Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2021

2020 est bel et bien l'année la plus chaude, à égalité avec 2016, a confirmé jeudi l'ONU, et le monde se dirige vers une "augmentation catastrophique" de la chaleur au cours de ce siècle. Selon une consolidation de cinq grandes bases de données internationales effectuée par l'Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence de l'ONU, l'année 2020 a rejoint 2016 sur la plus haute marche des années les plus chaudes dans le monde, en apothéose d'une décennie de températures record.
De façon très inattendue dans un document émanant d’une instance “officielle”, l’EEA affirme qu’il n’est pas possible d’augmenter la taille de l’économie (la croissance) et de faire baisser les consommations de ressources et les émissions de gaz à effet de serre. On y lit aussi qu’une économie 100% circulaire n’existe pas. Il n’y aura pas, donc, de croissance verte, pas plus dans le Green Deal (explicitement cité) qu’ailleurs.

2020

2019

Jusqu’à + 7 °C en 2100 : les experts français du climat aggravent leurs projections sur le réchauffement Les plus grands laboratoires de climatologie du pays sont engagés dans un vaste exercice de simulation du climat passé et futur qui servira de référence au prochain rapport du GIEC.