La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
L’ensemble de la France métropolitaine est en alerte sécheresse et le niveau des fleuves, plus particulièrement de la Loire, s’approche de ses plus bas historiques par endroits.
La sécheresse met à mal les champs de pommes de terre très gourmandes en eau. Pas plus grandes que des balles de ping-pong, elles ne sont même plus commercialisables.
Météo-France a relevé des niveaux d’ensoleillement et un déficit de pluie historique pour un mois de juillet. Et cela alors qu’une nouvelle vague de chaleur s’installe sur le pays.
La communauté internationale craint que la Russie ne respecte pas l'accord, bloquant encore les exportations de céréales et privant certains pays d'Afrique de denrées essentielles.
Quatre marqueurs clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, a indiqué l'ONU, prévenant que le système énergétique mondial conduit l\'humanité à la catastrophe.
91% de la Grande Barrière de corail a subi un “blanchissement”. Ce phénomène lié au dérèglement climatique est le symbole de la disparition des coraux.
Comme le souligne franceinfo, l’archipel polynésien de 26 kilomètres carrés, divisé en neuf atolls, est menacé par la montée des océans. Pire: si le changement climatique se poursuit à son rythme actuel, les Tuvalu pourraient même avoir disparu dans moins de 50 ans, a alerté Géopolis. C’est le cas de nombreux autres archipels, îles et régions côtières, particulièrement vulnérables face à la montée des eaux.
Elisa Loncón et les nouveaux constituants issus de la société civile ont un maximum de 12 mois pour écrire une nouvelle Constitution avant de la faire valider par référendum.