8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2022

Les premiers 50°C de l’année 2021 dans le monde ont été relevés le 31 mai à Jacobabad et à Larkana, au Pakistan. En juin, cette barre des 50°C a été par la suite plusieurs fois dépassée dans diverses régions du globe et de nombreux records de chaleur sont tombés.
Une canicule exceptionnelle vient de toucher l’ouest canadien et le nord-ouest des États-Unis en cette fin juin 2021. De nombreux records de chaleur ont été battus, voire pulvérisés par endroits.
Le contenu en chaleur des océans a encore battu un record en 2021. Plus de 90% de l’excès de chaleur dû au réchauffement climatique est absorbé par les océans. Ces derniers fournissent actuellement la meilleure estimation du déséquilibre énergétique de la Terre.
La concentration atmosphérique de méthane a atteint un nouveau record, selon la NOAA. En 2021, l’augmentation des niveaux de méthane dans l’atmosphère a été de 17 ppb (parties par milliard), soit la plus grosse augmentation annuelle enregistrée depuis le début des mesures en 1983. En 2020, l’augmentation était de 15 ppb, et constituait déjà un record.
À la fin de l'été 2021, il avait plu pour la première fois sur les glaciers au centre du Groenland. L'événement avait alors été pointé du doigt pour avoir causé un retrait record des neiges et des glaces… Mais les données du satellite Sentinel-3A (Copernicus) montrent que le dégel était déjà avancé à cause des températures.
Quatre marqueurs clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, a indiqué l'ONU, prévenant que le système énergétique mondial conduit l\'humanité à la catastrophe.
Ce qui a fait de cette sécheresse des sols un évènement historique est à chercher du côté des températures qui ont accompagné le manque de pluie. L’anomalie thermique moyenne s’élève en effet à 2,8 °C, ce qui constitue un record. Autrement dit, jamais aucun autre épisode de sécheresse ne s’est produit avec des températures aussi élevées.
Les dix plus grandes catastrophes climatiques en 2021 dans le monde ont coûté 170 milliards de dollars, révèle un rapport d'une ONG britannique, publié ce lundi. C'est une hausse de 24% par rapport à 2020. Des chiffres records qui inquiètent les assureurs.
Au début du mois de mai, l’Inde et le Pakistan ont été confrontés à des températures record, atteignant les 50 °C. Ces pays étant déjà habitués à de fortes chaleurs, il n’en reste pas moins que celles-ci sont exceptionnelles et, sans surprise, liées au réchauffement climatique. Et donc, tant que nous ne changerons pas radicalement nos modes de vie, ces vagues de chaleur extrême ne sont pas près de s’arrêter.
À quel point va-t-on manquer d’eau ? Alors qu’en 1974 déjà, René Dumont, candidat à la présidentielle, nous alertait. La question est plus que jamais d’actualité. Les années se suivent et commencent dangereusement à se ressembler. Les températures atteignent des records historiques pour la saison et la sécheresse sévit en France depuis des mois. Début mai, 15 départements avaient déjà mis en place des restrictions d’eau face à la sécheresse. Les spécialistes alertent sur le fait que nous allons commencer l’été avec des réserves d’eau très basses. Alors comment s’adapter face au manque d’eau ? Comment préparer l’été alors que les scientifiques et les agriculteurs craignent le pire ? Quelles solutions s’offrent à nous pour limiter les dégâts, préserver notre sécurité alimentaire et tenter d’inverser la tendance ? Réponses dans cet entretien de Paloma Moritz avec Emma Haziza, hydrologue.
La France a battu un record de période de chaleur au printemps avec désormais 40 jours consécutifs au-dessus des normales saisonnières.
Trente-huit jours consécutifs au-dessus des normales saisonnières: la France a enregistré un record printanier de chaleur, battant la série de 37 jours consécutifs datant d'avril-mai 2020, indique jeudi Météo-France. Et "avec les températures attendues au moins jusqu'à samedi, ce record est appelé à être encore battu", prévient l'établissement public.
Le pays subit actuellement une vague de chaleur record attribuée au changement climatique. Les températures pourraient atteindre les 50°C par endroit dans les prochains jours.
L’Organisation météorologique mondiale (OMM), dans son rapport intitulé « Etat du climat mondial en 2021 » prévient, mercredi 18 mai, que le système énergétique mondial conduit l’humanité à la catastrophe. Quatre marqueurs-clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, mentionne le document : les concentrations de gaz à effet de serre, l’élévation du niveau de la mer, la température et l’acidification des océans. « Notre climat change sous nos yeux », a déclaré le chef de l’OMM, Petteri Taalas.
Quatre marqueurs clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, a indiqué mercredi l'ONU, prévenant que le système énergétique mondial conduit l'humanité à la catastrophe. Les concentrations de gaz à effet de serre, l'élévation du niveau de la mer, la température et l'acidification des océans ont tous établi de nouveaux records l'année dernière, a déclaré l'Organisation météorologique mondiale (OMM) dans son "Etat du climat mondial en 2021".
What else is new? Hotspots are getting hotter. The major hotspot in April stretched from Iraq to India and Pakistan, and toward the northeast through Russia (Fig. 1). Temperature exceeded 45°C (113°F) in late April in at least nine Indian cities,[1] on its way to 50°C (122°F) in Pakistan in May,[2] where a laborer says “It’s like fire burning all around” and a meteorologist describing growing heatwaves since 2015 says “The intensity is increasing, and the duration is increasing, and the frequency is increasing.” Halfway around the world, Canada and north-central United States were cooler than their long-term average, but people in British Columbia and northwest United States remember being under their own record-breaking hotspot last summer.
Le pays connaît depuis fin avril des chaleurs record, dont l’Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies a estimé qu’elle était « cohérente » avec le changement climatique.
L'Inde prévoit de mettre en location des mines de charbon abandonnées auprès de compagnies minières, en vue de soutenir une production qui peine à faire face aux conséquences d'une vague de chaleur record dans le pays, a annoncé vendredi le gouvernement indien. Au total, le gouvernement prévoit de louer plus de 100 mines de charbon publiques dormantes à des sociétés minières privées sur la base d'un partage des revenus. Les dirigeants indiens se sont ainsi dits prêts à simplifier les démarches administratives pour encourager les offres de géants miniers tels que Vedanta, Adani et d'autres.
"C'est le serpent qui se mord la queue". L'Inde, qui subit une vague de chaleur historique liée au changement climatique, va augmenter sa production de charbon à des niveaux records. Entre les restrictions liées au Covid-19, les problèmes de logistique et une demande qui explose... l'approvisionnement ne suit plus. Aujourd'hui le charbon représente 70 % de la production électrique du pays.
Une analyse comprenant plusieurs milliers d’échantillons d’air prélevés dans le monde en 2021 montre que la concentration en méthane a connu une hausse sans précédent. De son côté, le dioxyde de carbone enregistre sa cinquième plus forte hausse depuis le début des mesures systématiques.
Selon les projections climatiques, le climat belge pourrait se réchauffer considérablement, avec de nouveaux records en vue.
Des coupures d'électricité en Inde et au Pakistan ont aggravé, vendredi, les conditions de vie de millions d'habitants, déjà accablés depuis plusieurs semaines par une vague de chaleur record que les experts lient au changement climatique.
Une vague de chaleur record s'est abattue sur l'Inde et le Pakistan, provoquant des coupures d'électricité et des pénuries d'eau pour des millions d'habitants qui devraient subir cette fournaise de plus en plus fréquemment à l'avenir, selon des experts du changement climatique.
Températures et précipitations record, sécheresses, incendies… 2021 a été l’année des extrêmes en Europe, selon le nouvel "État du climat" du programme Copernicus. Qui souligne que les émissions de gaz à effet de serre montent toujours.
La banquise antarctique a atteint à la fin de l’été austral, en février, son niveau le plus bas depuis 44 ans, selon une étude publiée mardi, alors que l’Antarctique semblait jusqu’à présent mieux résister au changement climatique que l’Arctique.
La banquise en Antarctique a fondu comme jamais depuis 44 ans, alerte une étude publiée dans la revue "Advances in Atmospheric Sciences".
Des records quotidiens de température ont été battus en Antarctique au mois de mars, signale jeudi Copernicus, le service environnemental de l'Union européenne.
Nouvelle illustration du changement climatique : le mois de mars qui s'achève en Inde est le plus chaud enregistré depuis 122 ans. Des températures records ont été enregistrées jusque dans l’Himalaya alors que les pluies se sont faites particulièrement rares.
Les émissions mondiales de dioxyde de carbone ont largement augmenté en 2021, après la baisse record de 2020 due aux confinements. Un rebond en partie dû à l’électricité, l’industrie et les transports terrestres.
Appelée «Conger», cette plateforme de glace s’est effondrée mi-mars, alors que les températures du pôle Sud atteignaient des records de chaleur. Cette fonte est l’un des évènement les plus significatifs en Antarctique depuis 20 ans.
Avec la fin de l’été austral, l’Antarctique connaît habituellement une chute rapide des températures, pour s’établir aux alentours de -48 °C. Depuis quelques jours, le continent enregistre pourtant des températures record, avec un pic à 40 °C au-dessus des normales de saison les 18 et 19 mars.
Les émissions mondiales de CO2 ont atteint leur plus haut niveau historique en 2021, indique l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans un nouveau rapport publié ce 8 mars(1). Une hausse de plus de 2 milliards de tonnes de CO2 des émissions annuelles Les émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie se sont élevées à 36,3 milliards de tonnes (Gt) selon l’AIE. C’est 6% de plus qu’en 2020 (avec une hausse annuelle de plus de 2 Gt desdites émissions, un record) - année perturbée par la pandémie de Covid19 - mais également le plus haut niveau annuel jamais mesuré.
Des températures très élevées sont enregistrées dans l’hémisphère sud, où c’est l’été austral. Ces records sont le signe du réchauffement climatique. Et entraînent des conséquences multiples.
Une production record de charbon en Chine est annoncée pour 2021, quelques semaines seulement après la COP26 à Glasgow, où les discussions se sont soldées par des désaccords sur l’engagement à abandonner le combustible.
Ces sept dernières années (2015 - 2021) ont été les plus chaudes jamais enregistrées même si le phénomène météorologique de la Niña a temporairement fait baisser les températures l'année dernière, confirme mercredi l'Organisation météorologique mondiale.
2021 ne restera pas dans les mémoires comme l'année la plus chaude jamais enregistrée. Pas dans l'atmosphère au moins. Mais dans les océans se joue un tout autre scénario. Les chercheurs nous confirment aujourd'hui qu'ils ont été, l'année dernière, plus chauds que jamais.
Une chaleur étouffante s'abat dans l'hémisphère sud, de la côte ouest de l'Australie jusqu'à l'Argentine, en passant par l'Uruguay où un nouveau record vient d'être battu. Les températures dépassent la barre des 40°C, voire même des 50°C comme ce fut le cas en Australie, menaçant la santé des populations, l'approvisionnement en eau et en énergie ou encore l'agriculture.
Les températures océaniques viennent de battre un nouveau record pour la sixième année consécutive. Dans le monde entier, la température des océans augmente à un rythme effréné alors que l’homme continue de modifier l’atmosphère qui les entoure. En 2021, selon une nouvelle synthèse de deux ensembles de données internationaux, la vague de chaleur dans nos océans a atteint un nouveau pic, éclipsant l’influence des épisodes régionaux plus frais.
« C’est la température la plus chaude jamais enregistrée en Australie depuis soixante-deux ans », a annoncé le Bureau de météorologie de l’Etat australien.
Une telle température n’avait pas été enregistrée dans le pays, et dans l’hémisphère Sud, depuis 1960.
Les records de températures élevées devraient être battus cette fin de semaine en Argentine, en Uruguay et dans le sud du Brésil. A Buenos Aires, la forte demande en électricité provoque des coupures de courant.
LArgentine, le sud du Brésil, lUruguay et le Paraguay sont confrontés à des températures caniculaires cette semaine. La barre symbolique des 50 °C sera peut-être atteinte ou frôlée ces jours-ci.
Les records de chaleur, mais aussi de froid, se sont multipliés aux États-Unis au cours de l’année passée. Pour le New York Times, ces extrêmes donnent “une image frappante du changement climatique”.
Concentration record de gaz à effet de serre au niveau mondial, étés les plus chauds jamais enregistrés, événements extrêmes, les données climatiques de 2021 publiées par le programme européen d’observation de la Terre ont de quoi inquiéter.
Les sept années de 2015 à 2021 ont été de façon "nette" les plus chaudes jamais enregistrées, confirmant l'avancée du réchauffement climatique avec des concentrations record de gaz à effet de serre, a annoncé lundi le service européen Copernicus d'observation de la Terre.
Après des fêtes de fin d'année marquées par des températures particulièrement douces, la neige et le froid prennent désormais le relais. Dans le Colorado, à l'ouest des États-Unis, frappé depuis plusieurs années par une sécheresse exceptionnelle, des dizaines de milliers de personnes ont dû fuir leurs maisons en fin d'année, chassées par des flammes qui ont tout détruit en un temps record. Le lendemain, c'est la neige, tombée brutalement, qui a stoppé la catastrophe. "Des familles n’ont eu que quelques minutes pour mettre tout ce qu’elles pouvaient - leurs animaux, leurs enfants - dans la voiture et partir", a déclaré le gouverneur de l’État Jared Polis lors d’une conférence de presse. Cela s’est produit "en un clin d’œil".
À l’heure de la décarbonation, jamais le monde n’a produit autant d’électricité à partir de houille ou de lignite. La tendance va se poursuivre.

2021

C’est sur l’île de Kodiak, située au sud de l'Alaska, que ce record a été établi. A cause du réchauffement climatique, les scientifiques craignent une augmentation des précipitations extrêmes et des conséquences dramatiques pour les autochtones.
Après un été bouillant, voilà que l’hiver aussi se réchauffe au cercle polaire. Si les records de chaleur ne sont pas battus, le dérèglement climatique continue de faire grimper le mercure en flèche.
Les scientifiques ont pour habitude de qualifier l'Himalaya de « troisième pôle ». Parce que ses glaciers renferment la troisième plus grande quantité de glace au monde. Et aujourd'hui, des chercheurs nous révèlent que, sous l'effet du réchauffement climatique anthropique, ces glaciers fondent à une vitesse record. Menaçant notamment l'approvisionnement en eau de millions de personnes.
La demande de charbon, première source d'émissions de CO2, pourrait atteindre de nouveaux records historiques dès 2022 après une forte hausse cette année, a mis en garde l'Agence internationale de l'énergie (AIE) vendredi.
La Sibérie a vécu cette année les pires incendies de forêt de son histoire. Maisons détruites, air pollué, confinement... Les conséquences ont été rudes pour les habitants. Mondialement, c’est le record de gaz à effet de serre qui inquiète.
L'Organisation météorologique mondiale a validé mardi le record de température de 38° Celsius (100,4° Fahrenheit) pour l'Arctique atteint dans la ville russe de Verkhoïansk le 20 juin 2020, un nouveau "signal d'alarme sur le changement climatique".
Cette température a été enregistrée à Penticton, en Colombie-Britannique, province la plus à l’ouest du Canada, où se succèdent des événements météorologiques extrêmes.
Selon ses estimations, 274 millions de personnes (soit un Terrien sur 29) auront besoin d’assistance l’an prochain, en hausse de 17 % par rapport à 2021 – qui constituait déjà un record. A travers une trentaine de plans d’actions couvrant 63 pays, l’ONU et ses partenaires espèrent venir en aide à 183 millions d’entre elles. Et lancent, pour ce faire, un appel inédit de 41 milliards de dollars (36 milliards d’euros).
Emerging ice-sheet modeling suggests once initiated, retreat of the Antarctic Ice Sheet (AIS) can continue for centuries. Unfortunately, the short observational record cannot resolve the tipping points, rate of change, and timescale of responses. Iceberg-rafted debris data from Iceberg Alley identify eight retreat phases after the Last Glacial Maximum that each destabilized the AIS within a decade, contributing to global sea-level rise for centuries to a millennium, which subsequently re-stabilized equally rapidly.
October global temperature was close to an October record for the 1880-2021 period of near-global instrumental data (Fig. 1, left), despite the cooling effect of a fairly strong, double-dip La Nina (Fig. 1, right). The October global temperature – the 4th warmest October in the period 1880-present – was +1.23°C relative to 1880-1920.
La déforestation en Amazonie brésilienne a atteint 877 km2 en octobre, un record pour ce mois de l'année depuis cinq ans, selon les données officielles publiées vendredi, tandis que le gouvernement Bolsonaro a annoncé des objectifs climatiques ambitieux à la COP 26.
Et en l'absence de ces changements, "le rebond a été encore plus fort que je ne pensais", abonde Glen Peters du Centre international de recherche sur le climat, autre auteur de l'étude. En l'état actuel, "nous pourrions nous attendre à voir les émissions croître de nouveau," explique-t-il à l'AFP, alors qu'avant la pandémie, les scientifiques espéraient que 2019 puisse marquer un pic d'émissions.
La crise du Covid n’aura été qu’une parenthèse pour le climat. Malgré les promesses de plans de relance «verts», les émissions mondiales de CO2, principal gaz à effet de serre, sont reparties de plus belle, laissant de moins en moins de temps pour contrer le réchauffement climatique, alerte une étude publiée ce jeudi.