Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2024

Selon la 5e édition du rapport «State of Global Air», c’est le deuxième facteur de risque de décès dans le monde, devant le tabac ou la mauvaise alimentation. 90 % de ces décès sont dus aux particules fines.

2022

La pollution de l’air continue de faire des dégâts. Selon l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), l'exposition aux particules fines a encore entraîné 238 000 décès prématurés à travers l'Union européenne en 2020. Un rapport inquiétant, alors que la Commission européenne a adopté de nouvelles normes en matière de qualité de l'air en deçà des recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

2021

Menace environnementale numéro un pour la santé des adultes et enfants Européens, la forte concentration de particules fines dans l’atmosphère a légèrement diminué. Mais les pays de l’UE ne respectent toujours pas les seuils limites.
Nombreux sont les effets néfastes de la pollution atmosphérique, sur la santé notamment. Mais comment calculer les bénéfices associés à sa réduction ? En estimant par exemple le montant que nous serions prêts à payer pour éviter les décès associés, comme le fait l’économiste Olivier Chanel à partir des travaux de Santé publique France.

2020