La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
Le plan A (stabilisation et sauvegarde de notre civilisation globalisée avec quelques ajustements) et le plan B (décroissance organisée et planifiée) sont désormais enterrés. Demandons nous maintenant en quoi consistera l’effondrement en pratique.
Continuons d’expliquer pourquoi le plan A (stabilisation et sauvegarde de notre civilisation globalisée avec quelques ajustements) et le plan B (décroissance organisée et planifiée) sont condamnés à l’échec.
Expliquons pourquoi le plan A (stabilisation et sauvegarde de notre civilisation globalisée avec quelques ajustements) et le plan B (décroissance organisée et planifiée) sont condamnés à l’échec.
Le plan A, c’est la stabilisation et la sauvegarde de notre civilisation globalisée avec quelques ajustements. Le plan B, c’est la décroissance organisée et planifiée, un changement lourd et dégradé qui s’appuierait sur les forces restantes du système actuel. Mais y a-t-il un plan C ? Que faire si le plan A et le plan B échouent tous deux à se mettre en place ou à atteindre leurs objectifs ?