Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2022

Notre intention dans cet article est de voir comment, et dans quelles limites, la politique monétaire peut contribuer à la transition écologique. Un tel objectif ne va pas de soi car, à travers l’histoire, la monnaie a toujours été instituée pour financer soit des objectifs régaliens (armée, police, justice), soit des objectifs mercantiles. Jamais le financement de la préservation de la nature ou le financement du bien commun n’ont été un objectif monétaire. à la décharge des décideurs publics, il faut dire que la question environnementale ne s’est jamais posée avec l’acuité actuelle.
Par Jézabel Couppey-Soubeyran[1] et Pierre Delandre[2] Paru dans Le Soir du 22 mars 2022 Comment financer les immenses investissements européens qui seront indispensables ? La « monnaie volontaire …

2021

Une nouvelle étude, publiée ce jeudi 4 novembre 2021, montre que les émissions mondiales de dioxyde de carbone (CO2) ont rebondi après une baisse liée au Covid-19.La reprise rapide des émissions de CO2, après la forte baisse de l’année dernière imputable au contexte pandémique, n’est pas une surprise.Le plus inquiétant concerne la tendance à la hausse des émissions de CO2 imputable au pétrole et du gaz sur le long terme