8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Jeune et engagée, Salomé Saqué est l’un des nouveaux visages de la lutte contre le dérèglement climatique. Portrait de cette journaliste française de 29 ans qui a réussi à se faire entendre "malgré son âge". "Je suis jeune, donc mon avis compte moins". A 29 ans, la journaliste Salomé Saqué décrit les inégalités que vivent les générations Y et Z dans son livre "Sois jeune et tais-toi – Réponse à ceux qui critiquent la jeunesse" aux éditions Payot. Difficultés pour acheter un bien immobilier, isolement social à cause des confinements, et surtout, menace climatique qui pèse sur nos épaules, elle est devenue en quelques années l’une des représentantes des jeunes et de leurs convictions dans les médias.
L’initiative «pour l’avenir» des jeunes socialistes, déposée ce jeudi à la Chancellerie fédérale avec plus de 140 000 signatures, instaurerait un impôt de 50% sur les successions dépassant un montant exonéré de 50 millions de francs pour un «financement socialement équitable de la protection du climat»
Cinq ans environ après la mobilisation des jeunes pour le climat, une grande lassitude s’est installée qui a débouché sur une perte de confiance à l’égard du politique, affirme Adelaïde Charlier, une des porte-parole du mouvement.
Contrairement à une idée reçue largement répandue, les personnes les plus âgées d'entre nous se sentent concernées par l'avenir de notre planète et ce qui attend les jeunes générations.

2023

Les jeunes, parce qu’ils cumulent les précarités, sont surexposés aux débâcles contemporaines. Ils demeurent pourtant très peu écoutés. Une conférence au Mucem se tient sur le sujet lundi 20 novembre.
Il y a trois ans, nous faisions paraître notre premier appel, signé par plus de 7 000 collègues. Nous, enseignant·e.s, pour la plupart fonctionnaires d’un service public voué au bien de tous et toutes, formé·es à l’esprit critique et résolument à l’écoute de la science et de ses avancées, nous avions déclaré que nous refusions dorénavant de dispenser un enseignement éloigné des conclusions auxquelles étaient déjà arrivés des milliers de scientifiques : enseigner la croissance et la productivité sans enseigner les ravages constatés de l’extractivisme, enseigner l’urbanisation sans enseigner la catastrophe de l’artificialisation des sols et la raréfaction des terres agricoles, enseigner comme si des changements individuels de comportements pouvaient suffire à changer la donne.
Une majorité d’étudiants franciliens jugent tout à fait prioritaire la lutte contre le réchauffement climatique. Beaucoup y participent en adaptant leurs comportements, et parfois en rejoignant des mouvements collectifs. Leur niveau de préoccupation ne se reflète pourtant pas toujours dans leurs pratiques, en raison d’un manque d’information et, surtout, de la précarité et des arbitrages économiques auxquels ils sont contraints.
Dans un monde qui s’urbanise à toute vitesse, où les plus jeunes passent de moins en moins de temps dehors, les bénéfices d’une connexion des enfants à la nature font aujourd’hui l’objet de nombreux travaux de recherche et sont de mieux en mieux documentés. L’activité en plein air y parait non seulement bénéfique pour la santé des plus jeunes, mais aussi pour leur bien-être global. Les jeux et les moments passés dans la nature – à observer, courir, chanter, écouter et sentir – favorisent également une relation différente à soi-même et à l’environnement.
Le pape François a rappelé jeudi, devant des jeunes, "l'urgence dramatique" du réchauffement climatique, plaidant pour une "écologie intégrale" au deuxième jour de sa visite à Lisbonne pour les Journées mondiales de la Jeunesse (JMJ).
Le Forum des Jeunes va passer un peu plus d’une semaine à New York. Voici ses principales missions.
Un groupe de 12 enfants et adolescents demandaient la révision d’une loi qu’ils estimaient insuffisante face au réchauffement. La justice a déclaré leur plainte irrecevable.
Mettre en pause la restauration de la nature ne met pas en pause ses dégradations mais place une bombe à retardement dans les mains de ma génération.
L’urgence des enjeux climatiques a-t-elle bien été saisie par tous les adolescents et jeunes adultes ? Pas si sûr, contrairement à l’idée reçue. Ce n’est pas exclu non plus. Éléments de réponse avec le sociologue Laurent Lardeux, spécialiste de la jeunesse.
Seize jeunes, âgés de 5 ans à 22 ans, accusent cet Etat du Nord-Ouest américain d’avoir enfreint leur droit constitutionnel à un « environnement propre et sain ». Un contentieux climatique dont l’issue pourrait faire date.
La planète brûle et les jeunes stressent, parfois plus que leurs parents. Pour tenter de régler ce que l’on nomme l’éco-anxiété, le psychologue Yvan-Marc Juillard, auteur d’un livre* sur la question, donne ses conseils.