Vincent Liégey

OA - Liste

2024

Plus de 300 scientifiques, dont des experts de l'ONU, qualifient de "climaticide" la stratégie de TotalEnergies, dans une tribune publiée dans Le Monde, alors que la quatrième major mondiale du pétrole tient son assemblée générale vendredi.
Le journal britannique « The Guardian » a interrogé 380 des plus grands scientifiques du climat. Selon la majorité d’entre eux, la température moyenne sur la planète va augmenter d’au moins 2,5 °C, avec des conséquences désastreuses. « Désespérée et brisée », « Nous vivons à l’ère des fous ! », « Je suis soulagé de ne pas avoir d’enfants, sachant ce que l’avenir nous réserve »… La plupart des scientifiques du climat interrogés par The Guardian ont une vision très pessimiste du futur. Dans cette enquête alarmante (en (...)
Etat des lieux scientifique, quiz pour tester vos connaissances, repères pour s'approprier les propositions des candidats: «Libé» publie une série en cinq épisodes imaginée par les chercheurs entrés en désobéissance civile pour le climat.
Face à l’urgence climatique, des scientifiques appellent les familles politiques à signer un accord préélectoral multipartite dans lequel elles s’engageraient à atteindre les objectifs de décarbonisation et de conservation de la nature.
Les scientifiques ont constaté “un véritable saut en termes d’anomalies de température mondiale entre 2022 et 2023”. Au-delà des concentrations de gaz à effet de serre records dans l’atmosphère et divers facteurs liés à la variabilité du climat, une petite partie de cet excès de chaleur n’est toujours pas expliquée. À quoi s’attendre alors pour 2024 ?
Inondations, chaleurs, incendies... De nombreux records climatiques ont été battus en 2023 en Europe, selon un bilan de Copernicus et de l’Organisation météorologique mondiale. L’inventaire, dévoilé par le climatologue Carlo Buontempo, est glaçant : « En 2023, l’Europe a affronté le plus grand incendie de forêt jamais enregistré, l’une des années les plus humides, des canicules marines extrêmes et des inondations dévastatrices généralisées. » Le 22 avril, une grande photographie de l’état du climat en (...)
« La défiance grandissante qui s’installe dans notre communauté vis-à-vis du pouvoir politique ne devrait étonner personne. [...] Comme scientifiques, nous pensons que ne pas participer à la légitimation de discours déconnectés du réel est une responsabilité éthique. » Le ton de la tribune est d’une virulence rare, de la part de scientifiques. Signée par 260 chercheurs, dont le climatologue Jean Jouzel, et publiée dans Le Monde le 18 avril, celle-ci dresse une liste implacable de l’inaction écologique (...)
La surchauffe des océans, qui ne cesse mois après mois de s’aggraver depuis un an, menace la vie marine et entraîne une humidité plus importante dans l’atmosphère, synonyme de conditions météorologiques plus instables, comme des vents violents et des pluies torrentielles.
Professeure émérite de physique de l'atmosphère et du climat à la Sorbonne, Katia Laval a contribué au développement du premier modèle climatique français. Invitée lundi dans La Matinale, elle souligne l'urgence de comprendre les variations brutales et les événements climatiques récents, inexpliqués par les modèles actuels.
A intervalle régulier, des publications apparaissent sur internet pour prétendre qu’un grand nombre de scientifiques...
La chaleur spectaculaire atteinte en 2023 dans l’atmosphère et les océans a surpris et inquiète une partie des chercheurs, qui ne parviennent pas à l’expliquer totalement, faisant redouter à certains l’entrée du climat dans un « territoire inconnu ».
L’Antarctique est-il proche d’un point de bascule, ce seuil menant à terme à une fonte massive et rapide, en raison du réchauffement climatique ? Ce scénario s’est en tout cas produit il y a 8000 ans, selon une nouvelle étude. Celle-ci “met en lumière la rapidité avec laquelle la glace de l’Antarctique pourrait fondre si les températures continuent de monter en flèche”, avertissent ses auteurs.
Mardi 5 mars 2024, le New York Times annonçait qu’à l’issue d’un vote, le collectif international de scientifiques chargés d’analyser les preuves éventuelles de l’entrée dans une nouvelle époque géologique se prononçait contre l’officialisation de l’entrée en Antropocène. Faut-il pour autant se débarrasser de cette notion, riche matière à penser pour d'autres disciplines et organisations ? C'est la question que pose Thomas Gauthier, responsable du dispositif pédagogique « Futurs Durables » à emlyon business school et contributeur régulier d'Usbek & Rica.
Les microplastiques sont partout, dans tous les environnements du globe. De cette triste réalité, les scientifiques ont voulu tirer profit, en les utilisant comme marqueur temporel pour dater les séries géologiques et notamment le début de l’Anthropocène. Problème : ces minuscules particules semblent avoir la capacité de migrer à travers des couches géologiques plus anciennes !
À l’initiative du réseau de chercheurs en sciences humaines et sociales travaillant sur les pesticides, 140 scientifiques s’insurgent contre le recul du gouvernement Attal sur le plan Ecophyto pour satisfaire les syndicats agricoles. Ils rappellent que la nocivité des pesticides est un fait scientifique.
Des scientifiques soulignent, dans une tribune au « Monde », combien la mise en pause du plan Ecophyto, annoncée le 1ᵉʳ février par le premier ministre, Gabriel Attal, contredit l’objectif de réduction de l’usage des pesticides.
La recherche sur les conséquences climatiques de la fonte des terres gelées du pergélisol, potentiellement dévastatrices, patine, faute de financements suffisants.
CDD à gogo, manque criant de postes... « On sent une lassitude chez les scientifiques », déplore Philippe Bousquet. Directeur d’un laboratoire climat et environnement, il s’élève contre la précarisation de la recherche.

2023

Angoisse, peur, sentiment d’impuissance, colère, culpabilité… De plus en plus de jeunes dans le monde sont profondément inquiets en raison de l’urgence climatique. Face à cette « crise de santé publique émergente » selon les experts, une des réponses est de sortir de l’isolement et de choisir sa façon de passer à l’action. Cette semaine, RFI vous emmène au contact de ceux qui, en France, ont transformé leur éco-anxiété en action : ce jeudi 28 décembre, l'exemple des scientifiques qui documentent l'effondrement de la biodiversité et la crise climatique.
La COP28 récemment réunie à Dubaï a fait l’objet d’amples débats autour de la nécessité d’engagements des États de sortir des fossiles, en plus du respect des engagements de réduction des émissions de carbone pris après l’accord de Paris de 2015. Les militants du climat proposent de mettre en place des mécanismes contraignants ciblant les exploitations de charbon, de pétrole et de gaz dans tous les pays disposant de ressources, sans tenir compte des responsables des émissions directes de CO2 que sont les consommateurs de fossiles.
Des scientifiques genevois et français sont parvenus à simuler de manière complète l’emballement de l’effet de serre, qui peut rendre une planète totalement inhabitable. Sur Terre, une élévation de quelques dizaines de degrés suffirait.
(SARS-CoV-2) - Le médecin généraliste basé à Charleroi, Marc Jamoulle, et un immunologiste de l'Institut Rega de la KU Leuven, Johan Van Weyenbergh, ont mené une étude démontrant la persistance du SARS-CoV-2 dans l'organisme des personnes atteintes de Covid de longue durée, a-t-on appris lundi.
Les pays développés de l'OCDE doivent abandonner toutes les énergies fossiles d'ici 2040, et le reste du monde d'ici 2050, selon une réévaluation de climatologues réputés, qu'ils ont adressée vendredi au patron de l'ONU et à l'ONU Climat, en pleines négociations de la COP28.Cette note, consultée par l'AFP, conclut à la nécessité d'adopter un tel calendrier, plus serré que prévu, si le monde veut limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle, coeur des négociations qui se tiennent à Dubaï jusqu'au 12 décembre.
Plus d’un millier de scientifiques spécialistes du climat exhortent le public à devenir des activistes Nous avons besoin de vous », déclare Scientist Rebellion, qui comprend les auteurs des rapports du GIEC sur les changements climatiques, alors que les diplomates se réunissent dans le cadre de la Cop28.
L’Académie du Climat et CNRS Editions ont convié à une table ronde animée par Juliette Nouel Christophe Cassou, David Chavalarias, Valérie Masson-Delmotte et Magali Reghezza-Zitt autour du livre « Tout comprendre (ou presque) sur le climat », médaille de la médiation scientifique du CNRS 2023,. De nombreuses questions ont été abordées : quels bénéfices du livre en termes de lutte contre le scepticisme et le déni ? Ces progrès sont-ils durables, notamment sur les réseaux sociaux ? Comment la situation évolue-t-elle ? Comment lutter contre « les mercenaires de l’intox » sans entrer dans leur jeu ? Y a-t-il des terrains d’engagement encore inexplorés…?
Il est "désormais inévitable" que le seuil de 1,5°C de réchauffement de la planète soit dépassé "de manière constante sur plusieurs années" et il y a une chance sur deux pour que cela arrive dans seulement sept ans, ont alerté mardi les scientifiques du Global Carbon Project, qui appellent à agir.Selon cette étude de référence présentée à la réunion de l'ONU sur le climat à Dubaï, les émissions de CO2 produites par l'utilisation du charbon, du gaz et du pétrole dans le monde pour se chauffer, s'éclairer ou rouler devraient en effet franchir un nouveau record en 2023.
Il est "désormais inévitable" que le seuil de 1,5°C de réchauffement de la planète soit dépassé "de manière constante sur plusieurs années" et il y a une chance sur deux pour que cela arrive dans seulement sept ans, ont alerté mardi les scientifiques du Global Carbon Project, qui appellent à agir.
Il est "désormais inévitable" que le seuil de 1,5°C de réchauffement de la planète soit dépassé "de manière constante sur plusieurs années" et il y a une chance sur deux pour que cela arrive dans seulement sept ans, ont alerté mardi les scientifiques du Global Carbon Project, qui appellent à agir.Selon cette étude de référence présentée à la réunion de l'ONU sur le climat à Dubaï, les émissions de CO2 produites par l'utilisation du charbon, du gaz et du pétrole dans le monde pour se chauffer, s'éclairer ou rouler devraient en effet franchir un nouveau record en 2023.
La COP28 est une mascarade que les scientifiques refusent de cautionner. Les scientifiques en rébellion ont tenu à Bordeaux une contre-COP.
‘We need you,’ says Scientist Rebellion, which includes authors of IPCC reports on climate breakdown, as diplomats meet for Cop28
Le collectif Scientifiques en rébellion organise une COP alternative à Bordeaux afin de dénoncer l’échec de la gouvernance climatique mondiale et d’inventer de nouveaux imaginaires.
Désabusé face aux « échecs » successifs que représentent pour eux les COP, le collectif Scientifiques en Rébellion organise dans plusieurs pays des « COPalternatives » visant à valoriser le pouvoir du militantisme. En parallèle de la COP28 qui se déroule à Dubaï, les initiatives françaises culminent ce week-end à Bordeaux pour une contre-COP mêlant débats, performances artistiques et actions de désobéissance civile. 
Réunis dans le sud-ouest de la France jusqu’à dimanche en parallèle du sommet mondial sur le climat aux Emirats arabes unis, les scientifiques en rébellion donne à voir et à penser à un public en quête de réflexion et de mobilisations.
Huit scientifiques et activistes ont été jugés le 30 novembre à Paris pour avoir occupé le Muséum national d’histoire naturelle en 2022. L’affaire a été mise en délibéré et le jugement sera rendu le 15 janvier.
Changer de COP. Alors que s’est ouverte, jeudi, la 28ème conférence des Nations Unies (COP28) sur le climat à Dubaï, une alter COP, organisée par le collectif Scientifiques en Rébellion, a installé ses quartiers à Bordeaux.
La COP 28 aura lieu cette année à Dubaï. Cette nouvelle COP interroge, tant par le fait que l’événement soit présidé par le patron de la plus grande entreprise d’énergies fossiles des Emirats arabes unis, le Sultan Ahmed Al-Jaber, que par l’annonce d’Abou Dhabi prévoyant d’augmenter sa production de barils de 25 % d’ici à 2027.
Alors que les États membres de l'Union européenne n'ont pas réussi à trancher sur la ré-approbation ou non du glyphosate le mois dernier, un comité d'appel doit à nouveau se pencher sur la question jeudi. À cette occasion, près de 300 scientifiques belges et néerlandais ont rappelé mercredi à leurs gouvernements, qui se sont abstenus lors du dernier vote, que rien
C’est la glace. Les plus grand·es spécialistes de la cryosphère sont réuni·es au One Polar Summit, du 8 au 10 novembre à Paris, pour proposer leurs recommandations aux gouvernements afin de mieux comprendre les zones glaciaires terrestres et ralentir la fonte des glaces.
Des chercheurs et des scientifiques internationaux ont appelé mercredi à mieux financer la recherche polaire face à l'érosion accélérée des glaciers et des pôles, au premier jour du "One Planet Polar Summit" à Paris.Organisé par l'Elysée dans la lignée d'autres sommets sous la bannière "One Planet" ces dernières années, le rassemblement vise à partager les constats et les projections de la communauté scientifique sur la fonte des glaces, et proposer des recommandations aux gouvernements pour une meilleure protection des régions glaciaires et polaires.
La disparition de ces barrages naturels a des effets importants sur les glaciers, dont les points d’ancrage au sol reculent et qui déversent plus de glace qu’auparavant.
15 000 scientifiques issus de 161 pays différents alertent que les signes vitaux indiquant l’habitabilité de notre planète se sont dramatiquement détériorés.
Combien de CO2 l'humanité peut-elle encore émettre si elle veut tenir les objectifs de l'accord de Paris? Une nouvelle étude montre qu'il reste sans doute moins de temps que prévu pour limiter les émissions et le réchauffement, tout en soulignant les incertitudes entourant cette question.
La fonte des glaces de l'Antarctique occidental devrait s'accélérer considérablement au cours des prochaines décennies et pourrait augmenter le niveau des mers, même si le monde respecte ses engagements pour limiter le réchauffement climatique, selon une étude publiée lundi 23 octobre.
En état de cierge. En 2023, les indicateurs utilisés pour mesurer les crises écologiques s’affolent et l’humanité n’en fait toujours pas assez pour combattre le réchauffement climatique, alerte un groupe de scientifiques.
Dans deux publications séparées, une coalition de chercheurs et l’ONU avertissent que nos conditions de vie risquent de basculer à cause du changement climatique en cours et appellent à un sursaut collectif pour éviter le pire.
« La vie sur la planète Terre est en état de siège », écrivent des scientifiques, qui préviennent que « nous entrons dorénavant dans une zone inexplorée ». Dans un article publié le 24 octobre dans la revue BioScience, une équipe internationale de chercheurs lance un nouveau cri d’alarme sur l’état écologique général de la planète et sa viabilité pour le vivant.
Une mise à jour du rapport mondial des scientifiques sur le climat, publié en 2020 et cosigné par plus de 15 000 climatologues de 163 pays, met en évidence les dangers auquel les changements climatiques nous exposent.
Selon une étude parue dans la revue Nature Climate Change, rien n’empêchera la fonte glaciaire du pôle Sud. Un processus qui ne pourra plus être inversé, même en respectant la limite de 1,5 degré de l'Accord de Paris.
Les émissions mondiales de dioxyde de carbone, essentiellement dues à la combustion des énergies fossiles et à l'origine du réchauffement de la planète, devraient augmenter d'environ 1% pour atteindre un nouveau record en 2023, ont annoncé mardi des scientifiques dans une étude préliminaire.
Le glyphosate augmente-t-il le risque de cancers ? C’est la question qui divise l’OMS et l’Autorité européenne de sécurité des aliments. On vous explique pourquoi, alors que l’UE vient de refuser de reconduire pour dix ans l’autorisation de cet herbicide.
Le biologiste Marc-André Selosse, président du collectif Biogée, défend l’urgence à faire des sciences du vivant l’affaire de tous.
Face à l’urgence absolue de la situation, de plus en plus de scientifiques ont décidé de se rebeller et d’agir en accord avec les alertes écologiques qu’ils lancent, souvent en vain, depuis des années. Si cet engagement de la science dans le débat public n’est pas nouveau dans l’histoire, le mouvement interpelle par son ampleur et sa détermination. Avec un mode d’action de plus en plus répandu : la désobéissance civile. On pourrait dire que tout a commencé en septembre 2020 avec le lancement de Scientist Rébellion, mouvement international qui regroupe désormais des milliers de scientifiques. Mais en réalité, quelques mois plus tôt déjà, en février 2020, 1000 scientifiques français appelaient à la rébellion dans une tribune au Monde. Dans la foulée, le mouvement français Scientifiques en rébellion voit le jour. Depuis, il est de plus en plus fréquent de voir sur les réseaux sociaux ou dans les médias des scientifiques en blouse blanche prendre part aux actions de désobéissance civile pour alerter l’opinion pub
Les émissions de CO2 continuent d’augmenter. L’urgence appelle une action collective rapide et efficace pour décarboner notre monde industrialisé. Bâtissons un centre de recherche scientifique européen en lien direct avec l’industrie. À l’image de l’investissement américain qui a mis au point la première bombe atomique.
Alors que Thomas Brail est en grève de la faim depuis 33 jours, des scientifiques prennent la parole pour le soutenir. Ils rappellent l’absurdité climaticide du projet d’autoroute A69 contre lequel se bat le grimpeur.
Face à l’inaction des politiques, quand les tribunes et les alertes restent inaudibles, d’autres formes d’intervention doivent s’inventer. Par Virginie Maris, philosophe.
Des chercheurs au Japon ont confirmé avoir trouvé des microplastiques dans les nuages, et leur présence pourrait modifier le climat de façons encore mal comprises.
Hasard du calendrier ou pas, au moment où Thomas Brail, le défenseur des arbres, est délogé à Paris, 200 scientifiques du collectif toulousain Atécopol publient une tribune dans Mediapart. Ils demandent l'arrêt immédiat des...
L’interminable controverse sur les dangers du glyphosate, entre les agences réglementaires et les institutions scientifiques, nourrit le relativisme et la défiance, estime Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Les auteurs d'une étude, publiée lundi dans la revue PNAS, ont recensé l'extinction de 73 genres. Ce phénomène aurait dû prendre 18 000 ans, et non 500.
Avec la disparition rapide de nombreuses espèces animales, les humains provoquent la perte de branches entières de l'"arbre de la vie", selon une nouvelle étude publiée lundi, qui alerte sur la menace d'une sixième extinction de masse.
L’appel «contre un nouveau programme nucléaire» lancé en juin a récemment dépassé les 1 000 signatures de professionnels des sciences, dont une part infime travaille sur le nucléaire. Il est soutenu par une vingtaine de parlementaires.
La croissance du PIB ne permettra pas la préservation d’une Terre viable, révèle une étude d’envergure. La croissance durable étant impossible, il faut adopter une économie post-croissance, estiment les scientifiques.
Alors que la mer Méditerranée et l’Atlantique Nord connaissent des records de chaleur, une zone dans l’océan Pacifique se refroidit, depuis maintenant trente ans. Un mystère que les scientifiques s’échinent à comprendre pour évaluer au mieux l’impact de cette “langue froide”, qui pourrait faire basculer notre avenir climatique.
Alors que les effets du réchauffement climatique se font de plus en plus sentir en France et dans le monde, les détracteurs de la science accentuent leurs attaques contre les experts du climat. Notamment sur X, anciennement appelé Twitter.
Insultes, caricatures, montages… Sur les réseaux sociaux, les climatosceptiques ne prennent pas de vacances. Ils ciblent scientifiques et vulgarisateurs, qui se demandent comment faire face.
Alors que les budgets consacrés à cette technique pour provoquer la pluie, pratiquée depuis 2020, ne sont pas rendus publics, les chercheurs demandent une évaluation scientifique du rapport coûts-bénéfices.
A partir de ce lundi, des chercheurs se réunissent en Australie pour évoquer la diminution rapide voire irréversible de la superficie de la banquise. Jamais, depuis le début des relevés, une surface aussi petite qu’en 2023 n’avait été mesurée. Ce phénomène pourrait créer une spirale infernale accélérant le réchauffement climatique et la montée du niveau des mers.
Les “oscillations” mystérieuses de particules subatomiques, observées dans l’accélérateur de particules américain Fermilab, suggèrent l’existence d’une cinquième “force” naturelle, jusqu’alors inconnue.
L'Antarctique subit des changements climatiques majeurs. Ces perturbations inédites menacent l'équilibre global et l'écosystème marin.
les scientifiques du climat sont horrifiés et exaspérés par les prévisions mondiales. Par 7 experts du Climat - Alors que l’hémisphère nord brûle, les experts ressentent une profonde tristesse – et du ressentiment – en redoutant ce qui attend l’été australien. Le Guardian Australia a demandé à sept éminents climatologues de décrire ce qu’ils ressentent alors qu’une grande partie de l’hémisphère nord est engloutie par des vagues de chaleur torrides et qu’un certain nombre de records climatiques terrestres et océaniques mondiaux sont battus.
Des chercheurs de l’Université de Chicago ont mis au point des modèles d’IA capables d’anticiper les futures avancées scientifiques.
Le lac Crawford, près de Toronto au Canada, a été choisi mardi comme le site de référence mondial du commencement de l'Anthropocène, cette nouvelle époque géologique caractérisée par l'impact de l'humanité sur la Terre que des scientifiques tentent de faire reconnaître officiellement.
A vue d'oeil c'est un minuscule lac comme il y en a des milliers au Canada. Mais ce qui se trouve sous la surface le rend hors du commun: l'exceptionnelle conservation de ses couches géologiques en fait la nouvelle référence mondiale de l'Anthropocène.
Canicules, tornades, tsunamis… La météo tend à s’intensifier à mesure que le réchauffement climatique gagne du terrain. Pointée du doigt par la série documentaire "Alerte météo", cette évolution de notre climat pourrait avoir des conséquences dévastatrices si des mesures ne sont pas prises rapidement.
Deux scientifiques belges spécialisés dans la communication, Wim Vermeulen et Inez Schoenaers de l’agence de communication Bubka, et le professeur Gino Verleye enseignant à l’UGent, à la VUB et à l’imec sont parvenus à déchiffrer le langage de la durabilité. Ils ont ainsi défini les six caractéristiques qui confèrent de la crédibilité aux communications d’entreprise en matière de durabilité destinées au grand public. Les recherches apportent une contribution de taille à la science de la communication internationale et ont été publiées la semaine dernière par Frontiers, l’une des plus importantes maisons d’édition de revues scientifiques au monde. L’article s’est vu attribuer la classification A1, la plus élevée qui soit.
Face à l’urgence climatique et à l’inaction politique, certains scientifiques sortent du labo et cherchent à se faire entendre autrement. La philosophe Bernadette Bensaude-Vincent et l’historien Steve Hagimont apportent leur éclairage.
Plus de 500 universitaires et scientifiques de France ont signé un appel visant à "refuser tout nouveau programme nucléaire", mettant en garde contre les dangers de cette énergie et remettant en cause sa pertinence pour limiter le changement climatique.Cet appel, publié par le média écologiste Reporterre, intervient alors que le gouvernement a décidé de relancer cette industrie et de construire dans les prochaines années six réacteurs EPR2 de nouvelle génération, avec une option pour huit supplémentaires.
Considérant les risques et les conséquences des installations nucléaires, plus de 200 chercheurs, universitaires et ingénieurs appellent à signer l’appel suivant à refuser le nouveau programme nucléaire.
L’agrochimie compte vaporiser des petits bouts de code génétique sur les champs afin d’éradiquer certains ravageurs. Ces nouveaux pesticides vont accélérer l’effondrement de la biodiversité, alertent scientifiques et ONG.
Des chercheurs basés aux Etats-Unis ont utilisé un outil de modélisation de la croissance des algues, en se concentrant sur quatre espèces qui pourraient être cultivées en pleine mer.
Les climatosceptiques canadiens accusent les écologistes et les autorités d’avoir allumé les feux qui ravagent le pays. Des scientifiques tentent de contrer ce discours.
 Cette déclaration date du 27 juin 2022 - Dans sa Déclaration mondiale sur le climat, l’organisation CLINTEL affirme qu'il n'y a pas d'urgence climatique et qu’elle s'oppose fermement à la politique néfaste et irréaliste de réduction nette des émissions de CO2 proposée pour 2050 : https://clintel.org/world-climate-declaration/ 1. La lettre compte 1 107 signataires, dont 28 ambassadeurs. La liste des ambassadeurs comprend Guus Berkhout, fondateur de CLINTEL, Viv Forbes, fondateur de Carbon Sense, Christopher Monckton, vicomte de Monckton, Richard Lindzen, ancien membre du Cato Institute, Jim O'Brien, fondateur du Irish Climate Science Forum, et l'auteur australien Ian Plimer. La page web qui héberge la lettre indique qu'un réseau mondial de plus de 1100 scientifiques et professionnels a préparé ce message urgent et que ce n'est pas le nombre d'experts mais la qualité des arguments qui compte.La lettre affirme également qu'il n'existe aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensif
Des scientifiques confrontés à une déferlante d'insultes voire de menaces sur Twitter quittent désormais le célèbre réseau social. Depuis la prise de contrôle par Elon Musk, le négationnisme climatique a bondi sur le réseau social.
Des scientifiques sont confrontés à une déferlante d'insultes voire de menaces sur Twitter. Des scientifiques confrontés à une déferlante d'insultes, voire de menaces, sur Twitter quittent désormais le réseau social, où le négationnisme climatique a bondi depuis sa prise de contrôle par Elon Musk. Peter Gleick, un spécialiste du climat et de l'eau suivi par près de 99 000 personnes sur Twitter, a annoncé le 21 mai qu'il ne publierait plus de messages sur la plateforme, l'accusant d'amplifier le racisme et le sexisme.
Des membres du collectif Scientifiques en Rébellion se sont invités à l’Assemblée Générale de la BNP pour dénoncer son impact environnemental.
Des militants pour le climat ont bloqué vendredi 12 mai le port du Havre pour dénoncer l’inaction climatique et le projet de terminal méthanier flottant porté par TotalÉnergies.
Distributeur de billets peinturluré de noir, ballon géant en forme de « bombe climatique », agences bancaires couvertes de tract… Le 10 mai, des dizaines de scientifiques à travers la France ont participé à des actions visant la BNP Paribas.
188 experts et scientifiques dénoncent le projet d’oléoduc en Ouganda dans une tribune au journal “Le Monde”.
La surface des mers a battu en avril son record annuel et se maintient depuis à des niveaux inédits: le phénomène, alarmant mais sans surprise pour les scientifiques, illustre surtout comment les activités humaines ont transformé les océans en "bombe à retardement" du réchauffement climatique.
Appel de scientifiques contre un nouveau programme nucléaire
« Il est urgent d’organiser la communauté scientifique mondiale autour de la défense d’un océan durable. » Les vœux d’Alain Schuhl, directeur délégué à la science au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), ont été entendus. Les 18 et 19 avril, à Bruxelles, la Maison Irène et Frédéric Joliot-Curie réunissait un grand nombre d’institutions scientifiques. Objectif : concrétiser la création du Panel international pour la durabilité de l’océan (Ipos).
Une décharge de déchets plastiques qui flotte et s'étale à la surface du Pacifique. Une image loin de faire rêver ... sauf pour certaines espèces de coquillages et d'anémones, qui y voient un lieu accueillant et un bon moyen de transport, révèle une étude parue lundi.
De plus en plus d’études trompeuses se glissent dans des revues scientifiques et remettent en cause le réchauffement climatique.
Yamina Saheb appelle à un changement de paradigme économique, indispensable pour faire face au changement climatique.
Huit chercheurs, un spécialiste du forage et un guide de montagne se lancent ce mardi 4 avril dans une course contre la montre pour sauver du réchauffement des siècles de données climatiques. Ils vont faire des carottages pendant 20 jours.
Alors que les députés doivent se prononcer sur la régulation des jets privés ce jeudi, un collectif de scientifiques appelle à s’en passer et à investir dans des moyens de transport moins carbonés comme le train.
Nous, scientifiques, soutenons les mouvements de résistances aux projets de méga-bassines. Sans utilité réellement prouvée, ces retenues à ciel ouvert menacent la préservation de l’eau et des écosystèmes, et freinent la transformation de notre modèle agro-économique face aux sécheresses actuelles et à venir. Plus de dialogue est nécessaire entre agriculteur·ice·s, citoyen·ne·s et institutions.
Ce week-end, les militants et militantes anti-bassines se retrouvent dans les Deux-Sèvres pour protester une nouvelle fois contre le projet de 16 réserves de substitution dans le département. Le débat qui confronte des citoyens,...
Ces derniers mois, les scientifiques ont commencé à prendre part au débat public de plus en plus fréquemment. Pour se faire entendre, ils ont manifesté leur inquiétude à l’égard de l’urgence écologique par un appel à la désobéissance civile lancé dans une tribune au Monde. Quelques jours plus tard, ces mêmes experts s’exprimaient à nouveau dans Collapsus, Changer ou disparaître ? Le vrai bilan sur notre planète. Quarante spécialistes se sont alors réunis afin de faire un diagnostic de l’état de l’environnement, avec pour objectif de sensibiliser l’opinion publique. La question est donc : pourquoi les scientifiques ont-ils décidé de s’impliquer dans le débat public ?
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) a publié, lundi, sa très attendue synthèse du sixième rapport d'évaluation sur les changements climatiques. Un document d'une trentaine de pages qui souligne les dégâts déjà causés par le réchauffement de la planète et la difficulté d'atteindre l'objectif de limiter la hausse des températures. Mais les travaux des scientifiques démontrent aussi que l'effort en vaut la peine, y compris économiquement.