Valérie Masson-Delmotte

OA - Liste

2024

Le microbiologiste et médecin hongkongais renommé, Yuen Kwok-yung, met en garde contre une nouvelle pandémie qui pourrait être plus dévastatrice que le Covid-19. Il exhorte les dirigeants à considérer cette éventualité et à agir pour faire face aux défis mondiaux que représentent le changement climatique rapide et les maladies infectieuses émergentes. L'expert insiste sur l'importance d'une collaboration internationale, essentielle pour la protection de tous.
Le 18 juillet 2024, une mise à jour défectueuse de la société de cybersécurité CrowdStrike a provoqué une panne informatique massive, touchant des milliers d'institutions, y compris des hôpitaux, des compagnies aériennes et des banques.
Des scientifiques ont découvert une espèce de champignon qui n'avait jamais été observée auparavant chez l'Homme.
Chlore, pesticides, perturbateurs endocriniens... Comme si cela ne suffisait pas déjà, une étude découvre aussi des métaux dans les tampons.
Le Japon fait face à une augmentation alarmante des cas de syndrome de choc toxique streptococcique. Que sait-on de cette maladie ?
Une étude révèle que certaines personnes semblent immunisées contre le SARS-CoV-2 même sans vaccination, grâce à une réponse immunitaire unique. Ces résultats pourraient ouvrir la voie à des stratégies thérapeutiques de nouvelle génération.
Un chercheur canadien a affirmé que les autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick (au Canada) l’ont interdit de poursuivre ses enquêtes sur une mystérieuse maladie neurologique.
De nouvelles recherches sur les mammifères marins suggèrent que le virus s’adapte de plus en plus aux hôtes mammifères.
Avec le réchauffement climatique, les sols jusqu’ici gelés en permanence des régions septentrionales pourraient dégeler. Les microbes qui s’y cachent libèreraient alors des quantités de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Sans doute plus encore que les scientifiques le craignaient déjà, révèlent de nouveaux travaux.
D’importantes quantités de microplastiques ont été détectées dans les testicules de tous les sujets testés dans le cadre d'une récente étude. Ces particules seraient impliquées dans la baisse de la qualité des spermatozoïdes et de la fonction testiculaire globale.
Après la disparition de leur arbre fétiche, les chimpanzés d'Ouganda se tournent vers le guano de chauve-souris abritant des virus inconnus.
Récemment, au Texas, des chats sont décédés peu de temps après avoir développé de graves symptômes tels que la cécité, après avoir consommé du lait cru (non pasteurisé) de vaches infectées par le H5N1. Une première, qui suscite de nouvelles inquiétudes.
À en croire les spécialistes, la plupart des produits de supermarché n'ont rien de bon pour la santé. Le thé vert en ferait partie.
S’il y a quelques siècles de cela, le poisson était une excellente source de protéines, de minéraux, de vitamines et d’oméga-3, difficile d’en dire autant aujourd’hui tant l’océan et les cours d’eau subissent une pollution sans précédent. Et le mercure n’est pas le seul polluant concerné.
Suite à cette étude sur l'impact des microplastiques sur le système digestif, les chercheurs ont tiré la sonnette d'alarme.
Vendredi dernier, les CDC ont émis une alerte concernant le premier cas aux États-Unis de transmission à l'Homme du virus H5N1 par un mammifère (bovin).
Si en 2023, de rares pays sont en dessous des seuils établis par l'OMS, la plupart affichent une très mauvaise qualité de l'air.
Des chercheurs ont conçu un logiciel basé sur l’IA classant automatiquement (et mieux que les méthodes actuelles) les tumeurs cérébrales en fonction de leur type. Ce nouvel outil, déjà disponible gratuitement, pourrait permettre d’optimiser le plan de traitement et potentiellement d'améliorer le pronostic des patients.
La magnétite, un polluant atmosphérique courant, pourrait induire l’accumulation de protéines toxiques et la perte neuronale liées à Alzheimer.
L’analyse la plus étendue à ce jour des concentrations de microplastiques dans le placenta humain révèle des résultats inquiétants : tous les placentas testés présentaient des concentrations élevées de particules plastiques.
À l’initiative du réseau de chercheurs en sciences humaines et sociales travaillant sur les pesticides, 140 scientifiques s’insurgent contre le recul du gouvernement Attal sur le plan Ecophyto pour satisfaire les syndicats agricoles. Ils rappellent que la nocivité des pesticides est un fait scientifique.
Des « virus zombies » emprisonnés depuis des millénaires dans le pergélisol arctique pourraient bientôt être libérés et provoquer de nouvelles pandémies.
Le variant JN.1 du SARS-CoV-2, issu de BA.2.86, présente une infectiosité pulmonaire accrue et interroge sur l'efficacité des vaccins actuels.
Une étude révèle que la fatigue et le malaise post-effort observés chez les personnes souffrant de COVID long seraient principalement dus à des dysfonctionnements mitochondriaux.
Le Zosurabalpin, un nouvel antibiotique, cible efficacement les bactéries Gram-négatives résistantes, une avancée prometteuse dans la lutte contre les superbactéries.
Une enquête portant sur 500 000 dossiers médicaux anglais et finlandais confirme l'association entre les infections virales et certaines maladies neurodégénératives, dont Alzheimer.

2023

La résurgence d'infections respiratoires communes en Chine est attribuée à un phénomène appelé la dette immunitaire. De quoi s'agit-il ?
Policy-makers seeking to limit the impact of coal electricity-generating units (EGUs, also known as power plants) on air quality and climate justify regulations by quantifying the health burden attributable to exposure from these sources. We defined “coal PM2.5” as fine particulate matter associated with coal EGU sulfur dioxide emissions and estimated annual exposure to coal PM2.5 from 480 EGUs in the US. We estimated the number of deaths attributable to coal PM2.5 from 1999 to 2020 using individual-level Medicare death records representing 650 million person-years. Exposure to coal PM2.5 was associated with 2.1 times greater mortality risk than exposure to PM2.5 from all sources. A total of 460,000 deaths were attributable to coal PM2.5, representing 25% of all PM2.5-related Medicare deaths before 2009 and 7% after 2012. Here, we quantify and visualize the contribution of individual EGUs to mortality.
Selon Vivek Murthy, la solitude et l'isolement social seraient aussi néfastes que fumer une quinzaine de cigarettes par jour.
Après la survenue de l'ouragan Ian en Floride en septembre 2022, des bactéries dangereuses pour les humains ont fait leur apparition.
De nouvelles menaces planent dans l’ombre de la pandémie actuelle, et elles proviennent d’une source inattendue : les rongeurs de l’île de Hainan, en Chine. Selon une récente étude publiée dans la revue Virologica Sinica, des scientifiques chinois ont mis en lumière huit nouveaux virus qui pourraient potentiellement infecter les êtres humains. Cette découverte soulève des inquiétudes quant à de futures épidémies et pose des questions cruciales sur la manière dont ces virus pourraient évoluer.
Selon les chiffres officiels, pas moins d'un millier de personnes sont déjà mortes de la dengue au Bangladesh cette année.
Pourquoi cette maladie infectieuse relativement courante dans les pays tropicaux est-elle en croissance aussi rapide ?
Lors d'une interview, l'un des fondateurs de DeepMind a estimé qu'une régulation stricte concernant l'IA est indispensable.
Des chercheurs ont identifié une cible thérapeutique prometteuse pour le Covid long : une voie métabolique pro-inflammatoire étroitement liée aux symptômes de brouillard cérébral et de fatigue.
Le chromosome Y a été entièrement séquencé dans le cadre d'une collaboration internationale, révélant des implications majeures pour la biologie humaine et la recherche médicale.
Aujourd’hui, l’écrasante majorité des humains ne respire pas un air de qualité, particulièrement en ville. Une infographie publiée récemment fait état du top 20 des villes dont l’air contient le plus de PM2.5, soit des particules dont le diamètre est de 2.5 microns (μm).
Avec la réglementation qui restreint l’utilisation du bisphénol A, l’industrie se tourne vers de nouvelles substances pour le remplacer. Le Détecteur de rumeurs a vérifié ce qu’on sait des risques de ces substituts.
Des chercheurs suisses ont évalué les symptômes à long terme et la santé des personnes non vaccinées ayant contracté la COVID-19. Résultat : 18% d'entre elles développeraient des symptômes persistants, souvent durant des années.
Suite à une étude pilote menée en France, des chercheurs ont récemment fait une révélation assez inquiétante. Leurs résultats font en effet état d’une « persistance inattendue » des résidus de pesticides dans la quasi-totalité des 47 sites étudiés entre 2019 et 2021 dans notre pays.
Une nouvelle étude révèle que le sucralose (un édulcorant commun) et son métabolite est hautement toxiques pour l’ADN et induit une hyperperméabilité intestinale.
L'augmentation rapide du nombre de cas de cancer chez les moins de 50 ans devient inquiétante. Cette augmentation d'incidence est particulièrement préoccupante pour le cancer colorectal.
La fonte des calottes polaires a de nombreuses conséquences sur le climat, le niveau des mers, la biodiversité, les modes de vie des peuples autochtones… Les travaux d’Angela Szesciorka et de Kathleen Stafford, de l’université de l’Oregon, aux États-Unis, en apportent une nouvelle preuve : elle concerne l’une des quatre populations de baleines boréales Balaena mysticetus se répartissant autour du cercle Arctique, celle qui hante les mers des Tchouktches et, plus au sud, de Béring. C’est la moins menacée des quatre.
L'agent conversationnel ChatGPT fait polémique depuis ses débuts. Son utilisation interroge notamment dans le domaine de la médecine.
Les BPC sont interdits depuis des décennies, mais on en trouve encore des traces dans le monde naturel comme en témoigne une étude.
Les Nations Unies (ONU) ont récemment lancé une campagne autour d'une légumineuse qui pourrait en théorie régler bien des problèmes.
La « bactérie mangeuse de chair », ou Vibrio vulnificus pour les scientifiques, est présente dans les eaux salées du sud-est des États-Unis. Mais avec le réchauffement climatique, elle pourrait...
Selon des chercheurs, l'aggravation du réchauffement climatique entraînera une augmentation du nombre d'infections potentiellement mortelles dues à des bactéries présentes le long de certaines côtes littorales.
Surnommée "drogue zombie", la xylazine prend la place du fentanyl et pourrait bientôt entraîner les États-Unis dans un pic d'overdoses.
Des chercheurs d’une entreprise pharmaceutique ont voulu tester leur intelligence artificielle, entraînée pour découvrir des médicaments non toxiques, en inversant les paramètres. Les résultats cauchemardesques contenaient des neurotoxines plus mortelles que toutes celles connues.
Des chercheurs ont regroupé l’ensemble des données disponibles et ont estimé que chez certaines personnes souffrant de COVID long, les symptômes pourraient persister à vie si aucun traitement n'est proposé.
Alors qu’on sait désormais que l’origine des maladies s’ancre dans une combinaison alliant génétique et environnement, les recherches sur l’exposome tentent de caractériser l’ensemble des déterminants environnementaux à la santé.

2022

Après plusieurs dizaines de milliers d’années de sommeil, des virus dits « zombies » sont revenus à la vie grâce au dégel du pergélisol de la Sibérie. Cette résurrection s’est faite dans le cadre de travaux menés par des microbiologistes. Or, il ne s’agit pas vraiment d’une bonne nouvelle.
Si la canicule meurtrière qui a frappé l’ouest de l’Amérique du Nord à la fin du mois de juin 2021 était un évènement quasiment impossible dans le climat du milieu du vingtième siècle, elle pourrait survenir une fois tous les dix ans d’ici à 2050 si rien n’est fait pour limiter le réchauffement climatique. C’est ce que rapporte une étude parue dans la revue Nature climate change ce 24 novembre.
Gestational exposure to ambient fine particles (PM2.5) increases the risk of stillbirth, but the related disease burden is unknown, particularly in low- and middle-income countries (LMICs). We combine state-of-the-art estimates on stillbirths, and multiple exposure–response functions obtained from previous meta-analyses or derived by a self-matched case-control study in 54 LMICs. 13,870 stillbirths and 32,449 livebirths are extracted from 113 geocoded surveys from the Demographic and Health Surveys. Each stillbirth is compared to livebirth(s) of the same mother using a conditional logit regression. We find that 10-µg/m3 increase of PM2.5 is associated with an 11.0% (95% confidence interval [CI] 6.4, 15.7) increase in the risk of stillbirth, and the association is significantly enhanced by maternal age. Based on age-specific nonlinear PM2.5–stillbirth curves, we evaluate the PM2.5-related stillbirths in 137 countries. In 2015, of 2.09 (95% CI: 1.98, 2.20) million stillbirths, 0.83 (0.54, 1.08) million or 39.7%
Des relevés de terrain ont montré que la fonte des glaciers de l’hémisphère Nord libérait chaque année plusieurs centaines de milliers de tonnes de bactéries dans l’environnement périglaciaire, celles-ci étant jusqu’alors immobilisées dans les couches de neige. Les résultats ont été publiés dans la revue Communications Earth & Environment ce 10 novembre.
La preuve scientifique d’un risque sanitaire ou environnemental lié aux microplastiques n’est, aujourd’hui, pas établie. Pourtant, le traitement médiatique de ce sujet suggérerait l’inverse. D’après les chercheurs, l’écho donné à leurs travaux témoigne d’abord d’une montée en puissance de notre conscience environnementale.
Des chercheurs canadiens ont montré qu’avec l’augmentation de la fonte des glaciers arctiques induite par la hausse des températures, il existe un risque que les virus précédemment piégés dans la glace soient en contact avec de nouveaux environnements et infectent de nouveaux hôtes. La prochaine pandémie pourrait alors ne pas provenir de chauves-souris ou d’oiseaux, mais de la matière libérée lors de la fonte des glaces.
Découvert en 1958, le virus à l’origine de la variole du singe (ou monkeypox), l’orthopoxvirus simien, est endémique de l’Afrique centrale et de l’Ouest. Mais depuis le mois de mai 2022, des milliers de cas ont été signalés en Europe et dans le monde ; le virus fait aujourd’hui l’objet d’une surveillance accrue. La République démocratique du Congo est le pays le plus touché, avec 120 décès depuis le 1er janvier. Ces décès sont vraisemblablement dus à un variant plus virulent, nommé clade I. Les experts craignent qu’il ne se répande lui aussi dans le reste du monde.
La pollution atmosphérique, surtout celle des grandes villes, a atteint des niveaux tels qu’elle constitue aujourd’hui l’une des plus grandes menaces pour la santé publique. Les populations les plus fragiles, notamment les enfants en bas âge, en sont les plus impactées. Une étude a révélé que les nanoparticules de carbone (ou suie) issues de la combustion parviennent à franchir le placenta de la mère. Plus inquiétant encore, les chercheurs ont découvert de la suie dans le foie, les poumons et le cerveau de fœtus dont les mères ont été exposées à la pollution, et ce dès le premier trimestre de leur grossesse. Cette incrustation en profondeur dès les premiers stades de la vie aurait des impacts sans précédent sur le développement in utero et devrait inciter à des mesures antipollution plus appropriées.
The fate, effects, and treatment of per- and polyfluoroalkyl substances (PFAS), an anthropogenic class of chemicals used in industrial and commercial production, are topics of great interest in recent research and news cycles. This interest stems from the ubiquity of PFAS in the global environment as well as their significant toxicological effects in humans and wildlife. Research on toxicity, sequestration, removal, and degradation of PFAS has grown rapidly, leading to a flood of valuable knowledge that can get swamped out in the perpetual rise in the number of publications. Selected papers from the Journal of Hazardous Materials between January 2018 and May 2022 on the toxicity, sequestration, and degradation of PFAS are reviewed in this article and made available as open-access publications for one year, in order to facilitate the distribution of critical knowledge surrounding PFAS. This review discusses routes of toxicity as observed in mammalian and cellular models, and the observed human health effects i
des champignons microscopiques pourraient provoquer une nouvelle pandémie bien plus terrifiante que celles provoquées par des virus, étant donné le peu de connaissances que nous en avons et leur capacité à s’adapter à nos faibles mesures thérapeutiques. Malgré leur présence à nos côtés depuis longtemps, les scientifiques estiment qu’ils représentent actuellement un réel enjeu de santé publique face aux pressions sélectives fortes, au changement climatique et à une population humaine croissante toujours plus fragile.
Des chercheurs surveillent étroitement la propagation d’un virus nouvellement identifié en Chine. Selon un nouveau rapport du New England Journal Of Medicine, le Langya henipavirus (LayV), comme on l’appelle, aurait déjà infecté plusieurs dizaines de personnes au cours des trois dernières années dans les provinces chinoises du Shandong et du Henan. Pour l’heure, aucun décès n’a toutefois été signalé.
Scientists think we need to pay attention to a measure of heat and humidity – and it’s edging closer to the limits of human survivability
Si personne ne peut dire de quelle façon évoluera la variole du singe dans les prochains mois, une chose fait de plus en plus consensus: les différents gouvernements concernés ont manqué le bateau. Avec désormais 15 000 cas recensés depuis le mois de mai —et la possibilité, si la tendance exponentielle se maintient, d’atteindre 100 000 cas en août— il est clair que l’épidémie a échappé à tout contrôle dans plusieurs pays. Pas assez d’efforts de dépistage, de traçage des contacts ou de vaccination des groupes vulnérables.
Le réchauffement climatique global s’intensifie, provoquant le dégel des glaciers mondiaux. Au Tibet, une équipe de scientifiques chinois a ainsi relevé 1 000 anciennes espèces microbiennes piégées depuis des millénaires au sein des massifs glaciaux que l’on nomme le « troisième pôle » terrestre.
Des scientifiques chinois ont découvert près de 1.000 microbes, bactéries et virus piégés dans les glaciers du plateau tibétain. La fonte des glaces va progressivement relâcher ces micro-organismes vieux de plusieurs milliers d'années.
Il avait été suggéré à la mi-juin que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) allait peut-être déclencher son plus haut niveau d’alerte pour l’épidémie de variole du singe. Le 25 juin, la décision était reportée. Mais même si ce niveau d’alerte était déclenché, cela permettrait-il de contrôler l’épidémie?
La hausse globale des températures conduit de nombreux animaux sauvages à se rapprocher des régions densément peuplées d’humains. Une nouvelle modélisation de cette dynamique quantifie les risques associés d’émergence de nouvelles maladies infectieuses.
Selon une étude, des agents pathogènes seraient capables de voyager de la terre ferme vers les mers à l’aide des particules plastiques. Or, les chercheurs estiment que cela peut avoir des conséquences à la fois sur la santé humaine et l’environnement.
Une étude américaine récente montre que le dérèglement climatique contraindra de nombreuses espèces animales à migrer vers des écosystèmes plus accueillants. Or, cela devrait augmenter les risques de transmission virale entre espèces et du même coup les risques concernant les humains.
Selon des recherches américaines publiées mercredi dans la revue scientifique Environmental Science & Technology, divers produits pour enfants - des vêtements aux housses de meubles et aux taies d'oreiller - contiennent des substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS).
The term 'microplastic' was coined just 18 years ago, but already they seem to be just about everywhere. Each year, the average human consumes an estimated 74,000 particles of plastic with unknown health effects. In March of this year, scientists announced they'd found microplastics flowing through our very veins.
When the lights went out at Chornobyl Nuclear Power Plant on 9 March, the Russian soldiers holding Ukrainian workers at gunpoint became the least of Anatolii Nosovskyi’s worries. More urgent was the possibility of a radiation accident at the decommissioned plant. If the plant’s emergency generators ran out of fuel, the ventilators that keep explosive hydrogen gas from building up inside a spent nuclear fuel repository would quit working, says Nosovskyi, director of the Institute for Safety Problems of Nuclear Power Plants (ISPNPP) in Kyiv. So would sensors and automated systems to suppress radioactive dust inside a concrete “sarcophagus” that holds the unsettled remains of Chornobyl’s Unit Four reactor, which melted down in the infamous 1986 accident.
Qu'est-ce que la "maladie du Nobel" ?
Si la conscience des conséquences négatives de la viande sur la santé et l’environnement progresse, les comportements peinent à suivre. La consommation d’animaux est toujours auréolée de prestige, particulièrement dans les classes populaires.
En diminuant l’humidité de l’air, l’accroissement de la sécheresse des sols provoqué par le réchauffement climatique pourrait rendre les vagues de chaleur plus supportables dans certaines régions du monde. C’est du moins ce que suggère une étude parue le 7 janvier dernier dans la revue Science Advances.
Le glyphosate fait encore parler de lui. Le pesticide le plus utilisé dans le monde, et particulièrement en France, est au centre d’une nouvelle recherche. L’étude publiée mercredi dans la revue Environmental Science and Pollution Research et menée sur 6 848 personnes partout en France métropolitaine et à la Réunion est sans équivoque : la quasi-totalité des urines analysées sont contaminées au glyphosate.

2021

Des sommets aux profondeurs. Après les microplastiques découverts mardi sur le Pic du Midi, dans les Pyrénées, voilà ces minuscules particules détectées dans nos selles. Et particulièrement lorsque l’on est atteint de troubles intestinaux. Comme le révèle le Guardian, une étude publiée dans la revue Environmental Science & Technology montre que les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin (MII) présentent 50% de microplastiques en plus dans leurs selles.
L'arsenic est naturellement présent dans le sol dans certains endroits mais une grande partie provient d'anciens sites industriels. Or, une exposition prolongée à l'arsenic présente des risques pour la santé. Êtes-vous concerné et comment se protéger ?


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