8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Le virus H5N1 continue de se répandre dans les élevages laitiers américains. Modérément inquiets, les scientifiques déplorent un manque de transparence qui permettrait de mieux contrôler le risque que ce virus d’origine animale mute et devienne transmissible entre humains.
La disparition de ces écosystèmes capables de piéger le CO₂ serait “catastrophique pour la nature et les populations”, alertent les experts qui ont mené la toute première évaluation des mangroves dans le monde.
Repenser radicalement le monde, se convaincre qu'ailleurs, demain, ce sera mieux ! Ce sont là des ambitions intemporelles par excellence. Étudier les utopies, c'est montrer comment elles ont évolué pour refléter les préoccupations des différentes époques, mais aussi interroger les utopies contemporaines. Ce livre

2023

L’élevage est à l’origine de 12% des émissions de gaz à effet de serre causées par les humains et son impact sur le climat s’aggravera si rien n’est fait puisque la demande mondiale en viande va augmenter, selon un rapport de la FAO.
Selon une synthèse scientifique menée par des chercheurs américains, il faudrait réguler l'utilisation du sel à l'échelle mondiale.
C'est la Maison blanche qui l'annonce.
Les activités humaines peuvent affecter les plantes, ce qui a des conséquences pour les populations humaines qui les consomment.
De plus en plus de travaux scientifiques documentent le rôle des élevages industriels dans la propagation des maladies. Ils sont un réservoir idéal pour développer des virus pathogènes transmissibles aux humains.
La hausse de la température planétaire menace l’équilibre du cycle de l’eau. Les bouleversements subis provoquent des effets dévastateurs et accentuent les risques d’une crise mondiale de l’eau, une menace pour l’humanité.
Lorsque l'on commence à s'intéresser aux enjeux écologiques, on prend rapidement conscience de l'importance de l'énergie comme facteur déterminant de l'impact des sociétés humaines sur son environnement. Le concept d'esclave énergétique vulgarisé par Jean-Marc Jancovici dans ses interventions en est l'une des illustrations marquantes. Qu'est-ce qu'un regard approfondi sur l'histoire des sociétés humaines par le prisme de l'énergie peut nous apprendre de plus ? Spoiler alerte : cela change radicalement notre manière d'approcher les questions de transition écologique ! De la révolution cognitive au développement de l'agriculture et jusqu'à la naissance de la religion du progrès, je vous propose de découvrir le rôle fondamental de l'énergie et ses implications sur nos futurs possibles en plongeant dans ce nouvel épisode de Ozé le podcast avec l'enseignant-chercheur Victor Court, auteur du livre L'emballement du monde.
Depuis sa naissance, le capitalisme fait l’objet de violentes attaques. Hier soupçonné d’être un instrument de domination, aujourd’hui accusé de détruire la planète, il s’adapte, se reformule. Et résiste.
Comment faire le lien entre des événements météorologiques extrêmes récents et le dérèglement climatique global causé par les activités humaines ? Entretien avec le chercheur au CNRS Robert Vautard, membre du réseau World Weather Attribution.
De notre alimentation à nos logements en passant par nos déplacements, l’énergie traverse l’ensemble des activités humaines. Une histoire mondiale des sociétés humaines par le prisme de l’énergie, du Paléolithique à nos jours.
La sécheresse de 2022 est bien une conséquence du changement climatique d’origine humaine. Un article scientifique paru le 16 février dans la revue Environmental Research Letters le confirme. Les chercheurs rappellent que « la sécheresse de 2022 a été associée à une anomalie anticyclonique persistante sur l’Europe occidentale ». Ils se sont demandé si le changement climatique perturbait la circulation atmosphérique et se sont servis pour cela des archives météorologiques. Ils ont comparé les phénomènes de (...)
Alors que cela fait plusieurs décennies que les climatologues tirent la sonnette d’alarme (le 1er rapport du GIEC date de 1990), le Président Emmanuel Macron se demandait il y a quelques semaines de savoir « Qui aurait pu prédire la crise climatique de cet été ? », en prétextant avoir dit cela pour insister que les changements climatiques observés cet été seraient pires que ceux prévus. Tout récemment, un article scientifique paru dans Earth System Dynamics suggérait qu’il faudrait considérer la fourchette haute des prévisions du GIEC pour être en accord avec les observations en France de ces deux dernières décennies. Par conséquence, il est tout à fait légitime de se poser la question : et si on sous-estimait les changements climatiques à venir ?