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2024
Contre la famine et la sècheresse, la Namibie projette de tuer 723 animaux. Tantôt jugé cruel, inefficace ou intéressé, ce plan divise
Après des investigations, le ministère de l’agriculture a justifié sa décision en affirmant que « les conditions artisanales de production ne permettent pas de garantir la stérilisation des bocaux ».
Près de 160 bêtes sauvages ont déjà été abattues depuis le 3 septembre, dans le cadre d’une mesure gouvernementale destinée à fournir de la viande aux populations affamées par la sécheresse.
Le pays d’Afrique australe est menacé par une crise alimentaire. Les autorités ont autorisé l’abattage de plus de 700 animaux, dont des éléphants et des zèbres, censés nourrir les populations des zones les plus touchées. Les experts dénoncent un raisonnement scabreux, constituant un dangereux précédent pour la faune locale.
Certains pesticides ayant été interdits, le gouvernement entend les remplacer. Le ministère de l'Agriculture évoque une centaine de nouveaux produits mis sur le marché bientôt.
Le média d'investigation De Olho Nos Ruralistas se veut comme la vigie de l'agrobusiness brésilien, de ses atteintes à l'environnement et de ses liens avec les sphères politiques.
High-level policy discussions have built momentum for “food system transformation” that would help farmers address the climate crisis.
Cette culture gourmande en eau, à l'empreinte carbone élevée est devenue victime de son succès, qui provoque localement de la déforestation et une augmentation des pesticides.
Depuis la mi-juillet, des camions-citernes alimentent les 660 habitants de Durban-Corbières en eau, en raison du très faible niveau des nappes phréatiques.
Après les inondations survenues fin juillet, le pays craint que de nouvelles pluies et des températures supérieures à la moyenne menacent la production agricole. Pyongyang est par ailleurs rétif à accepter toute aide extérieure, notamment celle du frère ennemi du Sud.
Avec l’été, les petites bêtes sont de retour et donnent l’impression de pulluler. Plusieurs études européennes montrent que leur nombre ne fait que diminuer depuis des années, mettant en péril les écosystèmes et notre alimentation.
Il y a eu une poignée de précurseurs : quelque 50 fermes walonnes étaient bio en 1991 pour une superficie totale de 807 hectares. La croissance a été continue depuis lors, le cap des 50000 hectares de superficie bio étant passé en 2011 et celui des 1000 fermes en 2012. Ce sera même 2024 fermes bio en 2022 pour une superficie totale de 93526 hectares. Le bio tenait la forme. Le vent a toutefois légèrement tourné l'année dernière avec une perte nette de 10 fermes bio. C'était une première. Bien sûr, le bio n'est pas un monde parfait. Il y a des chasseurs de primes, de grands maraîchers qui cassent les prix et étranglent financièrement les plus petits ou encore des producteurs qui n'ont pas le bio dans l'âme. La très grande majorité a toutefois adopté ce modèle par conviction, et certainement pas par facilité. Nous en avons rencontré six.
Une maladie, le Huanglongbing (HLB) est en train de dévaster les vergers de très nombreux pays, provoquant de très lourdes pertes de production d’agrumes.
Le groupe spécialiste des marchés agricoles estime, d’après un récent sondage de terrain, que la récolte de cette année est la plus faible, en volume, depuis 1983, et regrette également une qualité des blés très hétérogène.
Après les pluies à répétition des derniers mois, les cultures céréalières ont souffert, et l’agriculture bio ne fait pas exception. Dans l’Yonne, les paysans racontent une productivité en chute et un avenir qui s’assombrit. Perreux (Yonne), reportage L’air est lourd, autant que l’humeur est morose.
Le saviez-vous ? 1/3 des aliments produits dans le monde n'est pas consommé. Le gaspillage alimentaire en France représente 10 millions de tonnes d’aliments jetés par an : une aberration
Deux friches du site seront transformées. De nombreuses personnes seront impliquées dans ce projet.
L’île située au sud de la péninsule italienne est frappée par une sécheresse historique, dont les conséquences sont particulièrement violentes sur l’agriculture. Face à la pénurie d’eau, les éleveurs sont contraints de prendre des mesures extrêmes et de sacrifier une partie de leurs animaux, raconte “Fanpage”.
La situation est disparate, mais l'objectif d'un monde sans faim en 2030, adopté par les Nations unies en 2015, s'éloigne encore plus.
Notre système alimentaire utilise près de la moitié des terres de la Planète. Il provoque des émissions de carbone et aggrave le réchauffement climatique. Il entraîne donc la perte de biodiversité par la réduction de l’espace laissé aux écosystèmes et par le changement climatique. Une nouvelle étude a tenté de quantifier ces effets. Les dommages à la biodiversité ont été estimés en prenant en compte la richesse des écosystèmes et la rareté de espèces, par exemple leur présence dans une zone restreinte. Les dommages aux écosystèmes riches et uniques, notamment en Amérique centrale et du Sud apparaissent donc mieux dans cette analyse.