8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2022

Au-delà des grands mouvements migratoires habituellement observés, certains oiseaux paraissent indécis, voire déboussolés. Les ornithologues n’hésitent pas à parler de « jamais vu » à propos des martinets noirs qui partent théoriquement en fin juillet. Or, certains d’entre eux ont été observés tout récemment sous nos latitudes. Il semblerait même que quelques oiseaux, après avoir rejoint l’Espagne, auraient choisi de revenir sur leur territoire estival.
En effet une grande diversité d'oiseaux, actifs la nuit subissent les effets de la pollution lumineuse qui les désoriente. Avec 85% de la population mondiale vivant actuellement sous un ciel éclairé, un chiffre proche de 99% en Europe et en Amérique du Nord, cette pollution lumineuse est une menace importante et croissante pour la faune, y compris pour de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs et contribue à la mort de millions d'oiseaux.
Entre 1970 et 2016, les populations européennes de poissons amphiphalins (c’est-à-dire qui vivent entre eau douce et eau salée) ont baissé de 93 %. Les causes de cet effondrement sont « multiples et synergiques ». La FNPF pointe notamment le changement climatique, qui réduit le débit d’eau, favorise l’apparition de certaines maladies et affecte le cycle de migration et de reproduction de ces poissons. Parmi les autres responsables : la dégradation des milieux aquatiques, la pollution de l’eau par les pesticides, les perturbateurs endocriniens et les polychlorobiphényles (PCB), le braconnage… La FNPF évoque également les barrages, qui entravent voire bloquent le déplacement des poissons migrateurs. On en trouve en moyenne 1 tous les 5 kilomètres dans les cours d’eau français : une difficulté « insurmontable », selon la Fédération.
Chaque semaine sur notre site, «l’Albatros hurleur», une chronique écologique de David Grémillet, directeur de recherche au Centre d’études biologiques de Chizé (CNRS-La Rochelle Université). Aujourd’hui, l’impact des éoliennes sur les oiseaux migrateurs.

2021

Un rapport, publié le 31 août par les Nations unies et la convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, alerte sur les effets de l’ingestion et de l’utilisation des débris issus de la pêche par les oiseaux.
Migrer vers le Grand Nord pourrait bientôt « ne plus valoir le coup » pour les grands migrateurs de ce monde, révèle une récente étude.
Un rapport, publié le 31 août par les Nations unies et la convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, alerte sur les effets de l’ingestion et de l’utilisation des débris issus de la pêche par les oiseaux.

2020