Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2022

De overheid van de Cookeilanden heeft plannen om aan diepzeemijnbouw te doen. Milieuorganisaties vrezen echter dat het lawaai van de onderzeese activiteiten de walvissen zal verjagen. Die verblijven drie maanden per jaar rond de eilandengroep. De natuurbeschermers vragen een moratorium zodat er meer onafhankelijk onderzoek kan gebeuren.
Eilandbewoners in de Stille Oceaan worstelen al jaren met de klimaatcrisis. Op de Cookeilanden komt er nog een dreiging bij: diepzeemijnbouw. Jongeren van bij ons gaan in dialoog met jongeren van daar. Die uitwisseling krijgt de steun van 1Planet4All van 11.11.11 en werd op touw gezet door Greet Brauwers en Raf Custers, die momenteel op een van de eilanden verblijven.

2020

Cet été, la société belge Global Sea Mineral Resources (GSR) a effectué deux tests en vue de procéder à une exploitation minière en haute mer. Elle est restée remarquablement silencieuse à ce sujet, malgré l’obtention de fonds publics pour ses travaux. MO* a pu découvrir une partie de la chronologie du processus de test.
Au cours de la dernière décennie, la Belgique a réussi à s’introduire dans le club restreint des pionniers de l’exploitation minière en haute mer. Global Sea Mineral Resources, une filiale du groupe de dragage DEME, a ouvert la voie. Le risque est grand que cette nouvelle industrie cause des dommages irréparables à l’océan. Plusieurs sociétés se livrent en ce moment à des activités d’exploration. Doivent-elles accéder à l’exploitation minière ? Le débat de société ne fait que commencer. Dans ce dossier, beaucoup de choses se passent en coulisses, sans que le grand public ne sache exactement ce qui s’y trame. Heureusement, la Belgique n’est pas encore une république bananière. Le mouvement écologiste est préoccupé par cette question et ses arguments font mouche auprès des fonctionnaires. Reste l’aspect politique.