Valérie Masson-Delmotte

OA - Liste

2024

C’est la 2e fois cette année que l’Acropole, célèbre site archéologique d’Athènes, ferme l’après-midi pour cause de chaleur. « On voulait que notre fils voie ce lieu chargé d’Histoire », disent des touristes, chagrins. Athènes (Grèce), correspondance La mine des touristes était boudeuse mercredi 17 juillet devant les grilles d’entrée du site de l’Acropole d’Athènes. Le jour même, les autorités annonçaient que le site fermait ses portes entre 12 et 17 heures car le mercure a atteint les 39 °C. Arrivés sur zone en (...)
"Il fait une chaleur bouillante", souffle une touriste au pied de l’Acropole d’Athènes. Elle se trouve au milieu d’une foule de vacanciers venus visiter mercredi le site antique avant sa fermeture pour plusieurs heures en raison d’une nouvelle canicule qui frappe la Grèce.
Ce sont des chiffres surprenants qui ne devraient pas nous surprendre. L’air que nous respirons, en France comme en Chine, est moins pollué que celui qui noircissait les poumons de nos parents. La déforestation mondiale recule.
Dans "La Libre”, le président du MR a déclaré vouloir “gérer le pays comme des ingénieurs, pas comme des poètes”. Cette phrase véhicule la caricature de l’ingénieur technicien, dépourvu de sensibilité. Par ailleurs, elle implique que la société serait divisée en clans, en factions, en silos. Les ingénieurs n’ont pas le monopole de l’efficacité ni les poètes celui du verbe fou.
Plusieurs sites archéologiques athéniens ont fermé leurs portes au public ce jeudi aux heures les plus chaudes de la journée. La Grèce est confrontée à une première vague de chaleur caniculaire, avec des températures atteignant déjà 43 °C.
Le puits de pétrole de Nonville cristallise les oppositions, et pourrait notamment polluer les ressources en eau de 180 000 franciliens.
Les fondations des grandes villes de l’est de la Chine sont actuellement ébranlées, menaçant de plonger ces métropoles dans une crise imminente. Un nouvel examen révèle en effet que près de la moitié de ces cités, parmi lesquelles Pékin et Tianjin, sont confrontées à un affaissement alarmant principalement causé par l’extraction intensive des eaux souterraines et le poids accru des infrastructures urbaines. Cette tendance inquiétante risque d’exposer entre 55 et 128 millions de personnes vivant le long de la côte à des inondations et à des dommages irréparables d’ici 2120.
Les températures du week-end dernier, dignes d’un mois d’été, illustrent l’un des effets du changement climatique : un retour de la chaleur toujours plus précoce au printemps. Cette tendance s’observe notamment à Bordeaux et Strasbourg.
Alors que Nvidia détient au moins 80 % du marché mondial des puces d'intelligence artificielle, la multinationale américaine a annoncé lundi la sortie d’une nouvelle "superpuce". La puce B200, présentée comme encore plus puissante que la précédente (H100), devrait notamment permettre d’entraîner des modèles plus complexes ou encore d’accélérer le temps de prédiction de ChatGPT et consorts. Ainsi que de conforter le "quasi-monopole" de Nvidia dans ce secteur de la tech.
La collectivité présidée par l’écologiste Bruno Bernard dépose une assignation en référé contre Arkema et Daikin, demandant une expertise scientifique de grande ampleur afin d’objectiver l’effet des PFAS sur la qualité de l’eau, dont la métropole est gestionnaire.
Quel impact sur la biodiversité pour la giga-factory Northvolt Six au Québec ? La polémique illustre les difficultés de la transition.
Le magazine #Investigation de la RTBF revient à nouveau sur la problématique des broyeurs à métaux. Ils sont sept en Wallonie, dont un se trouve sur la commune d’Aubange. Après avoir été épinglé en 2021 déjà, c’est la pollution diffuse qui est à présent pointée du doigt. Il ne s’agit plus tant de celle émanant directement des cheminées des broyeurs mais plutôt de celle dégagée par la dispersion dans l’air des particules nocives lors du transport et de la manutention des métaux.

2023

Dans les glaciers des îles Svalbard, des chercheurs ont repéré des produits chimiques communément utilisés dans les écrans solaires. Ces résultats illustrent l’étendue de la propagation de substances potentiellement nocives pour l’environnement.
Le Sultan Al Jaber a suscité l'indignation après avoir remis en cause la véracité scientifique de l'effet positif sur le climat de la sortie des énergies fossiles.
Présidence d’un lobbyiste du pétrole, travailleurs migrants exploités, invitation de Bachar al-Assad : on vous présente en vidéo quatre raisons pour lesquelles la COP28, qui s’ouvre le 30 novembre, fait polémique.
Depuis quelques jours, une campagne publicitaire portée par l’Agence de la transition écologique (Ademe) autour de la sobriété provoque l’ire des acteurs du commerce, entraînant des désaccords jusqu’au sein du gouvernement.
Dans le cadre d’une thèse qui vient d’être récemment déposée1, je me suis consacré à étudier la pensée de quatre auteurs du XXe siècle, qui sont aujourd’hui considérés comme des « précurseurs de la décroissance »2. Quand bien même aucun d’entre eux – que ce soit Lewis Mumford (1895-1990), Günther Anders (1902-1992), Jacques Ellul (1912-1994) ou Ivan Illich (1926-2002) – ne se soit réclamé de la décroissance de son vivant, puisque le terme, avec toute sa charge polémique, ne s’est popularisé qu’à partir des années 2000. Mais il est vrai que leur critique radicale de la civilisation industrielle a inspiré des courants écologistes, certains révolutionnaires, tant à leur époque que de nos jours.
Ils sont les sentinelles du climat. En clôture du One Planet Polar Summit à Paris, premier sommet international consacré aux mondes polaires et glaciaires, vendredi 10 novembre, plusieurs engagements ont été pris pour la protection de la cryosphère et des paysages blancs.
Au premier jour du "One Planet Polar Summit" à Paris organisé par l'Élysée, des scientifiques du monde entier ont réclamé plus de moyens pour la recherche polaire face à la problématique de la fonte des pôles.
Des chercheurs et des scientifiques internationaux ont appelé mercredi à mieux financer la recherche polaire face à l'érosion accélérée des glaciers et des pôles, au premier jour du "One Planet Polar Summit" à Paris.Organisé par l'Elysée dans la lignée d'autres sommets sous la bannière "One Planet" ces dernières années, le rassemblement vise à partager les constats et les projections de la communauté scientifique sur la fonte des glaces, et proposer des recommandations aux gouvernements pour une meilleure protection des régions glaciaires et polaires.


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