Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2024

Toutes les grandes entreprises technologiques se lancent en quête de l’«intelligence artificielle générale». Un Graal ancestral, marketing mais difficilement atteignable rapidement, d’après le chercheur Pierre-Carl Langlais.

2023

Bernie Sanders, Elon Musk, la Maison Blanche… Depuis qu’il a démissionné de Google, Geoffrey Hinton croule sous les demandes d'entretiens. Un succès qui interroge ce socialiste : seront-ils seulement prêts à entendre ce qu'il a à dire ?
Désinformations, emplois, robots-tueurs... Après avoir quitté Google, le chercheur Geoffrey Hinton, considéré comme l’un des pères fondateurs de l’IA, partage ce lundi ses inquiétudes avec le «New York Times».
L’Italie a annoncé bloquer le robot du fait de craintes en matière de protection des données. Quelles sont les données collectées ? OpenAI est-il dans la légalité ? D’autres pays pourraient-ils faire de même ? «Libé» fait le point

2021

Sacrés coups de pelle. Les mineurs américains de bitcoin, qui permettent la validation des transactions et la création de la cryptomonnaie, sont désormais les premiers producteurs au monde, selon une étude publiée ce mercredi par l’université de Cambridge. «Les nouvelles données, qui courent jusqu’à fin août, montrent que les Etats-Unis concentrent 35,4 % [de l’activité], contre 16,8 % fin avril», commente dans un article Michel Rauchs, auteur de l’étude. En deuxième position, on trouve le Kazakhstan (18,1 %), suivi de la Russie (11 %).