8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2022

Le gouvernement fédéral est bloqué quant à un nouvel accord de coopération sur la répartition des efforts climatiques entre les différentes entités du pays.
La diplomate Laurence Tubiana, l’une des architectes de l’accord de 2015 sur le climat, est l’invitée du nouvel épisode de notre podcast « Chaleur humaine ».
Les entreprises pétrolières sont tenues de respecter certains engagements dans le cadre des Accords de Paris. Une récente étude collaborative montre que ce n’est pas du tout le cas. Comme les constructeurs automobiles, les compagnies pétrolières peinent à respecter leurs engagements écologiques. C’est ce que montre l’étude Big Oil Reality Check, en référence au nom américain du lobby pétrolier. Pour cela, Oil Change International a ainsi travaillé avec 35 entreprises mondiales.
Un groupe indépendant d’anciens dirigeants de pays du Nord et du Sud, présidé par Pascal Lamy, recommandera une stratégie pour réduire les risques liés à une hausse supérieure à l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris.
L'accord de Paris vise à contenir l'augmentation de la température moyenne mondiale nettement en dessous de 2 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels, et si possible à 1,5 degré.
Il y a une chance sur deux pour que la température mondiale annuelle moyenne soit temporairement supérieure de 1,5°C aux valeurs préindustrielles pendant l'une des cinq prochaines années au moins, a indiqué l'ONU mardi. Un franchissement temporaire de ce seuil sur une année n'est toutefois pas synonyme d'un dépassement durable de ce seuil, au sens où l'entend l'Accord de Paris sur le climat. Cet accord vise à contenir l'augmentation de la température moyenne mondiale nettement en dessous de 2 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels et si possible à 1,5 degré.
Le dernier rapport du Giec sur les solutions au changement climatique consacre aussi une partie au coût que représenterait une action ambitieuse. Les experts sont formels : agir pour le climat, en restant sous la barre des 2°C de réchauffement, aurait des bénéfices économiques supérieurs au coût engendré. Depuis de nombreuses années, de nombreuses études démontrent l'intérêt économique à respecter l'Accord de Paris.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a été plus que clair le jour de l'ouverture des discussions des 195 Etats membres du Giec il y a deux semaines : la dépendance au pétrole, au charbon et au gaz est une "folie". "Nous marchons les yeux fermés vers la catastrophe climatique" et "si nous continuons comme ça, nous pouvons dire adieu à l'objectif de 1,5°C. Celui de 2°C pourrait aussi être hors d'atteinte", a-t-il insisté, en référence aux objectifs de l'accord de Paris.

2021

Si les Etats tiennent tous leurs promesses en matière de réduction des gaz à effet de serre, le réchauffement climatique sera tout de même bien au-delà des ambitions de l'accord de Paris, entraînant des phénomènes destructeurs sur toute la planète.
La COP26 a accouché d’un ensemble de décisions qui vont aider à la mise en œuvre de l’Accord de Paris. C’est un pas dans la bonne direction, c’est bien plus que du bla-bla, mais c’est très insuffisant. Parmi les points positifs, je vois : ...
Les décisions adoptées à la COP26, à Glasgow, vont aider à la mise en oeuvre de l'accord de Paris sur le climat, a souligné dimanche le climatologue Jean-Pascal van Ypersele (UCLouvain), estimant qu'il s'agit d'un "pas dans la bonne direction". "C'est bien plus que du bla-bla, mais c'est très insuffisant", résume-t-il.
Les 196 pays de la COP26 ont adopté samedi 13 novembre un accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement de la planète. Mais sans garantir le respect des objectifs de l’accord de Paris visant à limiter le réchauffement en deçà de 2 °C, ni répondre aux demandes d’aide des pays pauvres.
De nombreuses ONG ont exprimé leur déception à l'issue de la COP26 de Glasgow, samedi soir, jugeant l'accord décevant même s'il laisse une étroite fenêtre pour limiter le réchauffement climatique à +1,5°C, comme le prévoit l'accord de Paris.
Le dernier projet de décision invite les États parties à l'accord de Paris à relever leurs engagements de réduction d'émissions dès la fin 2022. Le texte, ce qui serait une première s'il était adopté, appelle à accélérer la sortie du charbon (sans technique de capture du carbone). Si la formulation a été édulcorée par rapport à un premier brouillon de texte, l'évocation, même à demi-mots et de manière alambiquée, de la fin du charbon et des énergies fossiles est vue par les ONG comme une (demi-)victoire.
La plupart des pays ont manqué d'"ambition" pour mettre en œuvré l'accord de Paris sur le climat, a regretté lundi l'ancien président américain Barack Obama, appelant à "faire plus" et louant la "colère" de la jeunesse sur la crise climatique.