Collapsologie

OA - Liste

Voir aussi Focus Collaps

voir sur collapsologie.fr la documentation scientifique


La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2023

Désireuse d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2060, la Chine va, outre le renouvelable, grandement miser sur le nucléaire. Avec une production qui va exploser dans les prochaines décennies, jusqu’à dépasser celle des États-Unis et la laisser loin derrière.

2022

Publié par l’organisation britannique Forest Research, il concerne les arbres isolés ou réunis en petits groupes, que l’on peut trouver dans les jardins, les parcs, les champs ou en rue. La valeur des forêts (par pays ou par région du monde) avait déjà été calculée par le passé. Ici, c’est une première. Il en ressort que certains de ces arbres (les plus grands) rapportent à eux seuls des centaines de livres sterling d’avantages au Royaume-Uni.
Pas à pas, la Russie ne cesse de diminuer ses livraisons en gaz vers l’Europe. Pour l’Agence internationale de l’énergie (AIE), cela pourrait se terminer par une fermeture complète du robinet. Son patron distille ses conseils pour éviter le pire.

2021

Depuis fin août, les prix du pétrole brut grimpent presque continuellement. Cette semaine, la hausse se poursuit, avec des niveaux qui n’avaient plus été atteints depuis 2018. D’après Goldman Sachs, les prix ne retomberont pas de si tôt.