada, en Colombie-Britannique. Le pétrolier, qui se présente comme le 3e acteur mondial du GNL, a aussi signé un accord prévoyant l'achat pendant 20 ans de 2 millions de tonnes de GNL par an (Mt/an) provenant de la future usine de liquéfaction, sous réserve de la décision finale d'investissement du projet.
La Turquie a découvert en mer Noire un nouveau gisement de gaz naturel qui couvrira ses besoins énergétiques pendant plus de trois ans, a annoncé samedi le président Recep Tayyip Erdogan. "Nous avons découvert 75 milliards de m3 de gaz naturel", a-t-il déclaré. "Avec ce volume, nous couvrirons les besoins de nos foyers pendant environ trois ans et demi", a-t-il ajouté, estimant la valeur du gisement à 30 milliards de dollars.
Le nombre de déplacés a bondi de 50 % en six ans, selon l’Observatoire des situations de déplacement interne et le Conseil norvégien pour les réfugiés. En cause, les guerres et les catastrophes naturelles.
La consommation d’espaces naturels en 2023 fut la plus faible enregistrée depuis 2009. Mais entre 2011 et 2023, plus de 297 000 hectares ont été consommés, l’équivalent de la surface de l’île de La Réunion.
Si l'accord américano-ukrainien sur l'exploitation des ressources naturelles est salué par les deux Etats, il n'offre aucune garantie précise de sécurité à Kiev par Washington qui cherche à réduire son aide militaire à ce pays ravagé par la guerre déclenchée par Moscou. Ce règlement, qualifié par Kiev de "véritablement équitable" et de "gagnant-gagnant" par Washington, est l'aboutissement de semaines de pressions et de tractations à la suite de la spectaculaire altercation du 28 février dans le Bureau ovale entre les présidents Donald Trump et Volodymyr Zelensky.
Comment fonctionne l'accord ? Les deux Etats doivent mettre en place un fonds d'investissement à parts égales pour la reconstruction de l'Ukraine et qui devrait donner aux Etats-Unis un accès à ses ressources naturelles: minerais, terres rares, gaz, pétrole. D'après la ministre ukrainienne de l'Economie, Ioulia Svyrydenko, il s'agira de financer des "projets d'extraction" de ces ressources naturelles, dont Kiev "conservera l'entière propriété et le contrôle". Les bénéfices dégagés par le fonds seront réinvestis en Ukraine, laquelle n'aura "aucune dette" à rembourser pour l'aide américaine fournie depuis 2022. Il s'agira de financer uniquement des projets d'extractions et d'infrastructures minières, pétrolières et gazières en Ukraine pour les dix prochaines années.
La première pierre de l'usine de gaz naturel liquéfié (GNL) Marsa LNG a été posée jeudi à Oman, un site qui doit notamment servir à alimenter le transport maritime, ont annoncé TotalEnergies et son partenaire local, la compagnie OQEP.
Un nouveau rapport d'une ONG brésilienne montre que plus de 500 000 hectares d’écosystèmes naturels ont été détruits au Brésil entre 2018 et 2023, en lien avec la viande vendue par le géant français de la grande distribution. Un chiffre qui pourrait peser lourd dans une procédure judiciaire en cours à Paris.
D’après les informations de la cellule investigation de Radio France, de nouvelles contaminations bactériologiques mettent à mal le label «eau minérale naturelle» de la marque de Nestlé, ce qui pourrait signer sa disparition.
L’administration Trump a proposé mercredi 16 avril d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger en excluant la protection de leur habitat, une mesure aussitôt contestée par les organisations écologistes.- […] Que signifie l’interdiction de «faire du mal» aux plantes ou animaux menacés d’extinction ? L’administration Trump poursuit sa vaste opération de détricotage des acquis en matière de protection de l’environnement, en suggérant désormais d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger. Le ministère de l’Intérieur, chargé aux États-Unis de l’environnement, a ainsi proposé mercredi 16 avril d’exclure la protection de l’habitat des plantes ou animaux menacés, provoquant une nouvelle fois la colère des organisations écologistes.




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