Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Uniquement les Articles
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
Résultats pour:
Grand Lyon
il ne suffit pas de réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre, il faut également mener de front des politiques d’atténuation et d’adaptation.
À l’échelle de l’Europe, quels sont les moyens et méthodes disponibles pour évaluer les risques dus à la hausse du mercure ? À quoi l’Union européenne et ses États membres doivent-ils se préparer ? Face au réchauffement climatique, à quels scénarios s’attendre ? C’est ce à quoi a réfléchi l’Agence européenne de l’Environnement dans une étude publiée au début de l’année 2024.
L’objet de cette étude consiste à vérifier si ces deux différentes approches théoriques se confirment et concrétisent ou non dans la pratique, en observant la manière dont différents acteurs publics ont pu se saisir du concept de résilience. Comment la mobilisation de ces concepts influe-t-elle les politiques publiques ? De quelle manière impacte-t-elle l’organisation de l’administration et sa posture vis-à-vis des autres acteurs ? Quels effets a-t-elle sur les politiques connexes, comme les politiques climatiques, le soutien à l’innovation sociale ou encore les pratiques de veille et de prospective ?
Après un trimestre à réfléchir aux enjeux actuels et futurs de la qualité de l’air que nous respirons, dernière étape auprès de Delphine Praud, épidémiologiste au département Prévention Cancer Environnement de Centre Léon Bérard de Lyon.
Parmi les neuf catégories de limites planétaires identifiées, celle de l’eau douce faisait déjà l’objet de travaux scientifiques pour évaluer l’état de la ressource et la pression anthropique sur l’eau dite « bleue », celle des cours d’eau, des lacs et des nappes. Plus récemment, une étude de la revue « Nature » s’est intéressée à l’eau verte, celle de la pluie qui s’infiltre dans les plantes et les sols. Plutôt qu’une « nouvelle limite qui serait dépassée », cette étude met en lumière de nouveaux indicateurs – non suivis jusqu’alors – encore plus préoccupants que pour l’eau bleue.