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Après les inondations survenues fin juillet, le pays craint que de nouvelles pluies et des températures supérieures à la moyenne menacent la production agricole. Pyongyang est par ailleurs rétif à accepter toute aide extérieure, notamment celle du frère ennemi du Sud.
Le manque croissant de kérosène empêche les aéroports nippons d’assurer cent quarante vols supplémentaires par semaine, et ainsi de réaliser les aspirations touristiques du pays.
Le principal enjeu sur le site est l’extraction des près de 880 tonnes de combustible ayant fondu dans trois des six réacteurs, dont l’état précis n’est pas connu.
Les craintes liées à la pollution provoquent l’inquiétude des pêcheurs de la zone, mais aussi des pays voisins.
Quelque 60 % des 10 millions de tonnes de gaz extraites au large de l’île de l’Extrême-Orient sont achetés par les Japonais, ce qui couvre près de 10 % des besoins nippons.
