8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Inauguration d'une giga-usine à Belfort jeudi, après une autre à Bordeaux fin mai: une filière industrielle naissante de l'hydrogène vert prend forme en France malgré des ratés au démarrage et dans un contexte d'incertitude sur les choix énergétiques du pays après la dissolution surprise de l'Assemblée nationale.
La Cour internationale de justice a demandé vendredi à Israël de faire tout son possible pour protéger la population de Gaza des risques de génocide. L’instance onusienne n’a pas ordonné un cessez-le-feu, mais réclame le respect du droit international humanitaire. Une décision contraignante dont elle ne peut cependant pas contrôler l'application.

2023

Bon nombre des technologies propres nécessaires pour atteindre le scénario de 1,5 °C sont déjà techniquement disponibles. Toutefois, leur mise à l'échelle nécessitera d'énormes investissements supplémentaires en R&D. Découvrez comment l'élimination des risques peut soutenir le processus de mise sur le marché de technologies de pointe et avoir un impact significatif sur la réduction des émissions.
Cette publication examine les risques associés au rejet d'azote en excès dans l'environnement (changement climatique, appauvrissement de la couche d'ozone, pollution de l'air, pollution de l'eau, perte de biodiversité, détérioration de la qualité des sols). Le rapport examine également l'incertitude associée à la capacité de l'azote de passer d'un écosystème à un autre et de provoquer des « effets en cascade ». Outre une meilleure gestion des risques liés à l'azote au niveau local, il faut considérer les risques au niveau global liés à l’augmentation continue des concentrations d’hémioxyde d’azote et prévenir l’excès d’azote sous toutes ses formes en élaborant des stratégies efficaces au regard de leurs coûts pour toutes les sources. La publication fournit des indications sur l’utilisation des instruments de politique relative à l’azote et sur la manière d’assurer la cohérence avec des objectifs tels que la sécurité alimentaire, la sécurité énergétique et les objectifs environnementaux autres que la
Climatologue, Hervé Douville explique en quoi consiste le travail du GIEC, quelles sont ses certitudes - le réchauffement climatique et ses causes anthropiques - mais aussi la difficulté à travailler sur des modèles prévisionnels en vue de préparer l'avenir. Loin d'être un frein, ces incertitudes doivent servir de leviers pour l'action. Cet entretien s'inscrit dans le cadre du cycle de conférences organisé par Dario Mantovani au Collège de France, Lire les rapports du GIEC pour comprendre le monde qui (...)
Écrit par un ancien membre du gouvernement de Barack Obama, Steven E. Koonin, l’ouvrage remet en cause les conclusions des experts du climat. La régie publicitaire en charge de sa promotion justifie son apparition dans les gares parisiennes.

2022

La Déclaration de Politique régionale wallonne du 16 septembre 2019 indiquait la volonté du Gouvernement de Wallonie de mettre en place des outils de gestion des risques afin de pouvoir prévenir et réagir rapidement lors des crises et aussi d’aléas climatiques et sanitaires (p. 75). La DPR précisait également que des mesures seraient prises pour protéger les ressources en eau, notamment face aux risques de pollutions, au maintien et au développement des habitats naturels humides ou aux problèmes d’approvisionnement (p. 82). D’autres types de risques devaient également être anticipés comme les risques numériques et sanitaires (exposition aux ondes, p. 90), les risques menant à l’exclusion et à la pauvreté (p. 117), les risques chimiques (phytosanitaires, p. 118), etc. [1]
L’incertitude est, grossièrement, une situation subjective et/ou objective dans laquelle l’individu ne sait pas quelque chose et/ou ne sait pas tout au sujet de quelque chose. En raisonnant à la limite, on voit immédiatement que l’incertitude est fille de l’impermanence. Tout change tout le temps partout, il est donc impossible d’établir la moindre certitude sur rien. Une interprétation stricte du sens de la connaissance scientifique, de son caractère falsifiable, conduit à admettre que si demain tout ce que nous croyions savoir de plus ou moins certain sur le monde venait à être démenti par l’intervention fracassante d’un Dieu quelconque (deus ex machina), qui rebattrait toutes les cartes, modifierait toutes les lois de la physique, déplacerait tous les corps dans l’espace en remplaçant notre soleil et nos planètes voisines par d’autres, alors nous devrions nous incliner et reconnaître que nous ne savions strictement rien, et que notre incertitude était bel et bien totale depuis toujours.
À quels risques nos systèmes alimentaires sont-ils exposés ? Quelle est la robustesse des différentes filières alimentaires ? Quelles sont les régions les mieux armées pour absorber les chocs à venir et se réinventer ? Et, surtout, quelles sont les voies à explorer afin de bâtir un nouveau modèle alimentaire et gagner en résilience ?
L'ONU aimerait renouveler l'Initiative de la mer Noire en faveur des céréales pour un an.
Pourquoi la globalisation du monde oblige-t-elle à repenser la façon dont on gère les problèmes de notre temps (capitalisme, terrorisme...) ? Qu'est-ce que la planétarisation du monde ? Pourquoi parle-t-on de globalisation des risques ? Comment les gouverner ? Retrouvez l'intervention de Magali Reghezza dans le cadre de la Chaire Géopolitique du Risque. Magali Reghezza revient sur ce nouveau monde dans lequel nous vivons, produit de la rencontre entre globalisation, mondialisation et planétarisation...
Un arrêt des livraisons de gaz russe en Europe réduirait la valeur du PIB allemand de près de 5% entre 2022 et 2024, selon des prévisions du Fonds monétaire international (FMI) publiées mercredi, alors que Berlin craint un arrêt total des flux via le gazoduc Nord Stream. "Si l'on combine les effets directs, indirects et les incertitudes, la fermeture du robinet du gaz réduirait le PIB de 1,5% en 2022, de 2,7% en 2023 et 0,4% en 2024", par rapport à un scénario où l'Allemagne continue d'être approvisionnée en gaz, a indiqué l'institution dans un rapport.
L'Allemagne et avec elle l'Europe entrent lundi dans une période de grande incertitude sur la suite de leurs importations de gaz russe, déjà fortement réduites ces dernières semaines et qui pourraient bientôt se tarir complètement.
L'Inde a annoncé interdire les exportations de blé face aux vagues extrêmes de chaleur dans le pays.
Dans l'entrelacs de canalisations jaune vif qui sortent de terre, du gaz russe est acheminé en abondance mais la Bulgarie, sanctionnée par Moscou pour avoir refusé de payer en roubles, a désormais interdiction d'y toucher. En apparence, l'arrêt des livraisons par le géant Gazprom, le 27 avril, n'a pas changé grand-chose pour la station de compression d'Ihtiman, située à 60 km de la capitale Sofia. Le précieux produit continue à affluer. Seule différence, et de taille pour ce pays des Balkans dépendant à 90% du gaz russe, il se dirige désormais exclusivement vers la Grèce ou la Macédoine du Nord voisines.