Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2022

Le projet viennois, le deuxième du genre en Nouvelle-Aquitaine, table notamment sur la construction de 30 retenues dans le bassin du Clain – contre 41 dans la précédente mouture, rejetée en juillet par la chambre d’agriculture et certaines collectivités. Ces retenues sont destinées à «prélever et stocker l’eau l’hiver» pour la restituer aux agriculteurs, afin qu’ils irriguent leurs cultures en période estivale. En tout, 8,8 millions de mètres cubes d’eau pourraient être mis à la disposition de 153 exploitations agricoles viennoises. A titre de comparaison, à Sainte-Soline, le projet de retenues d’eau prévoit de stocker 6,9 millions de mètres cubes d’eau.
Face à la contre-offensive de Kyiv, les «républiques populaires» de Donetsk, de Louhansk, de Kherson et les autorités de Zaporijia, régions en partie occupées, réclament l’organisation d’un référendum «immédiat» pour un rattachement à la Russie. L’entourage de Vladimir Poutine y voit un moyen de changer la dynamique du conflit.
Déjà condamné en août 2021 , la France risque de devoir payer une nouvelle astreinte d’un montant de 20 millions d’euros. Selon les ONG et le rapporteur public du Conseil d’État, l’État ne va pas assez vite dans sa stratégie de lutte contre la pollution de l’air.