Valérie Masson-Delmotte

OA - Liste

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2022

Le principal penseur de la décroissance français s’exprime sur le site de QG, 50 ans après la publication du rapport Meadows. Si la conscience de la finitude du monde progresse, rien de décisif n’est selon lui mis en place, notamment parce que les gouvernements redoutent une forte montée des tensions sociales si un changement de paradigme véritable était mis en place. Le capitalisme a atteint une telle puissance qu’il n’y a que lui-même qui peut se détruire. Seule lueur d’espoir, il est bien parti pour cela selon l’auteur de « Pour en finir avec l’économie »

2021

Titres des médias, émissions de télévisions ou de radios, réseaux sociaux, la collapsologie est partout. La pandémie virale en cours dope son discours et ajoute à l’ambiance catastrophiste. Bref, le contexte est porteur et alimente peurs et inquiétudes.
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2020

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En août, l'inflation s'affichait à -0,2% contre +0,4% en juillet, selon une première estimation de l'Office européen des statistiques. C'est la première fois depuis mai 2016 que l'inflation passe en territoire négatif. Les analystes tablaient sur un déclin un peu moindre.
Après un rapide résumé du contexte dans lequel l’étude «Limits to Growth» a été menée, Meadows en rappelle la conclusion principale. Il était indiqué que si les politiques mises en œuvre dans les années 70 persistaient, le monde connaîtrait une croissance jusqu’aux alentours de 2020 et ensuite un déclin. Sur les 13 scénarios développés, c’est celui de «l’overshoot» (dépassement) qui a prévalu. Nous sommes donc au début de la phase de déclin.
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Bientôt un salaire pour tous sans même travailler? Révélée en mai dernier par la revue britannique "New Scientist", une étude menée par l'Institut d'assurance sociale de Finlande et par l'Université d'Helsinki a analysé les effets de la mise en place d'un revenu universel sur l'emploi et sur le bien-être.
Les dernières données de l’impact du Coronavirus sur l’économie sont alarmantes. Au 1er trimestre 2020, le PIB reculait de 5,8%, du jamais-vu depuis 1949. Le monde de la finance et du néolibéralisme vacille. Les prévisions sont plus sombres que jamais, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire et Gerald Darmanin alors ministre des Comptes publics annonçaient le 14 mai une prévision d’un recul du PIB de 8%, et une dette publique qui atteindrait le chiffre record
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D’après une première estimation par la Banque nationale, l’activité économique en Belgique s’est contractée de 12,2% au deuxième trimestre 2020 par rapport au trimestre précédent. C'est la plus lourde chute depuis le début des statistiques trimestrielles, qui remonte à 1995. Comparé au premier trimestre de 2019, le Produit intérieur brut (PIB) s’est replié de 14,5%. Au premier trimestre, le PIB avait déjà régressé de 3,5% en variation trimestrielle.
Le caractère écologiquement insoutenable de la trajectoire sociétale belge, européenne et mondiale, est largement documenté scientifiquement depuis plusieurs décennies. La possibilité de la poursuite de la croissance, impliquée notamment par les politiques régionales, nationales et européennes officielles (qui continuent à en faire l’objectif politique principal dans leurs textes stratégiques), repose sur un mécanismepostulé, ledécouplage absolu.Avec le découplage absolu hypothétique, on peut rebaptiser la croissance, «croissance verte«, c’est-à-dire une forme hypothétique de «croissance soutenable».
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Notre espèce humaine vit sur cette Terre depuis environ 15 000 générations. Jusqu’en 1750, il n’y a eu pratiquement aucune croissance du PIB par personne. Pendant 300 000 ans, la population moyenne n’a connu aucune amélioration globale de son bien-être au cours de sa vie. Ce n’est qu’au cours des 15 dernières générations, soit à peine 0,001 % de l’existence de l’humanité sur Terre, qu’il a été accepté et attendu que la vie pour tous s’améliore continuellement et rapidement.
Pourquoi l’énergie est-elle aussi importante dans nos vies (et plus que jamais aujourd’hui) ? Quels grands défis énergétiques, déterminants pour l’économie et la société, devrons-nous affronter au XXIe siècle ? Quelles sont les pistes pour répondre à ces défis ?
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lors que la plupart des avions restent cloués au sol, l'exigence de contreparties environnementales aux aides de l'Etat vers le secteur aérien se fait de plus en plus forte. Mais les solutions technologiques comme l'agro-kérosène et l'hydrogène ne sont que des moyens de poursuivre une fuite en avant intenable, selon Laurent Castaignède, ingénieur de l'École centrale Paris, fondateur du bureau d'études BCO2 Ingénierie et auteur de Airvore ou la face obscure des transports, chronique d'une pollution annoncée (Ecosociété, 2018).
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Les plus éminents climatologues et biologistes du monde entier estiment que nous nous dirigeons vers l’effondrement de la civilisation, et qu’il est peut-être déjà trop tard pour changer de cap.
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La pandémie du coronavirus a déjà fait d’innombrable victimes et on ne sait comment elle va se développer à l’avenir. Alors que les personnes en première ligne assurent les soins et les activités élémentaires, luttant ainsi contre la propagation du virus, une grande partie de l’économie est au point mort. Cette situation mêle, à la fois, beaucoup de douleur et d’anxiété pour ceux que nous aimons et notre société. Cependant, il s’agit également d’un moment important pour faire avancer de nouvelles idées collectivement.
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Il y a quarante-huit ans, j’ai dirigé une étude de 18 mois au MIT sur les causes et les conséquences de la croissance de la population et de la production matérielle sur la planète Terre jusqu’en 2100. « Si les tendances de croissance actuelles … restaient inchangées« , nous avions conclu que « les limites de la croissance sur cette planète seraient atteintes dans les cent prochaines années".
Aurélien Barrau - Global Positive Forum 2019
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Penser écologiquement et socialement le monde de demain, celui de l’après Covid-19, préoccupe et nourrit de nombreuses réflexions. Afin de nourri le débat, nous republions ici en intégralité les Propositions pour un retour sur Terre proposées par Dominique Bourg, Philippe Desbrosses, Gauthier Chapelle, Johann Chapoutot, Xavier Ricard-Lanata, Pablo Servigne et Sophie Swaton
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Alors que la baisse du prix du pétrole pourrait inciter certains à freiner la transition énergétique, plusieurs experts rappellent l’urgence de se tourner vers les énergies renouvelables. Outre le risque climatique, il s’agit aussi d’éviter une nouvelle crise planétaire  due à des tensions sur l'or noir, une fois la pandémie dépassée. Toute la semaine, Novethic se penche sur la fragilité de nos modèles économiques, secteur par secteur, mise en lumière par la crise sanitaire actuelle.
Le Coronavirus a poussé la quasi totalité de l’humanité à se confiner. En toute logique, les conséquences pour l’environnement s’avèrent des plus salvatrices avec entre autres, baisses des émissions de CO2 et de la pollution atmosphérique. Le PIB ralentit, la planète s’en porte mieux. Les Décroissants en ont rêvé, le Coronavirus l’a fait ? Non!
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Face au déroulement actuel des événements, en tant que citoyen et intellectuel belge, ma conscience m’oblige à partager cinq urgences éthiques auprès de la Première Ministre, Sophie Wilmès. Toutes sont déplaisantes, toutes doivent être pensées, écrites et dites. Nous n’y sommes pas habitués, la responsabilité politique est de nous y préparer, avec détermination et transparence démocratique....

2019

Dans cette rediffusion de La Rencontre Annuelle AuCOFFRE / VeraCash, Philippe BIHOUIX, ingénieur centralien et spécialiste des ressources non renouvelables, balaye les promesses d’un monde technologique meilleur, d’abondance et de bonheur pour tous, du rêve d’énergies propres qui ne tiennent pas compte des limites de notre planète “fatiguée”. L’auteur du livre “Le bonheur était pour demain” esquisse des solutions moins naïves, que nous pouvons mettre en œuvre dès maintenant.
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Faut-il en finir avec l’obsession de la croissance ? Ne faudrait-il pas mieux se focaliser sur le bien-être plutôt que sur le PIB ? Débat avec l'économiste Eloi Laurent, qui publie « Sortir de la croissance. Mode d’emploi » aux éditions Les Liens qui libèrent.
La croissance et le PIB ne sont pas, ne sont plus, la solution : ils sont devenus le problème. Car ce que l’on compte aujourd’hui dans nos sociétés n’est pas ce qui compte vraiment.
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Monter un lieu de vie de type « éco-lieu » relève des Douze Travaux d’Hercule (ou des Sept Exploits de Rostam, pour prendre la référence d’une autre culture dont je suis issu) : trouver les gens, trouver le lieu, trouver le montage financier, et reproduire 3 fois le cycle parce qu’on s’est trompé de gens, de lieu, et de montage financier. Ce n’est que le début des ennuis : la plupart de ces aventures finissent par échouer, principalement pour raisons relationnelles. Et comme une part infime de la population souhaite vivre en collectif dans la sobriété énergétique et matérielle, jamais le modèle ne sera ainsi déployé à grande échelle.
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Présélections :

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