8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2022

J’ai reproduit une interview de Serge Latouche parue dans le journal La Décroissance d’octobre 2022 (n° 193). Contrairement aux déclarations naïves d’un certain nombre d’éco-influenceurs se réjouissant des rationnements à venir qui seraient synonymes (selon eux) d’une « prise de conscience », dans le monde politique, des limites planétaires, Serge Latouche estime au contraire que ces discours sont de « l’enfumage ». L’historien des techniques et sciences Jean-Baptiste Fressoz a également démonté à maintes reprises ce mythe de la « prise de conscience » écologique[1], tout comme l’historien François Jarrige[2].

2021

Depuis quelques décennies de rhétorique électorale, on connaît bien la pente glissante qui, de l’extrême-gauche, fait insensiblement passer l’électorat populaire du côté de l’extrême-droite, bouclant ainsi la boucle. La « menace des extrêmes », tous réunis dans le même sac, sert ainsi de slogan pour dénoncer la stupidité politique des masses qui, ne comprenant rien à rien, se livrent au premier « populiste » ou « démagogue » venu… de la gauche ou de la droite – toutes deux également extrêmes.
Dans le champ de l’écologie politique, les "théories primitivistes" voient dans la révolution Néolithique « une rupture fondatrice et tragique qui nous a conduit au désastre en cours ». Elles considèrent le mode de vie des chasseurs-cueilleurs comme un exemple et une voie politique à suivre pour cesser définitivement ce désastre. P. Madelin explique ici pourquoi ces théories sont aussi des impasses