8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Les organisations internationales, nationales ou régionales recommandent fréquemment de prioriser la mine secondaire (valorisation des ressources métalliques contenues dans les produits mis au rebut) par rapport à la mine primaire (valorisation des ressources métalliques contenues dans les minerais). Dans ce cadre, la mine secondaire et les concepts associés sont régulièrement présentés comme un modèle alternatif permettant de maintenir les paradigmes socio-économiques actuels tout en réduisant la consommation de ressources et l’empreinte environnementale associée.
Boulimie minière: changer de régime ?
... les enjeux globaux liés à cette industrie de l'extraction minière ...
La première réunion du débat public sur l'ouverture d'une mine de lithium dans l'Allier par l'industriel Imerys se tiendra mardi à Moulins, a indiqué lundi la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) sur son site.Une quinzaine de réunions publiques sont prévues, avec un temps de lancement permettant de présenter le projet dans toutes ses composantes, un deuxième temps permettant de questionner les grands enjeux dans lesquels s'inscrit le projet, et un troisième temps permettant d'approfondir les questions.
Le métal rouge est d’autant plus convoité que la capacité de production et l’ouverture de nouvelles mines ne parviennent pas à couvrir l’explosion de la demande mondiale.
Alors que s’ouvre le débat public sur un projet minier dans l’Allier, le géographe Sébastien Bourdin éclaire les raisons de l’opposition des riverains face à l’arrivée d’infrastructures participant à «l’effort environnemental».
Utilisé principalement dans les réacteurs nucléaires, l'uranium est extrait dans plus d'une quinzaine de pays, dont la France.
Eric PIRARD is professor of Georesources at University of Liège and head of the GeMMe (Minerals Engineering, Materials and Environment) Department. He graduated as Geological Engineer and dedicated his Ph.D. to the development of mathematical morphology algorithms for particle shape analysis. Since more than twenty years he specialises in applying digital imaging to important issues in applied geology and geometallurgy: quantitative microscopy, microtexture analysis, on line quality control of agregates and cores, close and remote sensing of geological outcrops, etc.
The sunlight bids farewell to the mountains. The clouds hang in a sky tinged with pink and purple. The birds fly in flocks, returning to their trees. We, too, are returning home after another afternoon spent in the communal lands
L’accaparement des matières premières enfouies sous le sol ukrainien est à la racine d’un conflit où les voix des puissances nationales et industrielles priment sur celles des Ukrainiens. [2/2]
La transition écologique est très dépendante de métaux mais l’offre risque de ne pas pouvoir satisfaire la demande en forte croissance, entre autres limites liées à ces ressources.
Si la transition écologique est indispensable, certains aspects clés tels que la croissance économique ou les limites aux énergies renouvelables semblent trop peu réfléchis.
Sommes-nous tous responsables, à intensité égale, du dérèglement climatique ? Sommes-nous tous responsables du creusement des inégalités ? Certains discours tendent à le faire croire. Le concept d’anthropocène qui pénètre actuellement le débat public est de ceux-là. Il dépolitise les questions climatiques ou sociales. Le salut viendrait alors non d’une transformation du système économique, mais des « petits gestes » quotidiens d’un Être humain désincarné.
Face à l’urgence et à la gravité de la situation environnementale, il est évident que chaque acteur et secteur d’activité – y compris le secteur socio-culturel – a un rôle à jouer pour (tenter de) limiter le désastre. Mais il est tout aussi évident que les torts et les responsabilités ne sont pas équitablement partagées. Et surtout, que le problème est structurel, ce qui signifie que les solutions doivent l’être aussi. Or, les structures dominantes aujourd’hui ont un nom qu’il faut pouvoir prononcer : le capitalisme.